Gnoséologie

comme un roman philosophique. Étant donné que le protagoniste raconte en quelque sorte son mûrissement qui est inconditionnellement lié à la compréhénsion „des gens et des choses“, qu`on y parle en plus de „ la recherche de soi-même“ , voilà „une gnoséologie à la Célinienne“, on glisse facilement sur la piste du roman philosophique. Cette thèse semble plausible d`autant plus que Céline même définit son roman comme: „Roman philosophique, tableau de la misère de l`homme…, la recherche de soi-même“. En

differenciations tant epistemologiques que methodologiques entre concepts et operationnalites purement technicistes. De facto, nous rejoindrons ici 1' auteur lorsqu'il souligne a quel point Ia recherche cognitive s'est jusqu'a present contentee d'une gnoseologie spontanee baptisee tantot inter-, tantot transdisciplinaire, termes qui en verite, dissimulent une philosophie implicite refusant generalement I'effort classique de la reflexion epistemologique. Les postulats precedents sont ainsi communs aux paradigmes

(sociales, historiques, plastiques...) contribue à l’élaboration de la valeur urbaine. La diversité morphologique (la polymorphie) de l’espace urbain atteste de la complexité de l’univers « ville ». Elle fait apparaître l’inadéquation de toute gnoséologie réductrice de l’espace urbain qui consisterait à l’aborder selon un point de vue unique. La survivance de certains tracés urbains, d’axes de conformation, de localisation et d’implantation des bâtiments, des voies, des types de figures de composition

jurisprudence, projet scientifique des juristes, comporte, par définition, un aspect épistémologique. La dimension savante du droit étant nettement plus marquée que sa dimension normative, la théorie de la connaissance juridique (épistémologie ou gnoséologie) se confond avec les méthodes de la science du droit. Les distinctions contemporaines des sciences juridiques (outre l'épistémologie, la dogmatique juridique, théorie générale du droit, méthodologie juridique, légistique) perdent leur intérêt parce

ça se complique. C’est pour ça que je voudrais que tu sois a en ve. Nous passons à la gnosologie de Kant. – Gnoséologie. Une voix soudaine. Faible. Légère. Plaintive. Mais sa voix. – Diletta ! Diletta est tournée vers Niki. Elle lui sourit. – C’est avec un e. Tu te trompes, comme d’habitude... Niki n’y croit pas. Elle fond en larmes. Elle rit et pleure à la fois. – Gnoséologie, gnoséologie, je le répéterai des millions de fois, avec un e, avec un e ! C’est le plus beau mot du monde. Elle se lève

attitudes conduit à beaucoup plus d’indétermination qu’il n’y paraît. Il est donc délicat de placer la distinction « positivisme – constructivisme » dans la rubrique « méthodologie » car le concept n’a pas la même signification que dans le cadre de la gnoséologie. L’attitude positiviste règle la question épistémologie une fois pour toutes au nom d’une représentation causale et objective du « réel » et rabat l’épistémologie sur la méthodologie alors que l’attitude constructiviste fait du travail épistémique

est celle-là même qu’occupe le discours proprement métaphysique chez Aristote. Aussi nous ne sommes pas étonné de voir que la dialectique est appelée par Gramsci ici : « doctrine de la connaissance » ; elle est appelée encore par ailleurs : « gnoséologie ». Il s’agit là simplement d’un parler époqual Critique de Boukharine L’inaptitude à la dialectique 115 ou, si vous préférez, d’un lexique historique. Il s’agit d’un langage moderne pour le dire encore plus simplement. Car il est certain

de la réflexion politique, devient la référence essentielle du fondement de l’esprit libéral, l’investissant d’une forme modeste. A l’instar des anciens philosophes, Strauss rattache la modestie à l’idée théorique de la connaissance de soi, de gnoséologie critique, qui mesure les limites du savoir, renonce à l’intuition dogmatique de l’absolu et à la présomptueuse assurance réaliste. Elle révèle le principe de régulation et de mesure contre l’événement personnel. La modestie apparaît alors comme