Graziella Narrateur

espérances secrètes de Frédéric et l’évolution sentimentale possible qu’attendait déjà le lecteur. L’apparition De M . Arnoux fonctionne comme un retour brutal aux données matérielles et sociales. Le personnage du mari est déjà tiré vers le négatif. Le narrateur rapporte les propos plats d’un personnage prosaïque, désigné de manière un peu familière et ridicule »le sieur Arnoux ». L’appellation bourgeoise « ma femme » choque par sa trivialité. Transition : L’intervention du mari vient signifier la distance

point de vue de : ( la structure du récit est linéaire, il n’y a qu’une histoire et qu’un seul point de vue exprimé. ( le nombre de personnages est faible, la relation est d’abord binaire puis ternaire et enfin quaternaire. Le chien qui est le narrateur n’est pas neutre et montre à quel point il désapprouve le nouveau-né et le mari (« l’autre, il, drôle de machin... ») et aime sa maîtresse (« ma maîtresse »). Dans ces relations, plus le chien déteste l’enfant, plus ce dernier l’adore. Le chien fait

absence de description : a.) Du personnage On ne connaît pas l'identité du narrateur, son nom Pas de description physique, si c'est un journal c'est normal → le lecteur peut s'identifier au narrateur b.) Des lieux On sait juste que la scène se déroule en Algérie (Marengo, Alger) On ne sait pas où vit le narrateur Pas de description du paysage lors du voyage en bus → Le narrateur ne se soucie pas de ce qui l'entoure, est refermé sur lui-même Donc cadre spatio-temporel

Blaise y parviendra. Blaise est donc seul en France et n'a plus de nouvelle de Gloria. Pour raconté son tragique destin le narrateur utilise le présent et l'auteur a adapté son style d'écriture en fonction de l'age de son personnage principal. Au début nous avons plus une constatation de la guerre a travers la naïveté et le vécu de l'enfant puis quand l’histoire avance le narrateur prend une autre place, Blaise ne dénonce plus seulement la guerre mais aussi indirectement la condition des immigrants souhaitant

avec présent de narration pour rendre la chute plus vivante dans ce récit à l’imparfait. Vers 28 et 29 au passé simple = durative pour immortalisé la chute II La rêverie de Perrette Rêverie amorcée au vers 8, lecteur rentre dans pensées par narrateur omnisuant. Celle-ci est ambitieuse et avisée et fait déjà ces comptes. Rêverie marqué par : -Passage au style direct -Par les transformations de la vente du lait « argent, cent œuf, triple couvée » qui donnent naissance aux poulets qui seront

poème autobiographique qui opère une transfiguration poétique A) L’autobiographie - Apollinaire semble passer un pacte autobiographique avec son lecteur écrit en 1912 ajouté au poème écrit en 1903. Il assume ici l’identité entre lui auteur, lui narrateur « je » du poème et lui personnage « je » du poème. Cette épigraphe elle ancre le poème dans la situation d’énonciation. Le présent de l’énonciation « mon amour a la semblance du … ». D’autre part l’imparfait dans le 1er vers de l’épigraphe suppose

PORTRAIT DE VAUTRIN PERE GORIOT de Honoré de Balzac L’enjeu du texte Quand il présenteun personnage, le narrateur veut créer un effet de réalité en imposant une physionomie. Dans le cas de Vautrin, le personnage est déguisésous une fausse identité . Il faut décrire la seule apparence et en même temps livrer des indices qui préparent le dévoilementà venir. Onss’interrogera donc sur lle réalisme et sur sa dimension énigmatique. Trois angles d’observation: le physique, personnalité, occupations

« je résolus ». La spécificité de ce genre est l’autobiographie; le récit est à la première personne : le pronom personnel sujet « je » L1, le pronom personnel complément « me » L5, l’adjectif possessif « mon » L4. L’auteur est aussi le narrateur et le personnage principal du récit et donc il s’implique subjectivement. Il raconte les évènements qu’il est censé avoir vécus. Il y a la volonté d’entrer en contact avec le lecteur de façon à lui prouver que ce qu’il dit est vrai. Pour cela, la

plus joli des muscadins » (p. 35), qu’il est un « jeune beau » un peu guindé, qui va à un rendez-vous galant. Le narrateur, tout en ayant un regard bienveillant sur son personnage, se moque un peu de lui. La description de son habit, en particulier, prête à sourire : il est vêtu en « bleu, blanc, rouge », au couleur du drapeau français (institué sous Napoléon Ier, en 1812). Le narrateur dresse un portrait un peu caricatural du soldat. Tout le passage est fondé sur des oppositions : le colonel est

deuil" qui évoque la tristesse et le malheur. Baudelaire a expliqué que la notion de tristesse accompagne pour lui celle de beauté. II. Les réactions du poète         Le narrateur, face à cette apparition, ne peut être qu'un spectateur "paralysé", "fasciné", "médusé", souligné part le terme "crispé" au vers 6. Le narrateur a une réaction émotionnelle incontrôlée. La comparaison au vers 6 "comme un extravagant" souligne l'opposition des attitudes entre "elle" et "lui". Dans les vers 3 et 4, la