Gestes de première urgence

for Children in Hospital (EACH) La Charte de l’enfant hospitalisé 44 L’hôpital pédiatrique et gynéco.-obstétrical des Hospices Civils de Lyon M. François Martin, directeur des soins aux Hospices Civils de Lyon 47 Présence des parents lors des gestes douloureux Dr Ricardo Carbajal - Pédiatre - Responsable du Centre National de Ressources de Lutte contre la Douleur (CNRD). Unité Douleur. Hôpital d’enfants Armand-Trousseau, Paris 52 Retentissements psychologiques sur les enfants et les parents

Les incontournables des urgences Identitovigilances : questions ouverte,concordance avec le bracelet. Déroulement du soin : -Identitovigilance -Se présenter -Respect de la pudeur -Transmissions -Prise en charge globale du patient. Prise en charge globale : -Toujours savoir pourquoi on fait le soin -Quel est l'effet recherché ? -Comment évaluer son efficacité ? -Comment prendre en charge les éventuels effets secondaires ? (connaissances, effets secondaires principaux). NFS : Numération Formule

désinfecte le site de ponction en quatre temps, j’utilise une compresse par passage puis la jette dans le sac DASRI, je respecte le temps de contact de l’antiseptique. Je lui demande si tout va bien, Mr DE me répond que oui et me demande si c’est la première fois que je réalise le soin, je lui réponds que c’est la deuxième fois que c’est pour cela que l’infirmière est présente et qu’elle m’évalue sur le soin. Le patient comprend tout à fait et cela ne le gêne pas que le soin soit fait par une étudiante

Prise en charge des plaies traumatiques LES PLAIES TRAUMATIQUES Législation Définition plaie Phase de la cicatrisation, cicatrisations de première intention, de deuxième intention, éléments de mauvais pronostic Grands principes de prise en charge : Prise en charge de la douleur Soins plaies simples Soins Plaies complexes Plaies de main Les gelures Les brûlures Les morsures Les plaies de la face Matériel de suture La pathomimie Les plaies pénétrantes 1 LEGISLATION • • • • • • Article R4311-5

situation décrite à lieu en salle de réveille au bloc opératoire du Centre hospitalier du TAAONE. Nous sommes le 15 novembre 2014 et il est 06 h 30, l’heure pour Madame Marie d’effectuer sa troisième séances de sismothérapie. Pour pouvoir effectuer la première séance la patiente doit obligatoirement signer un accord afin d’optenir un consentement libre et éclairé, cependant la patiente doit pouvoir être apte a consentir, autrement dit, le langage n’est pas perturbé ainsi que la pensée, elle comprend la

fumer au lit, cendrier vidé dans la poubelle, cheminée non ramonée, … « Jouer avec le feu » : chaque année, des enfants jouant avec le feu causent de nombreux drames. Comment réduire le risque d’incendie ? La prévention amont : Ces quelques gestes simples permettent de réduire significativement le risque qu’un incendie se déclare à votre domicile : Assurez vous de l’état de votre installation électrique : faites réaliser un diagnostic par un professionnel. Pour quelques centaines d’euros,

étudiant en 2éme année et cette situation se passe lors de mon 4éme stage que je réalise de nuit, dans un service d’ORL. Il est 23h, l’infirmière, l’aide soignante et moi sommes dans la salle de pause et attendons une dame de 55 ans, mutée des urgences de Falaise pour épistaxis récidivant. Je demande à l’infirmière si je peux assister au méchage avec l’interne, elle me répond « oui » et que pour trouver la salle des consultations externes je n’ai qu’à «suivre les cris» Quand j’entre dans la

de la sensibilité, ou de la sensibilité d’un organe, ou de la sensibilité générale », ou la « suppression de la sensibilité, et spécialement de la sensibilité à la douleur, obtenue par l’emploi des anesthésiques ». L’anesthésie permet donc les gestes chirurgicaux sans préjudices pour le patient. A l’exception des anesthésiques locaux, aucun produit ne peut entraîner une analgésie (disparition de la douleur) permettant un acte chirurgical sans modifier l’état de conscience du patient. Quelles

Cette privation est à l’origine de dysfonctionnements et peut provoquer le décès. L’AVC est une urgence médicale. Les accidents vasculaires cérébraux correspondent à l’affection neurologique la plus fréquente en France. Ils toucheraient entre 120 000 et 150 000 personnes par an. 15 à 20% des personnes atteintes décèdent et le reste garde des séquelles à vie. Les AVC représentent, par conséquent, la première cause de handicap acquis chez l’adulte, ainsi que la 2ème cause de démence (après la maladie

« Patients », Fabien Marsaud se livre sur une partie de sa vie. En effet, à l’âge de 20 ans alors qu’il pense son avenir tout tracé dans le domaine sportif, un mauvais plongeon dans une piscine pas assez remplie, comme il dit, met fin à son rêve. Aux urgences les médecins annoncent à ses parents qu’il ne marchera probablement plus suite à la fracture d’une vertèbre cervicale. Fabien est alors déclaré comme tétraplégique incomplet. Vient ensuite une longue période de rééducation où chaque jour est passé