Graziella Narrateur

Jean-Baptiste Grenouille. L'auteur a choisi d'en faire un antihéros car il le décris comme mauvais, méchant pas quelqu'un de bien. Il est intéressent car on voit les choses sous un autre angle, celui des odeurs. Le point de vue n'est pas courant. Le narrateur est omniscient il connait les pensés du personnage, il est objectif et n'exprime pas ses sentiments. Il est neutre. Le schéma narratif est chronologique car il raconte la vie de l'antihéros. Le lecteur est porté par cette vie qui passe de sa naissance

Après avoir lu attentivement ce début de roman d'Amélie Nothomb « Le Fait du Prince » cochez les bonnes réponses. 1/ Le narrateur est un des personnages de l'histoire Le narrateur est extérieur à l'histoire 2/ Le mode de vision choisi est : la focalisation externe la focalisation zéro ou omnisciente la focalisation interne 3/ Le lecteur est directement interpellé par le biais d'un pronom personnel (tu/nous/vous) Le lecteur n'est pas du tout interpellé 4/ Les faits se déroulent

L’AUBERGE ROUGE (Balzac 1831) Le « je » initial dans le récit est un narrateur enquêteur, présent d'un bout à l'autre du texte, et un personnage à part entière qui a sa propre histoire : « le fournisseur leva les yeux sur moi » De plus, un banquier allemand nommé Hermann joue dans ce livre le rôle de narrateur relais : Il dine en compagnie de quelques hommes issus de la haute société française à Paris. A la fin de ce diner, il raconte un histoire, qu’il a entendu lors de son emprisonnement

désespoir qu’il ressent, décide de déménager à Paris et d’écrire un roman. Mais l’ouvrage présentera une aventure destinée à faire « honte aux gens de leur existence ». II- PRESENTATION DES PERSONNAGES Antoine Roquentin Antoine Roquentin est le narrateur du roman, ainsi que le personnage principal. Il utilise son journal comme principal vecteur de ses observations ( et donc des méditations philosophiques de Sartre). C’est après six ans de voyages (en Afrique, en Asie…) qu’Antoine s’installe à Bouville

souhaité citer de lieu mais généraliser les dégâts de la guerre _Des métaphores « Dans le même abîme » et aussi « Depuis l'aube des temps » ainsi que« ce sombre cortège n'a pas de fin » pour désigner que la guerre est de tous les temps. 4. Le narrateur confère une force persuasive dans son intervention en utilisant un champ lexical apocalyptique: « horreur », «massacrés », « réfugiés », « fusillés », « suppliciés », « mort », « violences », « terreur », « sang »... elle s'exprime en utilisant

révolte à une « Seconde Révolution Française ». C’est une image symbolique de la Révolution comme le montrent le grandissement épique des mineurs et la vision apocalyptique du monde dans cet extrait. Grâce aux figures de styles employées par le narrateur, le grandissement épique de la foule de mineurs est renforcé. Les mineurs qui ont subi plusieurs jours de grève sont ainsi misérables et affaiblis. Toutefois, cette révolte leur permet de se rassembler dans une même contestation et de voir leur nombre

milles au sud de Soledad. Le reste du roman se passe dans un ranch à Soledad. * Steinbeck décrit avec beaucoup de précision et d’objectivité. On imagine distinctement les lieux mais on ne sent pas de valeur sentimentale ni le plaisir que le narrateur a de voir la scène. La description est un peu « froide » et on sent une atmosphère un peu tendue et on ne voit pas les endroits par les yeux des personnages. * Différents thèmes sont abordés dont un très fréquent qu’est l’amitié. * Georges

retrouve l'unité originelle, la fusion d'avec la mère, à laquelle il aspire. B. Le couple éternel - L'apogée de l'amour : atteindre l'éternité. Vision romantique (Roméo et Juliette) du couple d'amants que rien ne peut séparer, pas même la mort. Le narrateur, qui parle pour deux, pour le couple, se projette dans l'avenir comme dans un rêve, décrivant avec extase et envie leur mort commune. La mort est donc une alliée, et non pas une ennemie du couple amoureux. Elle leur offre paix, continuité, éternité

rapport à la scène qui l’entoure. Stendhal l’utilise comme un moyen de faire comprendre le paradoxe énorme qui sépare sa vision des choses de la réalité avec notamment la focalisation interne mais aussi les jugements portés explicitement par le narrateur sur la conduite du personnage : « Nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment ». Ces citations affirment l’ironie présente grâce à Fabrice et son manque de discernement face au combat qui a lieu devant ses yeux : « Fabrice ne

intervention du narrateur ; "faux" personnages, qui ne sont en fait pas les principaux ; anonymat des jeune perso (rastignac, victorine) pas de place pr le désir des jeunes dans un monde ou les vieux commandent. 3. la conquête d'un savoir Rastignac : "jeune homme à maigre pension" -> désir de parvenir -> il doit s'initier aux moeurs de la société parisienne ; le narrateur interprète les prétentions mensongères de Mme Vauquer. II. Un pacte de lecture novateur 1. Narrateur et narrataire