Giotto Chapelle Scrovegni

Guillaume d'Occam pour voir le catholicisme se réconcilier avec les sensations et l'expérience de la nature, et pour que réapparaisse un certain intérêt pour l'objet en tant que tel au travers des œuvres de Giotto (fresque en trompe l'œil de 1305 représentant un lustre en fer forgé à la chapelle des Scrovegni à Padoue) et de Duccio di Buoninsegna (vers 1255-1260-vers 1318-1319). Il faudra toutefois attendre encore deux siècles pour voir s'imposer la représentation d'objets comme sujet d'une peinture. XVIIe

cm de haut et 317 en largeur. C’est une des œuvres les plus importantes de Masaccio puisqu’elle est aboutissement de la perspective. Cette fresque est un trompe-l’œil, avec comme fond une voûte en berceau et un plafond à caissons appartenant à une chapelle en arc de triomphe. [pic] Masaccio « La Trinité » (vers 1428) Piero di Benedetto de Franceschi dit Piero della Francesca : Piero della Francesca est né vers les années 1420 à Borgo San Sepolcro. Il se sert de la perspective pour structurer

d’une présence, mais elle n’est pas faite pour être regardée, elle n’est bien souvent visible que des prêtres. Or nous ne voyons plus cette statue de Zeus ou d’Athéna, comme un Grec pouvait la voir. De la même manière lorsque Giotto représente dans la Chapelle des Scrovegni la crucifixion, c’est dans un lieu saint qu’il le fait, dans une représentation du chemin de croix. Cette valeur de culte a disparu : nous ne voyons plus aucun Dieu, sinon dans la figure de l’artiste. Qu’est-ce qui caractérise

a) les prémices CIMABUE, La vierge en Majesté, 1270 > 1er peintre identifié, créateur de l'école italienne >visages modelés, plis des vêtements, volonté de perspective (fausse mais profondeur), or = lumière divine GIOTTO à Padoue, chapelle Scrovegni, Lamentations sur le corps du Christ mort > élève de Cimabue > symbolique: auréoles dorées (présence des anges) >naturalisme: décor pour la scène = contexte, visages singuliers avec émotions (tristes ici), personnages

partiel et d’une réduction du temps d’attente au Purgatoire, mais avec la certitude de pouvoir accéder au Paradis = prédominance de l’Eglise. * Rôle de mécénat construction d’églises et rétributions des artistes : chapelle Scrovegni peinte par Giotto à Padoue (autant une forme d’autoglorification de cette famille de marchand qu’une œuvre de miséricorde). * Développement d’une culture marchande : * Esprit d’entreprise * Le marchand dépossède Dieu de la

au long du Moyen Âge et à la Renaissance. On les trouve dans la sculpture et les peintures qui ornent les églises8. On les trouve par exemple sur les chapiteaux des colonnes du Palais ducal de Venise, sur les fresques de Giotto di Bondone (1267-1337), pour la chapelle des Scrovegni de Padoue, (ca. 1305-1306). Aux XVIe et XVIIe siècles, ils inspirent encore des artistes tels que Jérôme Bosch, Pieter Bruegel l'Ancien ou Jacques Callot. Arts mimétiques Le théâtre médiéval représente les tentations

pardon partiel et d’une réduction du temps d’attente au Purgatoire, mais avec la certitude de pouvoir accéder au Paradis = prédominance de l’Eglise. Rôle de mécénat  construction d’églises et rétributions des artistes : chapelle Scrovegni peinte par Giotto à Padoue (autant une forme d’autoglorification de cette famille de marchand qu’une œuvre de miséricorde). Développement d’une culture marchande : Esprit d’entreprise Le marchand dépossède Dieu de la mesure du temps  développement

personne en train de crier à cause d’une souffrance intérieure. Tout comme par la poésie, par le cri, il extériorise et se soulage, tout du moins partiellement. 1 La souffrance due à la mort d’un proche Giotto, (1267-1337) Déposition de croix, église de l'Arena de Padoue, chapelle Scrovegni, 1303-1306 Derniers Vers Je n’ai plus que les os, un squelette je semble, Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne

œuvres du diaporama 123456789101112131415161718Rabula : enluminure, 586, Florence Vitrail : 1165-70, Poitiers cathédrale Christ souriant de Javier, sculpture sur bois, 13°s Croix franciscaine, tempera sur bois, 1283-88, Florence Giotto, fresque, 13O5 chapelle degli Scrovegni, Padoue Louis Bréa, retable, peinture sur bois, 1475, Cimiez Nice Matthias Grünewald, huile sur bois, vers 1515, Colmar Vélasquez, huile sur bois, 1631632, Prado Madrid Paul Gauguin, « Le Christ jaune », huile sur toile, 1889,

constituer une icône du Royaume[12]. » Il est vrai que l’icône n’est pas le seul type d’image religieuse à laquelle il soit fait référence dans Les Poésies. Il est aussi question de peintres de l’Occident chrétien, tel Giotto, dont les fresques ornent la chapelle des Scrovegni à Padoue (p. 105), ou encore Fra Angelico, qui, en particulier, a peint les fresques du cloître du couvent San Marco à Florence (p. 130). Ces peintres sont en effet très proches à la fois par leur simplicité, leur réalisme