Gisant

disperser et s’étendre sur le bord de cette « terrasse ». Elle marque une heure clairement lisible : 7 heures moins cinq. Du côté droit de la seconde montre, une troisième montre molle est posée sur le cou d’une tête d’oiseau allongée vue de profil, comme gisant sur le sol et dont la large paupière est fermée. Une langue semble sortir de la bouche ouverte. La deuxième et la troisième montre n’indiquent pas la même heure. Au second plan on peut remarquer un élément naturel, qui semble transpercer la terrasse :

d’Anténor- un vieillard à cheveux blanc - habite au 3ème étage, porte droite dans la maison 39 à la rue Richelieu (1er au 2ème arrondissement de Paris) depuis 8 ans- possédait un commerce —> coiffeur ( Conditions du meurtre de la victime :- retrouver gisant dans une marre de sang étendu sur le dos les bras en croix dans sa chambre à coucher- les lettres « Monis… » faites en sang était écrites à côté de lui —> écris avec l’index de la main gauche de la victime - elle avait une

s’agir de l’amant et m’empressai de prendre des photos quand, j’entendis des cris sourds avant de le voir sortir très rapidement en courant. Mr Reafton : « et alors ?.... » Mr Wapol : « j’accourus sur les lieux et constatai le corps de Mme NELSON gisant sur le sol. Elle avait une large marque de strangulation. Un téléphone portable était à ses côtés » Mr Reafton : « était-ce celui de la victime ? » Mr Wapol : « oui, manifestement » Mr Reafton : « mais qui a-t-elle appelé ? » Mr Wapol :

mais comme il les voit. Le fait que les parties du corps soit déformés permet de montrer la souffrance des corps malmenés par la guerre. La composition du tableau : dans la partie basse, les figures sont à l’horizontale pour symboliser les morts gisant à terre et en fouillis pour montrer le nombre important de morts au cours du massacre. Le bas évoque donc la mort et le chaos. Dans la partie haute, les figures sont verticales et plus espacées, ce qui exprime davantage la vie ainsi que l’espoir qui

toit. L’été Surtout, vaincu, stupide, il était entêté 15 À se renfermer dans la fraîcheur des latrines : Il pensait là, tranquille et livrant ses narines. Quand, lavé des odeurs du jour, le jardinet Derrière la maison, en hiver, s’illunait, Gisant au pied d’un mur, enterré dans la marne 20 Et pour des visions écrasant son œil darne, Il écoutait grouiller les galeux espaliers. Pitié ! Ces enfants seuls étaient ses familiers Qui, chétifs, fronts nus, œil déteignant sur la joue, Cachant

guerre est de tous les temps) font que ce poème dénonce toutes les guerres et rend hommage à tous les soldats morts dans toutes les guerres. Il saisit ce combattant dans une posture noble et calme : il a « la main sur sa poitrine» (vers13), comme un gisant de cathédrale. Conclusion : voir séance 2

Pays Basque, la région où se situe Guernica. Sa gueule ouverte et sa langue pointue évoquent un cri de douleur. La lance qui le blesse au flanc rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux. Le guerrier mort gisant sous le cheval : C’est la victime innocente, la liberté assassinée. Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. Ses yeux renversés indiquent la mort. Il tient à la main une épée brisée, dérisoire pour lutter

personnages au dénouement dans une mascarade débridée. Elle l’amplifie et permet ainsi d’exploiter une dernière fois le ressort comique que constitue le caractère très affirmé de Madame Jourdain se querellant avec son époux. Elle est méfiante et intra gisante. La folie de Monsieur Jourdain permet un dénouement très original, puisqu’il n’est nullement détrompé, au contrainte tout le monde fait comme si sa folie était devenue réalité, alors nous pouvons prétendre que la naïveté et la vanité ne sont plus

du Saint lévrier Guinefort pratiqué jusqu'en 1930.En 1348, grand traumatisme qui est celui de la Peste Noire qui cause entre 50% et les 2/3 de la population européenne meurt... angoisse illustré par la danse macabre de Guyot, passage du beau gisant au gisant en décomposition illustrant notre avenir après la mort.Séance 3 : L'encadrement des fidèles, le clergé séculierLes Clercs ne sont pas homogènes : - les séculiers (seculum), encadrent les fidèles et sont en charge des sacrements. - les réguliers

d'art comme instrument de dénonciation ! 1 3 2 Maurizio Cattelan, All 2007 Installation constituée de 9 sculptures La frontière entre l'art et le réel, entre le trivial et le sublime est parfois mince... L’œuvre fait aussi bien référence aux gisants (ces statues représentant des morts, qui ornaient parfois les tombeaux des souverains) qu'aux cadavres alignés après une catastrophe, en attente d'identification. Imaginez la réaction du visiteur qui se retrouve devant ce qui ressemble de prime abord