Ghardaïa

Soudan (p 117). Les passeurs parquent les émigrants près de la mer, les volent, les insultent. Soleiman proteste : roué de coups. En se réveillant, voit un homme (boiteux) qui lui dit qu’il ne faut pas passer par la Libye mais par l’Espagne (aller à Ghardaïa, en Algérie) et lui propose de venir avec lui : s’appelle Boubakar. Chap VII L’homme Narrateur extérieur à l’histoire, mais point de vue interne (celui de Salvatore Piracci) Piracci convoqué par ses supérieurs : refuse d’y aller. Ne veut plus

instable. Il fait ce choix car il se rend compte que ce monde dans lequel il vit est faux, pleins de mensonges. Il quitte donc ce monde dans l’espoir de donner un but à sa vie. Après un long périple, il semble enfin avoir trouvé sa voie à Ghardaïa lorsqu’il endosse le rôle d’une divinité, Massambalo, protectrice des immigrés. En effet assis sur une place, il redonne espoir à Soleiman en se faisant passé pour Massambalo. Il décide alors de toujours se faire passer pour la divinité afin de

pouvait plus traverser par la lybie vus que les cotes sont mtn surveiller mais par le maroc en passant par ghardaia en algerie salvador qnd a lui arriva en afrique et rencontris la chef des passeurs , et perd son envie de vivre la chef des passeurs lui proposa une grande somme d'argents pour qu,il travaille avec eux mais puisqu'il ne voula pas , il decide de s'enfuir vers ghardaia arriver a ghardaia , il rencontrit souleymane et boubakar , qui le confondir avec massambalo ( divinite veille sur les voyageur

il rêve de l'Eldorado. Il va être à son tour une de ces silhouette qui n'ont ni nom, ni histoire. 8 . Je me perdrai a Ghardaia Nous roulons depuis quelques jours sur les routes sans fin. Soleiman est sur le toit d'un camion aux côtés de Boubakar et au milieu de Libyens et Égyptiens. ( c'est Boubakar qui a payé le voyage à Soleiman). Nous roulons vers Ghardaia. Un homme ( Ahmed) est là, à ces côtés, il ne cesse de parler. C'est un algérien (il raconte qu'il va et vient dans la région pour

Lybiens ayant abandonné les barques. Il alla se réfugier dans le cimetière de « L’Eldorado ». Peu après, il reçut une convocation dû à son mauvais comportement donc il décida d’arrêter son métier. Il partit direction La Lybie puis prit le bus pour Ghardaïa. Le bus s’arrêta et le chauffeur demanda de l’argent à chacun. Dans un camp, un homme racontait que Massambolo était le Dieu des émigrants et qu’il veillait sur eux. Salvatore s’aperçut que sa vie n’avait plus de sens depuis qu’il avait rencontré

sens inverse du flux migratoire (« Il partait là-bas, dans ce pays dont ils venaient tous », p.146). CHAPITRE VIII. JE ME PERDRAI À GHARDAÏA Soleiman et Boubakar roulent vers Ghardaïa, en Algérie, dans un camion surpeuplé. Alors qu’il sait que l’argent va venir à manquer, Soleiman profite d’un arrêt à Ouargla pour assommer et voler un marchand algérien. À Ghardaïa, alors que Boubakar cherche un moyen pour passer au Maroc avec l’argent volé, Soleiman n’assume pas son acte et s’éloigne (« Je ne mérite

dont ils venaient tous "page 146. VIII. Je me perdrai à Ghardaïa. SOLEIMAN. Soleiman, Boubakar. Algérie. (Ghardaïa). Narrateur personnage et narration à la première personne du singulier. Focalisation interne. Soleiman et Boubakar roulent vers Ghardaïa, en Algérie, dans un camion surpeuplé. Alors qu’il sait que l’argent va venir à manquer, Soleiman profite d’un arrêt à Ouargla pour assommer et voler un marchand algérien. À Ghardaïa, alors que Boubakar cherche un moyen pour passer au Maroc

consacrée à André Ravéreau a été conçue dans le cadre de « Djazaïr, l’année de l’Algérie en France ». Avec le soutien de : Centre régional des Lettres / Région Languedoc-Roussillon, École polytechnique d’architecture et d’urbanisme d’Alger, Ville de Ghardaïa, OYce de promotion et de protection de la vallée du M’Zab, Institut d’architecture de l’université de Genève, École d’architecture de Lille, École d’architecture Languedoc-Roussillon, École d’architecture de Grenoble, équipe de recherche « Cultures

fil des mois, font route vers le Maroc en passant par Ghardaïa. De son côté Salvatore Piracci arrivé en Afrique, perd petit à petit son envie de vivre après avoir rencontré la chef des passeurs. Elle lui propose de travailler pour elle et lui laisse une grosse somme d'argent afin de le convaincre. Il s’enfuit vers Ghardaïa pour échapper à ces obligations. En chemin il tente de s’immoler par le feu mais n'y arrive pas. Puis arrivé à Ghardaïa, il rencontre Soleiman qui le confond avec Massambalo

sens inverse du flux migratoire (« Il partait là-bas, dans ce pays dont ils venaient tous », p.146). CHAPITRE VIII. JE ME PERDRAI À GHARDAÏA Soleiman et Boubakar roulent vers Ghardaïa, en Algérie, dans un camion surpeuplé. Alors qu’il sait que l’argent va venir à manquer, Soleiman profite d’un arrêt à Ouargla pour assommer et voler un marchand algérien. À Ghardaïa, alors que Boubakar cherche un moyen pour passer au Maroc avec l’argent volé, Soleiman n’assume pas son acte et s’éloigne (« Je ne mérite