Gitanes

logements sociaux et la décharge, une famille de gitans s'est sédentarisée. Il y a Angéline, la doyenne, ses fils, ses belles-filles et ses petits-enfants. Ils vivent de presque rien, sans papiers, sans travail, sans eau courante, sans essence, à l'écart d'une société qui menace en dépit des lois de les expulser. Un jour, ils voient débarquer Esther, une gadjé, bibliothécaire, qui veut «lire des livres à ces enfants qui n'en ont pas». Les gitans l'accueillent avec méfiance, mais comme les enfants

joyeusement Wesker. Tout le restaurant sa hâta de se rendre à la place de l'explosoir. Les forces spéciales de Wesker avaient déjà arrêté le bûcheron fou. Les villageois attendaient la sentence des chefs suprêmes. Elena avait stoppé sa dans langoureuse de gitane, Karen était sortie de sa paperasse habituelle, Lloppet le facteur rasta prenait sa pause pour assister à l'exécution qui semblait plus qu'imminente. Les forces spéciales ligotèrent le meurtrier, maintenant condamné. Gwen la suprême monta sur l'estrade

société tel que l ' éducation des enfants ou rester à la maison ( femme au foyer) . De plus , cette garde civile fut critiquée par de nombreux poètes notamment Federico GARCIA au 20 eme siècle par rapport à leurs actes délictueux comme la traque des gitans et des homosexuels ou les assassinats et les meurtres . En effet , Federico GARCIA LORCA né en 1895 est mort sous les balles de la gardes civile en 1937 par rapport aux critiques qu il a fait envers la garde . De plus , son poème ( Romance à la garde

avec l’image du chant gitan : (je cite) “Tchororo, Tchororo”, répété à plusieurs reprises” ou “Gatchapla”. Zaid , porte un jugement de valeur sur cette culture et sur cet autre qui instaure cette culture.Il considère cette chanson comme mauvaise et montre donc, en plus d’une dépréciation de l’autre , la dépréciation d’une culture autre (je cite) “comme si comprendre était affaire d’en avoir le temps “; “pauvre pauvre”. Après l’image du chant gitan apparaît la figure du gitan, la figure de l’autre

seraient responsable de cette mort. la divination et les prémonitions. paranormal (lévitation, prolifération) Remedios la belle apportent la mort, représentation maléfique. Référence à la franc maconnerie, alchimie et cabbale. Mois de Mars, gitan arrivent, premier mois du calendrier alchimique. Gabriel GARCIA MARQUEZ Retour liste Retour biblio Fiche : Auteur Gabriel Garcia Marquez Editeur Seuil Collection Points, numéro 1 Nombre de pages 460 pages

Rom est le seul nom que les Tsiganes se donnent entre eux. Tous les autres termes servant à identifier les Tsiganes ont été donnés par les Gadjés. Gitans : c'était un groupe de Tsiganes qui habitaient dans un endroit comparable au delta du Nil, nommé la petite Egypte. On les a donc appelés « égyptien » et ce mot a été déformé en « Gitan » , « Gypsie » en anglais. Bohémien est le nom des premiers Tsiganes arrivés en France, ils venaient de la Bohème, d’où leur surnom. Manouche : en Allemagne

A la fin du XVIII et au début du XIX° siècle, une rumeur courait dans les campagnes françaises : des gitanes espagnoles volaient des enfants et leur coupaient la coin des lèvres de chaque côté à l'aide d'un couteau à fin qu'ils aient un très grand sourire c'est ce qu'on appelle le sourire de l'ange. On disait aussi que ces femmes étaient des sorcières, qu'elles prenaient aussi des enfants pour leur jeter des sorts et empêcher l'un de leurs membres de pousser. Bien sûr, personne ne sait si cela est

000 à 500 000 Roms, dont la quasi totalité est de nationalité française. La quasi-totalité des Roms parlant les langues d'origine romani est bilingue, mais un nombre indéterminé ne parlent que les langues des pays où ils vivent ou ont vécu. Les Gitans, par exemple, s'expriment le plus souvent en dialectes hispaniques, comme le caló. Les Roms parlent aussi la langue dominante de la région dans laquelle ils vivent, voire plusieurs langues. On a suggéré que, lorqu'ils étaient encore en Inde, les

Pyrénées, Alsace du nord. On les rencontre en caravane à la périphérie des grandes villes ou en maison surtout dans des villes du sud de la France ( Perpignan, Montpellier, Nîmes, Arles... ). La société occidentale basée sur la vie sédentaire place le Gitan comme quelqu'un qui refuse les lois et les valeurs de la société dominante. Être nomade aujourd'hui reste dans l'esprit des gens synonymes de vagabond et d'asocial. Valeurs vécues chez les tsiganes : famille nombreuse et unie autour de son chef

gravissent la colline puis violon et guitare qui laissent le temps aux personnages d’atteindre le lieu de rassemblement qui est en fait une soirée musicale. On découvre alors deux musiciens un violoniste et un guitariste. Ca ressemble à de la musique gitane mais les claquements de mains et de pieds nous orientent plutôt vers le flamenco. Les claquements de mains disparaissent pour laisser entendre que les instruments à consonance arabe avec la flûte. On entend encore un peu par moments la guitare. Puis