Gérondif

exercices Les présents Les futurs Les prétérits Le "present perfect" "For-since-ago" Révision du passé Auxiliaires modaux "can- may must " Le passif Faire + infinitif La forme fréquentative La proposition infinitive Les subordonnées de temps Le gérondif Les "question-tags" Les relatifs Le génitif Les principaux interrogatifs Les articles "Both - the two" Les partitifs "Either... or, neither... nor" Traduction de "ce que" et "ce qui" Les noms et adjectifs composés Le comparatif Le superlatif "Each

personnages qui semblent très stéréotypés et qui s’avèrent complexes, ambigus, difficiles à comprendre. * Informations données sur les personnages, au-delà des stéréotypes : Bonne, caractérisée par la vivacité et l’action (répétition « en courant », gérondifs) ; Elève, caractérisée par l’aisance (initiative ds les présentations, « jeune fille du monde », antithèse « à l’heure »/« en retard » qui met en valeur son exactitude), la soif de reconnaissance (hésitation dans ses réponses, points de suspension

simple « Je vis sortir (vers 10). Dans ce sizain au rime conventionnel (plate + embrasser) des termes fort sont associé a la femme aimée et contribue à la mettre en valeur : l’adjective vive (vers 10) à l’intérieure d’une comparaison méliorative, le gérondif « en riant (vers 11) » qui montre cette femme tous dans le mouvement en fin le terme aurore qui renvoi à la mythologie de déesse gréco-latine. Tout cela permet de l’idéalisation de la femme aimer. 2. Le décor Les deux premier quatrains son

Quand le soleil se leva, il partit. – Avant que les gelées ne reviennent, hâtons-nous de semer. – Depuis que les travaux sont achevés, la route a été rendue à la circulation. d) Remplacez les mots soulignés par des participes présents ou des gérondifs: Je te tromperais si je te laissais croire que j’ignore la situation de notre société. Alors qu’elle descendait le boulevard, elle croisa Albert. Comme il était indécis, il refusa de donner une réponse. Tandis qu’il cherchait un mot dans le

exemple dans les deux premiers vers ; alors que le premier vers fait appel aux éléments opposés, le feu et l'eau dont est victime l'amante: "je me brûle et me noie", le second lie ces sensations en insistant sur leur simultanéité par l'emploi du gérondif "en endurant" : " J'ai chaud extrême en endurant froidure." D'autres sensations sont ainsi convoquées par le même système d'antithèses et de simultanéité : sensations tactiles au vers 3 "et trop molle et trop dure" ; sensations visuelles au vers

du sentiment amoureux sur le corps. Elle évoque ses sensations pour mettre en valeur l'emprise qu'a l'amour sur le je. -Usage systématique des oppositions: ris ≠ larmoie (v.5), plaisir ≠ grief (v.6), s'en va ≠ dure (v.7), sèche ≠ verdoie. - Le gérondif "en endurant" (v.2) montre la simultanéité des deux état (chaud et froidure). - Les parallélismes de construction mettent sur un même plan joie et souffrance et souligne le côté inextricable de ces deux sentiments. - Mot à la rime: "noie" (v.1)

idiomatique ex. a) hello gorgeous  probleme solution ⇒ recherche d'equivalence b) proverbe knowledge is power probleme: faut-il le garder 2. syntaxe a) emploi repete du gerondif a) occurence du gerondif b) proverbe knowledge is power probleme: faut-il le garder c) and au debut de la phrase 3. Semantique a) god-given attributes b) look ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

marqué par l’anaphore de l’expression « cela fait » avant de mentionner le passage à une nouvelle activité. Nous sommes toujours à l’imparfait de répétition et l’auteur souligne encore une fois l’omniprésence de l’activité intellectuelle à l’aide du gérondif : « toujours en discutant des enseignements de la lecture ». Celui-ci marque la simultanéité entre l’apprentissage et le fait de changer d’activité en passant de l’intérieur à l’extérieur (« ils sortaient ») : la réflexion ne cesse jamais et se poursuit

« même exercices » position de l’arbre, occupation du temps par des gestes ridicules. * Personnages qui subissent le poids du temps B) Le problème du poids du temps. * Le poids du temps est perceptible par l’attente = verbes ligne 40-41. Gérondif qui fait le déroulement n’a pas vraiment de limite, il marque une durée illimité et pas de C.O.D, de même ligne 1 pas d’objet d’attente. * Manque de précision élargi le mot attendre + les mots « silences » de pause etc… Les participes présents

passé simple (« je vis sortir », v. 10). Dans ce sizain aux rimes conventionnelles, des termes forts sont associés à la femme aimée et contribuent à la mettre en valeur : l’adjectif « vive » (v. 9) à l’intérieur d’une comparaison méliorative, le gérondif « en riant » (v. 11) qui montre cette femme tout dans le mouvement, enfin le terme « Aurore » (v. 12) qui renvoie ici à la déesse de la mythologie gréco-latine. On peut donc parler d’idéalisation de la femme aimée. Le décor Les deux premiers quatrains