Ghréline

cardiovasculaire, et la régulation métabolique.  Cette dernière a été particulièrement démontrée dans  la régulation du poids pour laquelle il a été mis en évidence qu’une réduction du temps de sommeil entraine des modifications de la sécrétion de la ghréline et de la leptine, deux hormones régulatrices du circuit des aliments,  contribuant ainsi  à une prise de poids. Aux Etats Unis où l’obésitéprend des allures d’épidémie, les chercheurs avancent l’hypothèse du rôleconcomitant de la privation de sommeil qui

infections, vomissements, troubles de l’œsophage, lésions de l’estomac, etc. * Sleeve ou Gastrectomie : Technique non réversible qui consiste à retirer environ les 2/3 de l’estomac et principalement la partie contenant les cellules sécrétant la ghréline (hormone stimulant l’appétit). L’estomac a alors la forme d’un tube vertical et les aliments arrivent rapidement dans l’intestin. L’appétit est donc diminué et la digestion des aliments n’est pas perturbée. Cette intervention entraîne une sensation

LEPTINE = hormone produite par les adipocytes. Elle indique les réserves de graisse présentent dans l’organisme Joue un rôle dans la régulation du poids Si ablation de leptine → obésité. Le signal de satiété est contrôlé par la leptine et l'insuline. Ghréline → signal de faim (estomac vide) Ces molécules traversent la barrière hémato-encéphalique et vont émettre des signaux sensoriels reçut par le noyau arqué. Le noyau arqué recueille toutes les informations de la faim, de la satiété et quelques informations

parlerons des conséquences physiques. Dans Le sommeil, bonne nuit, l’auteur dit que la fatigue entraîne une baisse de l’activité physique et une tendance accrue au grignotage, facteur de risque d’obésité « la privation de sommeil fait grimper le taux de ghréline, hormone qui stimule l’appétit ». Dans Les rythmes des enfants ne sont pas ceux des adultes François TESTU, lui, explique que les troubles psychomoteurs (douleurs, fractures etc.) peuvent également être des conséquences du dysfonctionnement du sommeil

alimentaires nécessaires au métabolisme du microbiote humain, sont doublement impliqués dans la régulation du poids : d'une part, ils augmentent la sensation de satiété, modulant les concentrations de médiateurs dérivés de l'intestin comme le peptide YY, la ghréline et le GLP-1 (glucagon-like peptide-1, peptide analogue au glucagon-1)15 ; d'autre part, des prébiotiques comme l'inuline et des oligosaccharides analogues ont une action anti-inflammatoire et régulatrice de la flore intestinale8. Comme d'autres

rapidement la satiété, ce qui aboutit en une consommation plus importante, avec pour conséquence une prise de poids qui n'aurait probablement pas eu lieu si le goût sucré avait été dû au sucre de cuisine ou au glucose[31]. Le fructose augmente les taux de ghréline, hormone qui stimule l'appétit…[32] Il existe des rapports faisant état d'une corrélation entre la consommation de fructose et l'obésité, spécialement l'obésité centrale (aussi appelée obésité abdominale) qui est habituellement vue comme la plus

et peptides La gastrine augmente la production d'acide chlorhydrique en sachant que cet acide participe à l’initiation par et dans l'estomac de la digestion des protéines. Donc les protéines facilitent leur propre digestion avec la gastrine. - la ghréline est libérée par l'estomac quand celui-ci est vide. Elle est un des éléments qui initie la prise alimentaire (hormone de la faim). On sort de l'estomac pour arriver à l'intestin grêle. - cholécystokinine ou CCK → capable de la contraction de la vésicule

ingèrent beaucoup plus de Calories vides. C’est ainsi que ceux qui dorment moins de 6 heures sont parmi les plus gros Obèses. Il y a association de Troubles Comportementaux et de Troubles Métaboliques. Il y a des modifications des sécrétions de Ghréline, de Leptine, de Cortisol et de GSH, avec apparition d’une Insulino-Résistance. Dans ces conditions la Leptine diminue, or elle est satiétogène et anorexigène. Chez la personne Obèse on voit se développer une Leptino-Résistance. Ce phénomène s’accentue

repas chauds par exemple, et ce à des heures régulières. Une autre cause de ces troubles serait liée au décalage de l’horloge biologique avec des dérèglements des hormones, notamment l’hormone de croissance, la leptine (hormone de satiété) et la ghréline (hormone de la faim). La sécrétion de ces hormones ne concorderait plus avec les horaires, d’où un surpoids fréquent des travailleurs de nuit. De plus, comme nous l’avons dit précédemment, le manque de sommeil augmente le risque de maladies cardiovasculaires

assez. Ils ont notamment démontré par des études que les plus petits dormeurs (nuits de 5 heures ou moins) ont plus d'appétit en journée, et donc qu'ils mangent plus. Les hormones seraient en cause. Le manque de sommeil aurait un effet direct sur la ghréline et la leptine. Deux hormones qui, respectivement, stimulent l'appétit et créent la satiété. Dormir suffisamment permet de garder un bon équilibre de nos hormones en général. Chez l'homme, un bon sommeil permet de produire plus de testostérone, l'hormone