Gorgias

Nous avons vu que la position de Rousseau, comporte le danger que sous prétexte de rendre les gens libres contre leur gré, on ne leur face en réalité violence de façon illégitime. Il est vrai qu'il est parfois nécessaire d'exercer une contrainte sur les personnes qui refusent de respecter la loi, en les mettant en prison par exemple, dans le cas de délits graves ou de crimes. Mais il faut alors reconnaître que c'est pour protéger la société, et non pour rendre ces personnes libres qu'on en use de

ropos de [1]- Ce qui est rare se paie cher, or l’amour est rare, donc l’amour se paie cher. L’argument le plus faible est le [1] qui dit « Ce qui est rare se paie cher, or l’amour est rare, donc l’amour se paie cher. ». Du même genre et plus célèbre il y a : « Ce qui est rare est cher, or un cheval bon marché est rare donc un cheval bon marché est cher. ». En fait cela ressemble à un raisonnement logique mais cela part d’un préjugé très discutable que « Ce qui est rare est cher ou se paie cher »

Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si elle s’enseigne ou non, et sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l’essence de l’excellence. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent une question plus générale encore : la connaissance de la vertu est-elle seulement possible, et comment ? L’interrogation

Texte de PLaton "Ménon" Personnages : Socrate et Ménon - Texte à mettre en relation avec la derniére phrase des seconds analytiques d'Aristote . "[...] Ce qui ne veut pas dire que,par l'observation répétée de cet événement , nous ne puissions , en poursuivant l'universel ,arriver à une demonstration , car c'est d'une pluralité de cas particuliers que se degage l'universel ." Il y a chez Platon une trace de monothéisme . (grecs: polythéiste) Idée d'un fondement échappant à toutes preuves.

Guide de lecture sur l’Alcibiade Relire la section sur l’ignorance 116 e à 119 b (p.75 à 79) Après une discussion sur le juste, il a été démontré qu’Alcibiade ne peut pas connaître ce qu’est le juste puisqu’en aucun temps il n’a cru ignorer ce qu’est le juste. En effet, on ne peut pas désirer connaître ce qu’on croit déjà savoir. Que faut-il penser de l’ignorance d’Alcibiade ? De quelle sorte d’ignorance s’agit-il ? En quoi est-elle différente des autres types d’ignorance ? Lire la section

 Composez un portrait de Socrate et d’Hippias qui permettent d’opposer le philosophe au sophiste et de montrer la cohérence de chacun des personnages. Dans le cadre du cour de philosophie, nous avons lus en classe l’Hyppias mineur et l’Hippias majeur qui sont deux dialogues de Platon. Ceux-ci se recueille dans le livre premier dialogue. Nous pouvons constater avec une première lecture qu’Hippias prend soin de son apparence et est à l’affut des nouvelles tendances. En effet, dans une énumération

Faut-il toujours obéir aux lois? Le livre Apologie de Socrate Criton écrit par Platon met en scène la période de temps dans laquelle Socrate était enfermé en prison et attendait son exécution. Durant cette période, Criton prend le soin de venir le visiter à tous les jours. Socrate est emprisonné parce qu’il a été associé à son élève Alcibiade et l’oncle de Platon. Ces deux personnes ayant mené le renversement de la démocratie athénienne et l’instauration de la dictature des trente. Socrate a aussi

cité, car un gouvernement qui prétend dire la vérité est un despotisme, une dictature. Tout l’enjeu du Gorgias est de dire comment s’échapper du discours autoritaire et démagogue. Il s’agit de garder l’exigence de vérité sans aller au despotisme. C’est un livre sur le discours. Il y a toute fois un rapport entre la philosophie et les sophistes, ils l’ont influencé. Par exemple Gorgias a été l’élève d’un grand philosophe : Empédocle. Protagoras a été influencé par Démocrite et Héraclite.

ETUDE DE L’EXTRAIT DU GORGIAS Introduction Si nous entendons fréquemment parler de respect des droits de l’homme, c’est, semble-t-il parce qu’il faut sans cesse réaffirmer certaines valeurs face à des politiques qui déterminent le droit par le fait, défient la morale, et ne connaissent pour borner leurs excès que les limites de leur propre puissance. Cette opposition entre ce qui ne se réfère qu’à la Nature, et ce qui est selon la Loi, Platon la manifeste déjà dans le Gorgias, où l’on entend par

Dans le Gorgias, Socrate soulève les questions de puissance et de justice face à Polos. Il sera question dans ce texte des raisons pour lesquelles il est possible, selon Socrate, que quelqu’un qui commet une injustice fasse ce qu’il croit être avantageux sans toutefois faire ce qu’il veut ainsi que la façon dont Socrate en vient à démontrer à Polos que commettre l’injustice est pire que la subir. Premièrement, Socrate réfute Polos quant à la puissance de ceux qui commettent l’injustice. Il est important