Graziella Narrateur

La mort est mon métier ANALYSE : A) Identifier le ou les narrateurs Il y a un narrateur, qui est intradiégétique et dont le point de vue est interne comme en témoigne l’extrait suivant : « Finalement, un après midi, […] je décidai de reproduire, dans mon propre camp, l’installation de Treblinka. […] Je me levai, je pris ma casquette, sortis de mon bureau, entrai en coup de vent dans celui de Setzler, et dis rapidement : « Venez, Setzler, j’ai besoin de vous. » […] » B) La situation spatio-temporelle

mais, ce dernier ne veut pas le croire pensant que c’est un courant d’air “[...] quand je crus entendre ou plutôt sentir un frôlement derrière moi. Je n’y prit point garde, pensant qu’un courant d’air avait fait remuer quelque étoffe.” Lorsque le narrateur aperçoit une femme, “Une grande femme vêtue de blanc me regardait debout derrière le fauteuil où j’étais assis une seconde plus tôt.” ce dernier ne sait pas si cette femme existe. Il hésite. Il pense qu’elle existe car elle lui a parlée “Oh! Monsieur

ensuite la détruire. J’aime beaucoup ce titre, ça donne envie de lire ce roman, et on peut penser à une histoire qui dure pendant six mois, six jours, peut-être une relation d’amour ? Ce qui est le cas, mais le roman ne parle pas que de ça… Le narrateur s’appelle Karl Fritz (prénom allemand), il a 78 ans, il n’a ni femme, ni chien, ni enfants, sa mère s’est éteinte du coté de Berlin et son père s’est supprimé en 1945 aux fins de justification. Il se décrit comme quelqu’un de possessif, froid. « Je

pages 205-206. Alphonsine, sensible, est toutefois sans force de caractère. Le narrateur dit : «Alphonsine se mettait en peine d'un rien. Le plus léger dérangement dans la besogne routinière la bouleversait pour le reste de la journée.» page 45. Dévouement envers les valeurs familiales Marie-Amanda, enceinte et déjà une mère, démontre un grand dévouement envers les valeurs familiales. Le narrateur dit : « Déjà c'était elle, à trente ans, la plus vieille des femmes de la famille.

l'excès et de la caricature. Elle est également comparé a une femme pécheresse : "Pomme Rouge" ce qui renvoi à la jeunesse et à l'épisode du pêchée originel. Un portrait nuancé : "Bouton" qui renvoi à la jeunesse. Métaphore : "pivoine" : le narrateur insiste sur la beauté de ses yeux. "quenottes" = innocence infantile.

pis pour lui ! s’il était parti dès les premières balles, ça ne serait pas arrivé. Toutes ces viandes saignaient énormément ensemble. Etude : La première partie du Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline montre son personnage-narrateur, Bardamu, engagé volontaire comme simple soldat en 1914. Cette partie est une féroce dénonciation de l’absurdité et de l’horreur de la guerre. Le texte que nous devons étudier insiste sur le pathétique de la mort de deux personnes, un colonel et

le 1er par rapport au rêve mais 2nd. Postériorité et dépendance du poète par rapport au songe exprimé par l’anaphore « Ainsi j’ai vu, ainsi je raconte ». Le narrateur : ambigüité dans son rôle : se décrit a la fois comme tel « je raconte » mais aussi comme le protagoniste du drame (« un criminel » qui devient « moi »). Le narrateur est mis en échec. Structure narrative : met en évidence l’incertain « Il était une nuit » (nuit = événement pur). « Il était une fois » (univers du conte) Le

déroule sur plusieurs années, est divisé en trois parties : 1 Alfred de Nerval raconte le jour où il a découvert Pauline dans l'abbaye. 2 Pauline raconte son mariage et avec le comte Horace, avant la rencontre d'Alfred. 3 Alfred redevient le narrateur et raconte la triste fin de Pauline. 5 Le livre présente, sous forme de roman, les relations des trois personnages, leurs sentiments nobles et leurs aventures. Pauline se place au centre du roman. Dumas fait le portrait de la société de son époque

constructions qui témoignent de la vivacité du genre romanesque.  Les modes de narration  Le narrateur témoin ou personnage Le narrateur est présent dans le récit qu’il raconte à la 1ere personne. Il peut être témoin ou héros. Il livre son point de vue au lecteur.  Le narrateur extérieur Le narrateur est absent de l’histoire. Il raconte à la 3eme personne. - La focalisation zéro. Le narrateur est omniscient, il connait tous les éléments de l’intrigue, les sentiments et les secrets des personnages

caché derrière. L'extrait étudié est le deuxième incipit de la fiction. Il est le commencement de la 2ème partie, ce qui provoque une fracture entre les deux parties. Il n'y a plus de 1ère personne, c'est une description prise en charge par un narrateur anonyme ; on pourrait supposer que c'est l'enfant disparu, le faux. Perec décrit l'île de ses souvenirs objectivement, pour ensuite nous exposer un univers contraire à celui qu'il a décrit objectivement. Nous sommes donc à l'ouverture d'un conte