Gilgamesh

« solitude » et « dureté ». Le premier nom, « puissance », donne le sentiment de faire face à des êtres surhumains et imposants, à des géants -1-Commentaire de « Ils étaient hommes des forêts… » (Sylvie Germain, Jours de colère) de la mythologie, tels Gilgamesh et Enkidu. Le second, « solitude », donne le sentiment que ces forêts du Morvan sont à la fois séparées du reste du monde, et séparées, même dans le Morvan, des humains qui habitent dans leurs alentours. Ces neuf frères sont nombreux, puisqu’ils

envahi par « les noires ténèbres » décrites par Freud. Intégrer sa part d’ombre est une démarche certes difficile mais nécessaire à la construction de notre « Moi » ; c’est ce que Thomas Mann appelle : « Eclairer le côté nocturne de l’âme ». Tel Gilgamesh, roi et héros légendaire de Mésopotamie, nous devons affronter l’obscurité de notre monde souterrain, de notre « moi » intérieur, pour sortir « de l’autre côté de la montagne dans la lumière de l’aurore » Sans doute que nous, Che∴ R+ C, qui, à la

assyrobabylonien "lilitu" qui signifie "démon femelle" ou "esprit du vent". Toutefois, Lilith apparaît déjà plus tôt sous la forme de "Lilake" dans des tablettes sumériennes d'Ur de 2000 ans avant notre ère, dont la fameuse tablette de l'épopée de Gilgamesh. L'étymologie hébraïque populaire fait dériver Lilith du mot "layil", la nuit, & c'est pourquoi elle apparaît souvent sous les traits d'un monstre de la nuit. Selon la légende, Salomon a suspecté la Reine de Sabbah d'être Lilith sur le fait qu'elle

voyage en 1884 « Eloignez-vous de ma mémoire, rives du Nil et du Chatt el-Arab, roseraies parfumées d’Ispahan et de Chiraz : auprès de Bahreïn vous me semblez de tristes déserts ! » Et cette réputation est très ancienne, déjà dans la légende de Gilgamesh, Bahreïn était considéré comme une Terre d’Immortalité. Malgré tout, les ressources souterraines ne suffisent pas et des usines de dessalement se sont développées le long du littoral ; l’ensemble géré par Manamah Water Supply Scheme. Cet organisme

voisine du hittite, le luwite.(voir alphabet, langues). Sumériens, Akkadiens Assyriens ont des Langues sémites. Babyloniens. Mèdes, Perses ont des langues indo-européenne. Pourtant ils ont Le Mythe du supersage. De l’atrahasi : Le Mythe de Gilgamesh. (Mythe antropogonisme ) : Début de l’épicurisme. Interprétation du serpent du mythe : Le serpent a toujours été considérer comme un animal possédant une sagesse terrienne (car il rampe sur la terre, donc il est tjrs en contact avec la terre). Le

aujourd’hui cette finitude est confirmée par la science et l’Astrophysique, mais elle était déjà présente dans les textes anciens : on retiendra l’Apocalypse biblique chez les judéo-chrétiens, le mythe des Quatre-soleils chez les Aztèques, ou encore le Gilgamesh chez les Sumériens. Or si l’homme a toujours eu la conscience de cette finitude, pourquoi y vouloir laisser une marque pour dépasser sa mort ? TROISIEME CONTRADICTION Trois contradictions nous montrent que l’argument précédent n’est pas justifié

littéraire de l’humanité, utilisant le rythme comme aide à la mémorisation et à la transmission orale, la poésie apparaît d’abord dans un cadre religieux et social en instituant les mythes fondateurs dans toutes les cultures que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh, (IIIe millénaire av. J.-C.) en Mésopotamie, les Vedas, le Ramayana ou le Mahabharata indiens, la Poésie dans l'Égypte antique la Bible des Hébreux ou l'Iliade et l'Odyssée des Grecs. Entre Apollon et Dionysos La poésie fut marquée par l’oralité

ville d’Uruk. Le roi Agga est le roi de Kish et le roi Gilgamesh est roi d’Uruk. Agga envoie ses émissaires et lance un ultimatum à la ville d’Uruk: «Chers confrères je vous laisse un mois afin que vous me reconnaissiez moi roi de Kish comme suzerain et que vous vous soumettiez à mon pouvoir sinon, si vous n’avez pas déclarer votre vassalité à mon sujet, je vous promet la guerre». Quelle réponse donner à ce roi? Le récit nous conte que Gilgamesh a convoqué ses hommes en convoquant deux assemblées:

légendaires qui occupent une place centrale dans notre histoire alors que les faits, les témoignages et les restes archéologiques sont peu fiables voire absents et contraires parfois à ce que révèlent les dernières découvertes archéologiques. Ainsi Gilgamesh le héros babylonien n’a aucun fondement historique. De manière plus sensible, de nombreux auteurs discutent l’existence et les faits miraculeux qui concernent les héros bibliques et coraniques. L’existence d’un couple humain primitif Adam et Eve

polythéistes). Le fait que la Bible commence par un récit cosmogonique n’a rien d’original. Cette absence d’originalité est renforcée car ce livre s’inspire très fortement dans la forme d’autres récits de la création du monde, notamment l’épopée de Gilgamesh. Principale source d’inspiration de la Genèse. Cette épopée est un récit qui trouve son origine en Mésopotamie (Irak actuelle), et a une première composition quelque part au cours du IIIème millénaire avant JC. Ce récit ancien va devenir un véritable