Glaucon

entre une certitude interrogée et une certitude non interrogée. L’évidence qui a résisté au doute n’est pas de même nature qui m’avait au départ enfermé dans mes préjugés. On ne peut pas mettre dans le même sac un Thrasymaque ou un Adimante ou un Glaucon. Le fanatisme en est un exemple. Le questionnement n’abolit que la certitude non interrogée. Il reste une grande différence entre une volonté d’étonnement et celui qui prétend avoir raison. Le cheminement de Descartes nous montre bien un doute provisoire

trouverions dans un modèle qui serait plutôt sociétaire en effet nous favoriserions l'individu par rapport au groupe car nous agirions pour nous même sans penser aux intérêts d'autrui. De plus nous avons pu apprendre aussi grâce au discours de Glaucon cité dans l'ouvrage de Platon « La république » que l'homme a un penchant naturel à prendre du plaisir à commettre des injustices, donc le fait de commettre des actes immoraux devrait être uniquement bénéfique pour l'être humain se trouvant dans une

nécessaire pour sortir de l’ignorance. Mais qu’est-ce alors qui pourrait la corriger ? La vérité est-elle ailleurs ? Développement. On peut s’appuyer sur l’allégorie de la caverne de Platon qui ouvre le livre VII de La République. Socrate y montre à Glaucon le tableau d’hommes enchaînés dans une caverne, regardant un mur où défilent les ombres d’objets fabriqués qui sont portés derrière un mur par d’autres hommes et qu’éclaire un feu sur une hauteur. L’un d’eux, libéré, finit par découvrir d’abord dans

· Le monde sensible · Le monde intelligibleExemple  : Idée 3 : Le Lit Platon prend lui-même dans le livre X dans République entre Socrate et Glaucon. Quand quelqu’un prononce la phrase « Le lit est un meuble » de quel lit parle -t-on ? On ne parle pas d’un lit en particulier ? Il ne ressemble à rien de particulier, il n’a pas d’apparence. Le lit en général permet de penser

que nous n’aimons donc plus, puisque l’amour est manque, et c’est ce qu’on appelle un couple. Si bien que la seule réfutation vraie du platonisme, ce sont les couples heureux. La république * Dialogue entre Glaucon (aveugle) et Socrate * Socrate va faire comprendre à Glaucon comment bien vivre avec la société * Allégorie de la vérité montrée dans allégorie de la caverne * Socrate imagine des êtres enchaînés dans une caverne de manière à ne pouvoir voir que le fond de celle-ci

d’exposer sa pensée personnelle. Or toutes les opinions qui ne s’appuient pas sur la science font pour Socrate pâle figure, les meilleures sont toutes au plus des aveugles qui vont le droit chemin. C’est alors l’opinion vraie sans intelligence. [506 d] Glaucon veut absolument que Socrate expose cette conception du bien. Mais ce dernier a peur de faire rire et veut laisser là la recherche du bien tel qu’il est en lui-même. [506 e – 508 b] L’image du bien. Le bien est trop haut pour que Socrate puisse dire

accompagné Socrate au Pirée pour assister à la célébration en l’honneur de la déesse Bendis, et c’est à lui que Socrate adresse les conclusions du livre X. Le mythe de Gygès le Lydien constitue la tirade centrale du discourt de Platon sur la justice .Glaucon au livre II, exige de Socrate la preuve que la vie de l’homme juste est préférable à celle de l’homme injuste, condition nécessaire pour pouvoir affirmer que la justice est digne d’être choisie entièrement pour elle-même, et non en vertu des conséquences

pouvoir peuvent faire tout ce qu’ils désirent. Mieux, ils sont d’autant plus capables que le pouvoir consiste à faire faire aux autres. Ainsi le tyran accompli est-il capable de plier l’ordre du monde à ses désirs. C’est ce que le frère de Platon, Glaucon, un des personnages de La République, illustre dans le livre II avec le récit de l’ancêtre de Gygès le Lydien. Simple berger, il trouve un jour sur un cadavre qu’il a profané un anneau magique qui le rend invisible, il séduit la reine, prend le pouvoir

comblerons d'honneurs pendant sa vie, et après sa mort nous lui érigerons le tombeau et les autres monuments qui peuvent illustrer le plus sa mémoire. Pour celui qui ne serait pas de ce caractère, nous nous garderons bien de le choisir. Voilà, mon cher Glaucon, sans nous engager dans les détails, comme une ébauche imparfaite de la manière dont je crois qu'il faudra procéder dans le choix et rétablissement des magistrats et des gardiens de l'État. […] Maintenant comment inventer ces mensonges nécessaires

particulière. L'art est par conséquent un double mensonge. Sa valeur est donc nulle : il prétend représenter la beauté mais n'en montre que la copie d'une copie. Platon méprise tout particulièrement la poésie. Ainsi, dans un dialogue entre Socrate et Glaucon dans la République, Socrate accuse cet art d'avoir pour « plus grand méfait » d'être « capable de contaminer même les sages ». En effet, lorsqu'un homme entend de la poésie, il semble perdre ses moyens et laisser le plaisir s'emparer de la raison