Globalisation De La Richesse Et De La Pauvreté

échanges ont retrouvé leur rôle de moteur de la croissance économique comme avant la WW1), essor du taux d’ouverture (rapport entre les exportations et le PIB) . Les flux financiers se développent après 1945, mais il est impossible d’évoquer une globalisation financière au début des années 1970 (US détiennent plus de 50% du stock mondial d’IDE dans les 1960’s . Préférences tarifaires accordées par PDEM au pays manufacturés du Sud en 1968 incitent les entreprises américaines à produire dans les pays

explique que, dans un contexte de , chaque pays, même les moins compétitifs, s’il se spécialise dans la production pour laquelle il dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible, comparativement à ses partenaires, elle accroîtra sa richesse nationale. Cette production est celle pour laquelle il détient un « avantage comparatif »5. Les approches de A. Smith et D. Ricardo aboutissent à la conclusion que les pays participent aux échanges internationaux en se spécialisant dans des produits

préceptes :  1) Privilégier la stabilité monétaire et la protection de la valeur des investissements en argent à travers l’application de mesures économiques de type monétariste [2], même si cela impliquait souvent une augmentation du chômage et de la pauvreté. 2) Privatiser les entreprises d’État et certains services publics, ce qui a favorisé en général l’emprise croissante des plus grandes entreprises du secteur privé et, en particulier, des investisseurs étrangers à qui ont été ainsi offerts de nouveaux

traits marquants de l'économie mondiale en ce début de XXIe siècle est la montée en puissance de la finance internationale. Cette transformation appelée globalisation financière se définit comme la création d'un marché unique de l'argent au niveau planétaire. Tout en étant liée à la mondialisation des échanges de biens et de services, la globalisation a été beaucoup plus spectaculaire dans le domaine financier : la finance est sans doute le seul marché réellement mondialisé... Les stocks d'IDE représentent

mutations renvoient a un élément objectif des RI qu’on appel les facteurs et ce sont ses facteurs qui transformeront les acteurs. La mondialisation est au cœur d’une relation facteurs-acteurs. Les facteurs étant : les calamités naturelles, la guerre, pauvreté, l’immigration. Les acteurs : sont ceux qui subissent ces facteurs (Etats, OI, les individus etc.) Chapitre 2 : intérêt de l’enseignement Il s’agit encore ici de 3 déterminants A) les prémices de la mondialisation :  Dans l’ouvrage du

Jusqu’au milieu du XIXème siècle, l’hégémonie des idées libérales a conduit à une intervention limitée de l’Etat, et les problèmes de pauvreté sont surtout vus comme structurels, inhérents à toute société, et traitée par une charité privée, le plus souvent impulsée par les églises. La diffusion des idées socialistes, l’existence de poches de pauvreté liées aux masses ouvrières nées avec l’industrialisation, vont peu à peu faire prendre conscience à l’ Etat des dangers des problèmes sociaux

parfois bien plus lucratifs, furent mis de côté au profit d’une production industrielle cristallisée autour de l’Armement. Après dix ans d'une terrible dépression économique et six ans d'un conflit mondial qui détruisit un nombre considérable de richesses, le monde, et notamment les pays développés ont connu une prospérité économique pendant environ 30 ans de 1945 au début des années 70. Une prospérité économique sans précédent dans l'histoire économique par son ampleur mais surtout par sa durée

• Les six parties du module – Origines et singularités du commerce ... mondial – Les institutions internationales – Economie mondiale et marchés émergents – Histoire de la mondialisation et poids des marchés – Libéralisme économique et globalisation – Crise mondiale, perspectives & les nouveaux enjeux 1- Origines et singularités du commerce ... mondial "L'histoire du commerce est celle de la communication des peuples"** Montesquieu, 18ème siècle La Chine réalise 50% de son commerce

vers la Chine ont détruit en quinze ans à peine 1,1 % des emplois en Amérique. En outre, en 2005, les importations de produits made in China dynamisées par ces délocalisations, ont généré en retour une économie de 460 milliards de dollars, richesse qui a été intégralement réintroduite dans l'économie locale. Aussi, en faisant baisser le coût des ordinateurs, la production à l’étranger a généré une hausse de la productivité américaine et un gain de 230 milliards de dollars pour le PIB entre

simplement une « globalisation » : sous réserve de moyens financiers tout le monde court faire le tour de la planète. Constat qui s'inscrit dans l'élargissement de la pensée de 1948 : intégration de toute la différence suggérée par le mot « mondialisation » mais en anglais cela se traduit par « globalisation » donc pas vraiment transmissible car peut presque suffire à une égalisation de toutes les conditions donc sorte d'écrasement des différences (identitaires ou autres) par le mot « globalisation ». « Globalisation »