Gravure Melancholia

artistes, des gens qui vont au musée du Louvre, passent rapidement, et sans leur accorder un regard, devant une foule de tableaux très intéressants, quoique de second ordre, et se plantent rêveurs devant un Titien ou un Raphaël, un de ceux que la gravure a le plus popularisés ; puis sortent satisfaits, plus d’un se disant : « Je connais mon musée. » Il existe aussi des gens qui, ayant lu jadis Bossuet et Racine, croient posséder l’histoire de la littérature. Par bonheur se présentent de temps en temps

cour même, on admirait ses prodigieuses fantaisies. Louis XIII, près de partir pour le siège de La Rochelle, voulut que le graveur lorrain fît partie de sa suite. Jacques Callot obéit, mais sans plaisir. Après le siège, il revint à Paris achever les gravures de ce fait d'armes. Il fut logé au Luxembourg, où il retrouva son ami Israël Silvestre, et où il se lia avec quelques décorateurs du palais, tels que Rubens, Simon Vouet, Poussin, Philippe de Champagne et Lesueur. Malgré ces amitiés illustres, il

d’amours s’inspire d’une peinture romaine mise à jour près de Naples en 1759, dont une gravure est publiée en 1762. C’est le comte de Caylus qui pousse Vien à réactualiser le sujet. Elle est d’un très petit format et utilise la technique de la peinture à l’encaustique. Le peintre reprend la composition et le nombre de personnage de la gravure mais l’inverse pensant que la composition a été inversée par le processus de gravure. En réalité, cette opération est superflue car le graveur avait déjà inversé son

L’exécution d’Amboise et le massacre de Wassy INTRODUCTION Ces deux documents sont des gravures issues d’une production de quarante tableaux commençant en 1559, sous le règne d’Henri II, pour se terminer en 1570. Les gravures sont réalisées d’après les témoignages de protestants réfugiés à Genève, en Suisse. Ces gravures sont l’œuvre de deux graveurs, Jean Perissin et Jacques Tortorel. Ils sont tous les deux originaires de Lyon et sont protestants. Ils sont chargés de « tailler en cuivre et

fois organisé la production et la commercialisation.  La gravure sur métal Les armuriers faisaient appel à des graveurs qui ciselaient les gardes d'épée, gravaient parfois de téméraires devises. Les Stéphanois ont ainsi pris l'habitude de graver le métal. De l'arme de chasse gravée à la médaille il n'y a qu'un pas qui sera vite franchi par les Stéphanois à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, période d'apogée pour la gravure. Du milieu des artisans stéphanois vont sortir de l'anonymat

de publier un journal consacré à la gravure. Il ne vit jamais le jour, mais, lors de la cinquième exposition qui réunit les impressionnistes, en 1880, Cassatt présenta les nouvelles possibilités de l’estampe. La virtuosité d’Utamaro, entre autres, la décide à transposer son style sans toutefois en être aliénée (ainsi, elle n’utilise pas le noir, qui est pourtant la valeur dominante de cet artiste). Dix ans plus tard, elle décide d’éditer une série de gravures imitées des méthodes japonaises dont

Goethe et le dessin Longtemps, Goethe s'est efforcé de développer ce qu'il appelait son petit talent, et ce, essentiellement au cours de son Voyage en Italie, au contact de peintres expérimentés comme Tischbein. Il va se porter essentiellement sur la gravure de paysage, mais ne poussera que rarement jusqu'au portrait, n'allant jamais à se considérer comme talentueux. De son goût pour le dessin, il dit dans un petit texte édité en 1821 : J'ai pensé depuis longtemps que le dessin est souvent mentionné dans

lyrisme, avec les thèmes souvent tirés de la vie de cirque. Le studio parisien de Picasso a attiré les figures principales de l'avant-garde à ce temps, y compris Matisse, Braque, Apollinaire, et Gertrude Stein. Il avait déjà produit de nombreuses gravures de grande puissance et a commencé son travail dans la sculpture pendant ces années. Cubism en Picasso 1907 a peint le d?Avignon de Les Demoiselles (Mus. d'art moderne, New York City), un départ radical aux idées artistiques des âges précédents et

deviennent aussi des amateurs d'art : Jacques Cœur dans la France du XVe siècle, le riche banquier italien Roberto Strozzi en 1489… Et en effet Grâce à l’invention de l’imprimerie par Gutenberg ces nouvelles idées, et les nouvelles techniques de gravure (succès menés par Matthias Grünewald) autorisent la reproduction et la diffusion d’œuvres sur tout le continent européen. (diapo) De plus les premières bibliothèques sont créées telles que la Bibliothèque apostolique vaticane (vers 1450) (= C'est

Turner La vie de Turner Joseph Mallord William Turner est un peintre , un aquarelliste et un graveur britannique. Il est né le 23 avril 1775 à Covent Garden , à Londres et il est mort le 19 décembre 1851 au domicile de sa compagne , Sophia Caroline Booth , à Chelsea. Il est le fils d’un barbier , William Gay Turner. Sa mère s’appelle Mary Marshall. A 15 ans , il est admis à la Royal Academy. Il aime beaucoup l’architecture. Il suit des cours de perspective avec le dessinateur en architecture