Gervaise Description Réaliste

Voltaire sont considérées comme des romans. C'est au XIX qu'on connait l'apogée du roman , le but recherché est le soucis de vrai semblance , nous sommes dans une peinture fidèle de l'époque , c'est le triomphe du roman naturaliste puis du roman réaliste . Le personnage de roman devient un être identifiable . A partir du XIX on va avoir toute une série de portraits , de personnages qui vont s'inscrire dans l'imaginaire collectif . Il y a la fameuse phrase de Balzac , lorsqu'il parle de son projet

société dans laquelle il vit ? Introduction : « Le roman, c'est un miroir que l'on promène le long d'un chemin » écrit Stendhal dans le Rouge et le noir. I. Le personnage de roman reflète la société 1. Il s'inscrit dans un milieu social précis Contexte réaliste et historique : L'univers social est clairement défini : Les personnages s'inscrivent dans l'Histoire. Dans Le Père Goriot de Balzac, la duchesse de Langeais retrace 'histoire du Père Goriot à travers les troubles de la révolution française Contexte

Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l‟attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s‟en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie Ŕ de 1880 à 1890 Ŕ avant qu‟il ne sombre peu

que ce qui se passe paraît étrange ou incompréhensible. -Le burlesque : un genre ou un registre noble comme l’épopée est traité de façon ordinaire, voire vulgaire. -Le grotesque : le bizarre et le monstrueux sont sources de comiques (cf. la description de Gervaise chez Zola, le premier texte que nous avons travaillé) -Le satirique : le texte utilise le rire à des fins critiques. L’auteur pointe des comportements ou des situations qui lui semblent ridicules et il les critique en amenant son destinataire

De plus, grâce à sa véracité (Emile Zola s'est documenté dans les mines), il se veut également être un document important sur les rebellions et l'arrivée du marxisme en France. Autre résumé et analyse Première partie Étienne Lantier, fils de Gervaise Macquart (voir l'Assommoir), arrive une nuit de mars à la fosse du Voreux, où l'accueille le vieux Bonnemort. Il prend pension chez une famille de mineurs, les Maheu. Les parents et les sept enfants, dont Catherine, Jeanlin et Zacharie, vivent entassés

tendance à évaluer les choses du seul point de vue extérieur . En ce sens, l’œuvre de Zola fait référence à ce courant : Les descriptions du luxe des salons de la haute bourgeoisie Parisienne évoqué par Zola font tout à fait écho à la beauté extérieure et la conception artificielle de l'esthétisme . Le réalisme littéraire est aussi en vogue à cette époque. Le roman réaliste est définit par Duranty comme étant ''La reproduction exacte, complète, sincère du milieu social où l'on vit '' c'est le miroir

s’identifier au personnage. Nous pouvons parler d’identification sociale, c’est-à-dire le monde dans lequel le personnage principal évolue, son âge, sa situation familiale, son activité… Il y a aussi l’identité physique et psychologique, une illusion réaliste créée par l’auteur. Cela peut être représenté directement ou indirectement à travers le récit, comme le comportement, la parole, l’action. Si le personnage principal ressemble au lecteur, ce dernier sera peut-être plus captivé par l’histoire car

soit ce à quoi aspirait finalement Charlotte en se mariant avec William. Rosings est, comme Elizabeth le dit elle-même, "situé sur une éminence". Cette description est propre à décrire Lady Catherine de Bourgh, au caractère impérieux et moralisateur. Dans Tristana, les lieux ont plusieures visées. La première est de renforcer le caractère réaliste, comme la référence au "chantier de la Banque" au début du roman, de l'ancrer dans des références géographiques concrètes. La seconde visée est de renforcer

ainsi que le chauffeur sur la voie. Le train les broiera, emportant les voyageurs dans une course folle, sans personne pour arrêter cette "Bête Humaine"... Etude des personnages : Jacques Lantier : Le « Rougon-Macquart » du livre. Il est le fils de Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier ( L'Assommoir). Initialement employé méritant, presque trop sérieux, qui, connaissant sa faiblesse meurtrière, cherche à l'oublier par la passion excessive qu'il déploie pour sa locomotive, « la Lison ». Avec Pecqueux

personnnage héroique. Il mène une vie tout à fait ordinaire et n'accomplit aucun exploit. Au contraire, il commet un meurtre, ce qui est loin d'etre un acte héroique. Peu d'informations sont donnés sur le personnage, il n'a même pas de prenom, aucune description physique n'est faite de lui et on connait très peu son passé. C'est un personnage qui apparaît comme victime de la société, il n'est déterminé que par le hasar et la pulsion du moment. C'est un homme qui reste relativement neutre vis-à-vis du monde