Goffman Folie

ouvrent et ferment la pièce. On ne sait pas bien dans cette pièce qui en est le héros : Andromaque, rare sur scène mais qui survit, Hermione, qui mène l’action mais qui échoue, ou bien Oreste qui sombre dans la folie ? Cette dernière scène pose un problème scénique : comment représenter la folie ? Et pourquoi finir ainsi ? I Du dialogue au soliloque : un dénouement en deux temps. 1. La fonction informative de Pylade  Fidèle ami d’Oreste, il assure, comme lors de l’exposition, la transmission

lui-même est émerveillé de la magie du phénomène ; il est troublé, ne sait plus très bien comment relier ce qu’il voit à la réalité, comme le marque la rupture du rythme à l’avant-dernier vers. Son trouble va même jusqu'à un affolement proche de la folie !

*** Au bout de trois jours, il avait faim car il avait mangé toutes ses provisions. Il ne tenait plus. Désespéré, il tenta de retrouver le chemin de sa maison mais en plus d’être affamé et assoiffé, il s’était perdu ! Quand sa raison tournait à la folie, une nouvelle tempête éclata plus forte qu’à sa première nuit d’escapade. Cette fois-ci il n’avait plus assez de force pour lutter et décida de se laisser emporter par le grondement tonitruant des éclairs majestueux dans le ciel. *** Le lendemain

trois mat brésilien. Peu après, le narrateur contracte une maladie , il a de la fièvre et commence à avoir des perceptions folle, comme si quelque chose l’avait rendu dans cette état Dans tous le récit il va avoir une certaine gradation de cette folie il va de venir de plus en plus «fou», jusqu’à commettre l’irréparable. Un soir il s’endormit en laissant une carafe pleine d’eau à coté de son lit, en se réveillant il là trouva vide, après plusieurs expérience de se type il fit la conclusion qu’il

existe une incertitude sensible qui porte sur ce qui est indistinct ou peu sensible. Cette incertitude sensible ne remet pas en général en cause notre confiance en la certitude sensible. Descartes retient l’argument du rêve au dépend de celui de la folie ( alors que l’insensé est bien victime d’illusions, il croit en une réalité qui n’est que le fruit de son délire et que rien ne nous permet d‘affirmer que ne nous ne sommes pas fous.) car les Méditations sont une expérience existentielle. Chacun doit

pêle-mêle l'histoire de Fatmah, l'amie recluse ; celle de ces deux adolescents suicidés - et pourtant leur amour ne se heurtait à nul obstacle - ; celle de l'ancêtre venu des Indes, un saint, un visionnaire... aveuglé d'une sorte de fanatisme jusqu'à la folie ; l'histoire de son fils Sanjiva, qu'il persécuta ; celle surtout de la charismatique Vasumati, fille de Sanjiva et cousine d'Anjali, trop belle, trop vivante pour vivre longtemps, trop forte pour résister longtemps à la puissance insidieuse et collective

que la Folie l’accompagne? Il était une fois, tous les sentiments qui s’étaient réunis dans un même lieu sur la Terre. Quand l’Ennui avait bâillé pour la troisième fois, la Folie comme toujours si folle, a proposé : « on joue à la cache-cache? ». L’Intrigue a arqué un sourcil intrigué et la Curiosité sans pouvoir se contenir a demandé : « À la cache-cache? C’est quoi ça? » « C’est un jeu » - explique la Folie. – «

paragraphe, dans la première «  refoulée par la raison », dans la deuxième «  déraison » dans la troisième «  gouverne de la raison ». Dans les deux textes on voit une gradation sur la question de la raison. Dans les deux textes le champ lexical de la folie est utilisée; Dans l’extrait de l’horla, «  Perdu la raison », « reconquis la raison », « éperdu d’étonnement », « contemplais », « somnambule », « étranger inconnaissable, invisible », « qui comprenda », « sain d’esprit », «  plein de raison ». Dans

près la même chose. Caligula est le 3 ème empereur romain . C'est un tyran d'une très grande cruauté qui sera aussi dépeint dans « La fable du Lion ». L'histoire nous a confié qu'il a évolué dans son règne et sombré dans le détraquement de la folie . Il est devenu despotique. Camus reprend un personnage historique d'un cruauté réelle , c'est d'ailleurs l'origine de la cruauté qu'écrit Camus. La découverte se passe ici au début et non à la fin comme c'était le cas pour le personnage de Mersault

fantastique, et par le pessimisme d’un auteur face à la société de son temps, mais aussi par une maîtrise stylistique reconnue. Mais la carrière de Maupassant ne durera qu’une décennie, c’est-à-dire de 1880 à 1890, avant qu’il ne sombre dans la folie, folie qui précipita sa mort à l’âge de 43 ans. Il fut cependant reconnu de son vivant, et, renouvelée par les nombreuses adaptations filmées de ses œuvres, la carrière de l’auteur conserve un renom conséquent face à toutes ses créations : les plus connus