Grand-duché de Toscane

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

mieux placé. Et Camillo Cavour appuya notamment cette idée, en tant que président du conseil du royaume, et œuvra beaucoup dans le sens de son roi. En effet en obtenant l’aide de Napoléon III il rattache jusqu‘en 1860 au royaume la Lombardie, puis le duché de l’Italie centrale, des Marches, de l’Ombrie et le royaume de Naples. Mais ces rattachements se font par la guerre menée par Garibaldi et ses troupes des « milles » à Naples et en Sicile. Giuseppe Garibaldi  a mené des luttes contre cette Autriche

devient l'homme le plus riche de Florence. La grande cathédrale de Florence est inachevé, car le projet initial incluait une coupole : trop chère et la technique n'était plus maîtrisée. Côme Medici entreprend de financer la recherche architecturel : c'est le début de la Renaissance. Très vite, Florence devient une ville très influente. Afin d'élargir son territoire, C. Medici se lance dans plusieurs conquêtes pour constituer le premier duché de Toscane. A sa mort, son fils Pierre monte sur le trône

nuit du 12 au 13 décembre 1553 à Pau, alors capitale de la vicomté souveraine de Béarn, dans le château de son grand-père maternel le roi de Navarre8. Henri d’Albret désirait depuis longtemps que sa fille unique lui donnât un héritier mâle. Selon la tradition rapportée par les chroniqueurs (Jean-Baptiste Legrain9, André Favyn10), Henri, aussitôt né, est donc remis entre les mains de son grand-père qui l'emmène dans sa chambre, lui frotte les lèvres avec une gousse d'ail et lui fait respirer une coupe

Westphalien -La distribution de la puissance en Europe avant 1789 B) Les guerres de la révolution et la remise en cause de l’ordre européen -En Belgique : les aspirations nationalistes sont ravivées par la révolution -En Pologne, la création du grand-duché redonne espoir aux Polonais -La relation franco-allemande plus problématique, mais aussi à l’origine d’une montée du nationalisme allemand. -Conclusion : L’exportation des idées révolutionnaires ravive les aspirations des minorités C) Les conséquences

da Fermo, le seigneur Pagolo et le duc de Gravina Orsini l'Art de la guerre (Extraits) I. Nécessité d'une armée nationale. II. Supériorité de l'infanterie sur la cavalerie. III. Pourquoi l'art militaire est négligé. IV. Pas de grand homme sans imagination. V. Les fautes des princes d'Italie. VI. Provision pour l'infanterie. L'Histoire de Florence (Extraits) I. L'histoire, science du détail, est l'honneur des hommes. II. Rôle néfaste des papes en Italie.