Gévaudan

allaient de la Guyenne à la Savoie et du Quercy aux Pyrénées. C’était un Etat riche et puissant, l’un des plus considérables de l’Europe occidentale à cette époque. Il comprenait le haut Languedoc, l’Armagnac, l’Agenais, le Quercy, le Rouergue, le Gévaudan, le Comtat-Venaissin, le Vivarais et la Provence, soit une quinzaine de nos départements. Les comtes de Toulouse étaient de la lignée des Raymond. Raymond V avait régné jusqu’en 1194 et son fils, Raymond VI, lui avait succédé. Parmi leurs vassaux

spectateurs courses-poursuites, entartages, chutes et autres gags slapstick aussi bon marché que lessivants. Dans la même interview, Dan Scanlon cite Tex Avery comme sa «référence absolue». Revendiquer Monstres & Cie aurait été plus judicieux. CAMILLE GÉVAUDAN nées, dont 54 millions de dollars (42 millions d’euros) de déficit pour le seul premier trimestre 2013… Stratégies hésitantes, licences sous-traitées sans discernement, errements dans le monde du online pour enfants : rien de consistant n’est

à une Église moins disposée à contrôler les sièges épiscopaux. Ces princes régionaux profitent de la remise en ordre féodale et s’imposent à la tête de principautés réorganisées. Le comte Raimond de Saint-Gilles réunit les comtés de Rouergue, de Gévaudan, de Toulouse et le duché de Narbonne. Il s’appuie sur la puissance pontificale. Il possède des terres à l’est du Rhône et se fait appeler marquis de Provence à partir de 1088. Il est considéré comme le chef naturel de la croisade par Urbain II, même

particulière du droit féodal est signalée par Gasparini-Gojosso : la co-seigneurie ou traité de pariage qui permet, en l’occurrence, au roi de France de contrôler un territoire en association avec un autre seigneur. C’est le cas en 1307, du pariage du Gévaudan entre Philippe le Bel et le comte-évêque Guillaume Durand, maintenu jusqu’en 1789 ! C – les forces centrifuges Il ne faut pas imaginer que les capétiens n’ont subi aucun revers et que leur politique n’a tendu qu’à l’extension sans faille de leur

allaient de la Guyenne à la Savoie et du Quercy aux Pyrénées. C’était un Etat riche et puissant, l’un des plus considérables de l’Europe occidentale à cette époque. Il comprenait le haut Languedoc, l’Armagnac, l’Agenais, le Quercy, le Rouergue, le Gévaudan, le Comtat-Venaissin, le Vivarais et la Provence, soit une quinzaine de nos départements. Les comtes de Toulouse étaient de la lignée des Raymond. Raymond V avait régné jusqu’en 1194 et son fils, Raymond VI, lui avait succédé. Parmi leurs vassaux

huguenot mange les vingt catholiques; mais aussi pourquoi ces vingt catholiques mangeraient-ils ce huguenot, et pourquoi empêcher ce huguenot de se marier? N'y a-t-il pas des évêques, des abbés, des moines, qui ont des terres en Dauphiné, dans le Gévaudan, devers Agde, devers Carcassonne? Ces évêques, ces abbés, ces moinès, n'ont-ils pas des fermiers qui ont le malheur de ne pas croire à la transsubstantiation? N'est-il pas de l'intérêt des évêques, des abbés, des moines et du public, que ces fermiers

sachions l’interpréter en tant que processus de « mise en visibilité32 ». On trouverait dans la littérature ethnographique quantité d’exemples à l’appui de cette dernière remarque. Pour n’en prendre qu’un seul : dans leur étude sur la société rurale en Gévaudan aux XVIIe et XVIIIe siècles, E. Claverie et P. Lamaison ont montré comment, dans cette communauté, la sexualité hors mariage est largement tolérée, tant, du moins, qu’elle reste de l’ordre du caché. Lorsque le scandale éclate, il ne résulte généralement

d'Uzès (C. R. Ac. Sc. 14 janvier 1895). Donnadieu (L.). - Le calcaire lithographique de Montdardier (1862, 2 pl, 1 photog.). Donnadieu (L.). - Esquisse géologique sur les environs de StAmbroix (Bull. 1880, p. 138). Fabre (G.). - Sur les schistes du Gévaudan et des Cévennes (B. S. G. F. 1877, 1. pl.), Fabre (G.). - Coupe géologique de la Tessonne (B. s. G. F. 1889, 1 pl.). Féminier. - Etude géologique du Rocan, près Anduze (Bull. 1879, p. 94). Fontannes. - Les sables de la vallée de la Cèze (Lyon 1883)

derrière Grégoire VII. Les dons qui affluent alors proviennent d’abbayes entières, dont leurs patrons désirent qu’elles soient touchées par le mouvement réformateur. Saint-Victor construit alors un réseau plus large, jusqu’en Catalogne en Rouergue et Gévaudan, voire en Sardaigne. Cette évolution montre les limites d’expansion du réseau clunisien au temps de la réforme : engagée par tradition du côté de la papauté, Cluny éveille la méfiance des grands par sa puissance et son indépendance. Certes, les

huguenot mange les vingt catholiques; mais aussi pourquoi ces vingt catholiques mangeraient-ils ce huguenot, et pourquoi empêcher ce huguenot de se marier? N’y a-t-il pas des évêques, des abbés, des moines, qui ont des terres en Dauphiné, dans le Gévaudan, devers Agde, devers Carcassonne? Ces évêques, ces abbés, ces moines, n’ont-ils pas des fermiers qui ont le malheur de ne pas croire à la transsubstantiation? N’est-il pas de l’intérêt des évêques, des abbés, des moines et du public, que ces fermiers