Globalisation De La Richesse Et De La Pauvreté

soixante-dix ; celle-ci a quasiment été divisée par quatre et représente à peine 0,2 % du volume global des investissements directs à l’étranger à destination des pays en développement. L’Afrique noire apparaît de ce fait comme le parent pauvre de la globalisation économique et financière. Cette marginalisation avérée s’accompagne de multiples déséquilibres macroéconomiques. L’un des plus préoccupants est sans nul doute le niveau d’endettement des États africains. Les trois quarts d’entre eux ont un taux

des grandes îles (Australie, Ceylan, Cuba) le tracé des frontières pol coïncide rarement à un ensemble naturel. Leur délimitation présente des enjeux géopolitiques et géo-économiques majeurs => conflits . Les raisons : accès au pétrole, aux richesses maritimes, utilisation des eaux . // la délimitation des Etats ne correspond pas aux limites des espaces occupés par un peuple ( Afrique, Proche et Moyen-orient). Question des frontières maritimes est devenue une question brûlante et souvent

première partie le dépassement des frontières et l’amplification migratoire qui en résulte, puis en deuxième partie le besoin de limites dans un monde globalisé. Tout d’abord, il est indéniable de dire que le monde est dans un processus de globalisation constant. Comme Ulrich Beck le dit, « la réalité elle-même est devenue cosmopolitique ». En effet, dans un monde ouvert aux échanges et où les hommes sont de plus en plus interdépendants, l’importance des frontières semble s’estomper. Internet

contradiction avec l’esprit du libéralisme économique et s’opposent au ‘’laissez-passer’’. >Les théories du protectionnisme : Le Courant Mercantiliste (Bodin et Montchrestien) : pour eux l’Etat doit intervenir dans la vie industrielle et commerciale, et la richesse d’un pays provient de son propre commerce. (les politiques contemporaines qui freinent les importations et privilégient les exportations sont qualifiées de merc.). >Le protectionnisme offensif ou la protection des industries naissantes (List,

pauvres, le soir, au coin des rues. » Grâce au progrès technique, ils les plaignent aujourd'hui devant leur télévision. La pauvreté perdure, s'étend, voyage : elle n'est pas la spécificité des pays les plus pauvres. Mais partout, elle a des caractéristiques communes, à commencer par celle qu'identifiait Georg Simmel dans son travail pionnier (Sociologie, 1908) : la pauvreté ne peut être définie de façon substantielle, étant une construction sociale fondée sur la relation d'assistance. « Ce n'est

et de la sociologie des très grandes villes du monde. Elle est connue pour ses analyses sur la globalisation et sur les migrations internationales. Elle est à l'origine du concept de ville-mondiale (global cities), notamment exposé dans son livre The Global City. Elle est professeur de sociologie à l'Université Columbiaet à la London School of Economics. 6 Bibiographie : en 2009 : La globalisation. Une sociologie. Ed.Gallimard. ISBN 978-2070785117 6 - - - - Les échanges multipliés

mondialisation contemporaine [modifier] Aspects économiques Article détaillé : Mondialisation économique. L'évaluation des conséquences de la mondialisation économique comprend plusieurs volets, très contrastés selon la richesse du pays considéré. [modifier] Pays riches Pour les pays riches, la mondialisation économique comporte deux bénéfices essentiels. Le premier profite au consommateur, qui a accès à un éventail plus large de biens (diversité) à un prix plus faible que s'ils étaient

Berthet Cécile Résumé : RICHESSE DU MONDE, PAUVRETE DES NATIONS de Daniel Cohen Le titre de l’ouvrage de Daniel Cohen lui même écrit en 1997 révèle un paradoxe. En effet, le monde ne cesse de s’enrichir alors que la pauvreté est bel et bien présente que ce soit dans les pays riches ou pauvres. L’auteur observe plus principalement un face à face entre un monde pauvre qui ne cesse de s’enrichir et des vieilles nations occidentales riches qui semblent s’appauvrir (chômage européen, « working

THEME 1 : CROISSANCE ECONOMIQUE, MONDIALISATION ET MUTATIONS DES SOCIETES DEPUIS LE MILIEU DU XIXème SIECLE | Définitions :-Croissance : augmentation croissante de la production de richesses. -Mondialisation : processus de mise en relation des économies des sociétés et de création d’un espace mondial d’échanges de biens, de services, d’informations.-Libéralisme économique : doctrine économique née en Angleterre à la fin du XVIIIème siècle qui fait de la non-intervention de l’Etat et du développement

mondiale Cependant, les pays du T.M ont quand même profité de croissance, ms à moindre mesure (ex : décollage éco. Sud/Est asiatique, espérance de vie ++ en 2 décennies –autant que pays Euro. en 2 siècles- ) Ds pays riches, croissance réduit gde pauvreté, ms ne supprime pas inégalités sociales (ex : 1954, début campagne Abbé Pierre) - Certains économistes se méfient de cette trop grande croissance (risques pr la planète). Mais qui les écouterait avant 1973 ?! II- La Fin du XXème siècle : crise