Glycémie

diabètes, et concerne autant d'hommes que de femmes. Causes de cette maladie Chez un individu sain, le contrôle de la glycémie se fait par l’insuline, une hormone sécrétée par le pancréas (les cellules bêta du pancréas). L’insuline permet l’entrée du sucre dans les cellules pour qu’il soit utilisé comme énergie, particulièrement dans les muscles et le foie. La glycémie reste alors constante. Chez une personne atteinte de diabète de type 2, les cellules de l’organisme (en particulier musculaire)

d’administrer les traitements, prendre les constantes et faire les glycémies des patients atteints de diabète. Situation Mme X est âgée de 84 ans, elle est diabétique de type II (non insulinodépendant) et est suivie dans le service de médecine interne pour hyperglycémie.  Nous effectuons 2 passages par jour dans la chambre de Mme X, matin et soir, pour la réalisation d’une glycémie capillaire. Comme tous les matins, nous devions contrôler la glycémie de Mme X. J’avais déjà réalisé ce soin à plusieurs reprises

voire des maladies métaboliques Le role du foie , organe abdominal : Le foie décompose l'insuline, forme le glucose et le glycogène Le foie élimine le cholestérol, produit les triglycérides Détruit les vieux leucocytes et hématies, régule la glycémie dans le sang, le plasma Aide à la coagulation Détruit les toxines et les médicaments Converse l'ammoniac en urée Les traitements : Aucun traitement curratif n'existe, raison pour laquelle la cirrhose doit etre dépistée à temps. En fonction

cellules effectrices et entraîne une absence de glycogénogenèse et de lipogénèse, d’où le terme « maigre ». Par ailleurs le taux de glucagon est plus élevé que chez un sujet sain, l’effet antagoniste « glucagon, insuline » étant absent, la glycémie est d’autant plus élevée qu’il persiste une glycogénolyse inutile. B/ analyse histologique du pancréas Le pancréas d’un sujet atteint de DID, présente une masse nettement inférieure par rapport à un sujet sain. L’absence de cellules

Incapacité un pancréas de produire l’hormone régulateur du glucose dans le sang : insulineRégime diabétique non respecté | Glycémie capillaire haute | Glycémie capillaire 3 fois par jourInjection de lantus et de novorapid selon le protocoleEssayer de limité la prise de sucrerie | Résultat de la glycémie reste hauteGlycémie du soir :Insuline :Glycémie du matin :Insuline :Glycémie du midi :Insuline : | Hygiène corporelle | Désorientation temporo-spatiale et amputationBaisse de l’autonomie dû au surpoids

malaise peut être le résultat de plusieurs causes : problèmes cardiaque, neurologiques, hypo ou hyperglycémies, vagal, hyper ou hypothermie, … Le bilan complet consiste en une prise de constantes (tension, pouls, SaO2, température), un ECG, une glycémie capillaire et un Glasgow. Puis j’appelle le médecin et attends ses instructions. Je dois pratiquer un bilan sanguin ainsi qu’une pose de cathéter. Je me lave les mains et je prépare mon matériel : un kit de désinfection avec un tampon imbibé de

sociale : oui Psychologique : Comportement : Madame A est une patiente souriante, qui communique bien avec l'équipe soignante. Elle accepte les traitement et les prend sans les refuser. Anxiété : Elle est parfois anxieuse lorsque le taux de sa glycémie capillaire est élevée. Visiteurs : elle a la visite régulière de son mari. Il y a également les enfants qu'elle gardait lorsqu’elle était assistante maternelle Données cliniques du jour : Pouls : 75/min TA : 12,5 /8 mm HG T° : 36,9 °C

Analyse d’une activité de soin Une Glycémie Capillaire Monsieur D., 87 ans, est entré dans le service de diabétologie le 16/10/14 en fin de journée, transféré du service des urgences. Il est admis pour une décompensation de son diabète en lien avec une prostatite aigue diagnostiquée par son médecin traitant à son domicile. Son fils ainé l’a amené. Mr D présente un diabète de type 2 diagnostiqué il y a 50 ans, traité par Anti Diabétique Oraux puis par Insuline (Novorapide®, Novomix® et Lantus®)

sous surveillance. Je participe en aidant l’infirmière pour la distribution des médicaments quand nous arrivons dans la chambre de Mme G. Mme G est diabétique, l’infirmière doit donc pratiquer un contrôle de glycémie capillaire ainsi qu’une injection d’insuline si nécessaire. La glycémie capillaire ou hémoglucotest (HGT) est un geste qui « perfore la barrière cutanée » et qui est donc à risque infectieux. Mme G se déplace qu’en fauteuil roulant, elle est fortement dépendante pour les gestes

la glycorégulation : l’insuline sécrété par le pancréas est incapable d’exercer son action sur les cellules de l’organisme de l’organisme. Ce type de diabété est souvent asymptomatique, son dépistage et son diagnostic reposent sur le contrôle de la glycémie à jeun ou après stimulation par ingestion de sucre Ce type de diabète survient souvent chez les sujets en surpoids, ou chez les personnes prenant un traitements médicamenteux s’opposant à la l’action de l’insuline mais il peut apparaitre également