Gottlob Frege

référence mathématique (« c’est vrai comme deux plus deux font quatre »), étaient fragiles et pétries de paradoxes et de contradictions (voir les travaux de logique mathématique de la fin du XIXème siècle et du début du XXème, comme ceux de G. FREGE ou de B. RUSSELL). Croire que quelque chose est « vrai » n’implique aucunement que cette croyance soit vraie. Kant à faire... Or que dit KANT ? Eh bien que la philosophie ne s’apprend pas comme une « discipline » scolaire parmi d’autres, mais

Motivations Au début du X X e siècle le professeur Frege peaufinait la rédaction du second tome d’un ouvrage qui souhaitait refonder les mathématiques sur des bases logiques. Il reçut une lettre d’un tout jeune mathématicien : « J’ai bien lu votre premier livre. Malheureusement vous supposez qu’il existe un ensemble qui contient tous les ensembles. Un tel ensemble ne peut exister. » S’ensuit une démonstration de deux lignes. Tout le travail de Frege s’écroulait et il ne s’en remettra jamais. Le jeune

psychologie» 7. Telle est la cible principale de Husserl dans ses Prolégomènes, et un des arguments anti-psychologistes les plus importants est attribué à Kant et il repose sur le caractère normatif de la logique8. Cet argument, que défend également Gottlob Frege, a été interprété par la suite comme le rejet pur et simple de la psychologie hors de la philosophie et il a créé un hiatus entre le champ d’investigation de la philosophie et celui de la psychologie. Si bien que les psychologues ont claqué la

Peut-on considérer que la vérité est provisoire? Si par vérité on entend l'adéquation entre ce qui est pensé et ce qui est, alors il faut en conclure qu'il que la vérité ne peut être définitive que si on y ajoute une détermination, comme le dit Frege dans ses recherches logiques. « Un credo religieux diffère d’une théorie scientifique en ce qu’il prétend exprimer la vérité éternelle et absolument certaine, tandis que la science garde un caractère provisoire : elle s’attend à ce que des modifications

PENSÉE Sommaire Introduction Qu'appelle-t-on penser ? L'intentionnalité des pensées Une conception « platonicienne » de la pensée : Frege La conception cartésienne de la pensée Critique de la conception cartésienne : Peirce, Wittgenstein et Ryle Pensée, machines et fonctionnalisme Langage de la pensée et individuation des contenus intentionnels Bibliographie Prise de vue « Penser » a, dans notre vocabulaire courant, des sens multiples. Mais les pensées sont avant tout des états mentaux, doués

homme politique et moraliste britannique. Considéré comme l'un des plus importants philosophes du XXe siècle, avec une pensée qui peut être présentée selon trois grands axes. La logique et le fondement des mathématiques : Russell est, avec Frege, l'un des fondateurs de la logique contemporaine. Son ouvrage majeur, écrit avec Alfred North Whitehead, est Principia Mathematica. À la suite des travaux d'axiomatisation de l'arithmétique de Peano, Russell a tenté d'appliquer ses propres travaux

homme politique et moraliste britannique. Considéré comme l'un des plus importants philosophes du XXe siècle, avec une pensée qui peut être présentée selon trois grands axes. La logique et le fondement des mathématiques : Russell est, avec Frege, l'un des fondateurs de la logique contemporaine. Son ouvrage majeur, écrit avec Alfred North Whitehead, est Principia Mathematica. À la suite des travaux d'axiomatisation de l'arithmétique de Peano, Russell a tenté d'appliquer ses propres travaux

LESAULNIER Amandine Travail sur les Recherches logiques de Frege Ce texte est issu des Recherches logiques de Gottlob Frege. Plus précisément, il s'agit de la première des trois Recherches logiques, c'est-à-dire La pensée, publié en 1918/1919. Il est question ici de l'analyse de la vérité d'abord au sein des propositions, des ambiguïtés liées au langage qui peuvent se trouver dans ces propositions et de la pensée en tant que sens des propositions. Ainsi l'auteur, de manière générale, se demande

conduit à la synthèse d'où émerge une nouvelle vérité. Il faut quand même noter que dans la théorie de Hegel il y a en fait une synthèse intermédiaire au sein de l'« antithèse », entre « opposition externe » et « division interne »[23] Gottlob Frege [modifier] Chez Aristote et les scolastiques du Moyen Âge la logique des connexions restait, dans une certaine mesure, tributaire des imperfections du langage courant ; de plus, la logique des prédicats, enfermée dans la triade sujet-copule-attribut

humoristiquement Ia diff6rence entre la signification et la chose signifide, lorsqu'ils afflrment que et - ont la m0me ddnotation, puisqu'il s'agit du mdme astre; mais clles n'ont pas le m6me sens : seraitla m6me, mais leur sens serait diffdrent> (Frege, 1971, 103)1. De fait. si elles avaient le m6me sens, serait tautologique , comme l'est (2) : (2) L dtoile du matin est I'dtoile du matin. Mais ( I ), ir la diffdrence de (2), est une phrase infbrmative ; elle peut apprendre )r l'interlocuteur quelque