Gouffre

pour établir clairement une relation entre lui et le poète « indolent » « maladroit » « honteux ». Nous l’aurons compris Baudelaire établit un parallèle entre l’albatros et lui, entre l’équipage et la société, entre le navire et la terre et entre le gouffre et la mort. Il procède de la sorte pour nous livrer sa vision idéaliste de la poésie et de la liberté qui devrait caractériser son auteur. La poésie existe dans un univers infini, Baudelaire utilise l’adjectif « vaste » pour définir cet horizon

le monde des glaces et des brumes aussi le royaume des morts. Helheim appartient a cette contrée. Helheim le domaine des morts. Muspelheim le monde du feu, situé à l'opposée de Niflheim On peut en plus rajouter Gignungagap qui signifie « le gouffre géant », il s'agit d'un abîme géant permettant de séparer Muspelheim de Niflheim évitant ainsi leur destruction mutuelle et la fin de l'équilibre de l'Yggdrasil. Ymir ou Le Mythe de la création Dans la mythologie nordique, Ymir aussi appelée

dernière srophe « des siècles innombrables ». Cette « mer » rime avec « amer » ce qui nous projette vers le monde du spleen que nous retrouvons dans la deuxième strophe, la plongée dans l’image nous rappelle d’une part le mouvement vertigineux du gouffre et du spleen et d’autre part le mythe de narcisse qui, amoureux de son image, perpétuellement penché sur l’eau limpide, ne se lassant pas de se « contempler », languit et dépérit. L’homme, éprouve cet amour narcissique envers la mer qui n’est autre

Bovary qu'il achèvera en 1857. Il fréquenta de nombreux salons où il rencontra George Sand, Baudelaire et les frères Goncourt. En 1869, il publie l'Education Sentimentale, oeuvre très critiquée. Mais un an plus tard, sa mère meurt et au bord d'un gouffre financier, sa santé se détériore, ses amis le quittent. Flaubert meurt le 8 mai 1880 d'une hémorragie cérébrale et laisse un livre inachevé, Bouvard et Pécuchet. A son enterrement, de nombreux auteurs lui rendent hommage comme Zola, Daudet et Maupassant

t'effeuiller dans l'onde,  Te fit pour l'océan, je te donne à l'amour.»  Le vent mêlait les flots; il ne restait du jour  Qu'une vague lueur, lentement effacée.  Oh! comme j'étais triste au fond de ma pensée  Tandis que je songeais, et que le gouffre noir  M'entrait dans l'âme avec tous les frissons du soir! choix du poème : J’ai choisi ce poème car la description de la fleur est très détaillé et réussi. Les paroles utilisé pour la description sont profond. Le fait qu’il veut offrir cette

Grands, celle-ci fait toutefois rapidement place à un retour en force de la Guerre Froide. Elle manque d’ailleurs de devenir « chaude » en 1962 lors de la crise des fusées de Cuba : le monde entier retient son souffle, mais les négociations au bord du gouffre permettent d’éviter une Troisième Guerre mondiale. Comment les Alliés d’hier sont-ils devenus, à peine le second conflit mondial achevé, des ennemis irréconciliables ? Cet affrontement d’un type nouveau se définit par le fait qu’il ne doit y avoir

Pays à l’origine puis étendue du conflit * Problématique : En quoi la WWII a-t-elle profondément marquée l’humanité ? * Plan I- Un bilan très lourd sur tous les plans A. Bilan humain très lourd et traumatisme moral important B. WWII : un gouffre financier II- Transformations qui s’opèrent au lendemain de la WWII A. Transfo territoriales en € et en Asie B. Affirmation de deux grandes puissances III- Une reconstruction mondiale difficile ms nuancée A. reconstruction européenne

pour expliquer et convaincre, le temps est manipulé par le narrateur en faisant de constants retours sur l’événement de la rencontre comme pour empêcher son interlocuteur de disparaître. En somme, le temps semble être dans une impasse pour éviter le gouffre d’un temps infini, celui du silence et de la mort, jusqu’à la fin du monologue qui scelle ce discours circulaire de « l’impossibilité de dire ». D’ailleurs, le narrateur craint aussi pour lui-même ce silence synonyme de mort et repousse le néant

scintillation sereine sèmeSur l'altitude un dédain souverain. Paul Valéry L´Homme et la Mer   Homme libre toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n´est pas un gouffre moins amer.   Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l´embrasses des yeux et des bras, et ton cœur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.   Vous êtes tous les deux ténébreux et

Gaulle est conscient que sa seule chance de mener à bien le salut de la France est d’unifier son peuple autour de lui. En effet, dès la fin du tome I des Mémoires de guerre, de Gaulle reconnaît en lui le guide de la nation : « Penché sur le gouffre où la patrie a roulé, je suis son fils qui l’appelle, lui tient la lumière, lui montre la voie du salut… » (1. p.322-323). Dans cette image très lyrique, de Gaulle dépeint son rôle et il tient à s’en montrer digne, « C’est mon affaire de tenir les