Grisaille

téméraire qui montre que le départ est prévue sur un rythme lent v1 on voit se rythme lent avec un découpement du v1 en 2syllabe ensuite 2 syllabe et ensuite 8 syllabes. L’on apprend aussi que le départ se fera à l’aube qui dit aube dit brouillard, grisaille ces deux éléments sont propice à la rêverie. Il y a d’autre connecteur temporelle au v9 « le soir » c’est une métaphore du crépuscule « l’or du soir qui tombe » on s’aperçoit que le voyage va durer une journée de l’aube au soir. • Progression dans

tiret, qui marque une rupture et isole la dernière phrase, qui en est donc une de clôture, une chute du texte, ce « rayon blanc, tombant du haut du ciel » peut faire penser à une intervention divine, anéantissant la féerie qui était née dans la grisaille indécise des brumes londoniennes, dérobant, non sans méchanceté, au poète (et au lecteur) ce spectacle qui faisait son ravissement. Dans cette dernière phrase, on peut voir une des apparitions de ce que Rivière appela le « thème de la brèche» qui

court récit et comme une description. Le rythme est lent. Du vers 2 au vers 4 les déictiques structurent le décor : en haut, en bas, deux dimensions de l’espace. Le ciel gris, la rue noire. Et les passants réduits à des ombres dans ce décor de grisaille et d’humidité. Les couleurs dominantes sont le gris du ciel, et le noir de la suie où l’on distingue uniquement ces ombres. Un temps de chien pourrait-on dire… Mais le rythme est pesant, long, il traduit l’ennui et son poids de brume, de lassitude

que son cœur était au bord de la rupture tant il battait la chamade, elle entendit retentir le klaxon singulier de la vielle Fiat 500 de Giuseppe Farfalle, l’extravagant pizzaiolo du village. Tout le monde se demandait comme il pouvait préférer la grisaille du Norfolk au grand soleil de sa Sicile natale, mais ses pizzas étaient si délicieuses que personne ne lui avait jamais demandé, de peur de lui donner le mal du pays. Pour Valerie, c’était la délivrance. La petite moustache et le crâne dégarni

« sombre détresse » (v. 29), etc. C’est la facette de la malédiction qui est clairement exprimée. Baudelaire se plaint, on ne sait pas vraiment de quoi, mais il semble accablé de tous les maux. La strophe intermédiaire est moins envahie par cette grisaille qu’évoque le champ lexical cité ci-dessus. En effet, elle est construite sur une métaphore filée où Baudelaire se décrit par la bouche des critiques littéraires comme un comédien raté, une pâle imitation d’Hamlet (v. 14), héros déjà sans volonté

que les soldats debouts . Goya prend des libertés , son dessin est vif, nerveux, il privilégie l'expressivité des personnages au réalisme . Les couleurs: Goya joue sur les contrastes très forts entre le personnage principal en blanc et la grisaille des tenues des soldats. Le seul élément de couleur vive qui ressort est le sang qui s'accumule par terre . Touche : On peut avoir les coups de brosses qui rajoutent au tout un effet dramatique , Goya peignait même de temps en temps avec ses

Quelles impressions sur le spectateur ? c. Le « cadrage » de la scène : vision générale, vue d’ensemble, rapprochée, gros plan… Que peut-on en déduire sur les intentions du peintre, sur le sens du tableau ? 2) a. Les couleurs (attention à la « grisaille » comme dans « Guernica » par exemple !) : les nommer, comment sont-elles réparties ? Quelles impressions cela provoque-t-il sur le spectateur ? Quelles émotions naissent-elles alors ? b. Les matières : les nommer (gouache, aquarelle, peinture

Le narrateur prend soin d'ajouter des éléments sordides « bancal », « flaques », « rouille » pour renforcer la laideur du décor. On peut penser que ce décore est métaphorique de l'état d'esprit de la mère car il s'accorde avec « le voile de grisaille » l 28 qui voilait son visage. « Une silhouette abstraite » De qui est-elle ? Toute l'ambiguïté du roman réside dans la supposition du narrateur. Est-ce celle de son père rêvé, le bel aviateur cf image- « relique » au-dessus du lit

londonienne du côté des Docks (nom qu’utilisent ces gens pour qualifier le port). La lumière est indirecte ; on dirait que le soleil provient de derrière les bâtiments. C’est une belle journée pour Londres, qui est une ville souvent couverte de grisaille. Le dessin est plutôt ombragé et les couleurs sont plutôt foncées. Le peintre veut représenter une belle journée derrière des bâtiments et un port ombragé. Le dessin est très précis, ce qui donne l’impression qu’il bouge. L’œuvre est plutôt serrée

ils vivront ensemble. À Paris, la vie est dure et Jean n'a pas le sou. Pour survivre, il assure des corrections chez un imprimeur qui le nourrit et le loge. Marie et Jean s'écrivent quotidiennement. Ils sont amoureux et leur amour tranche avec la grisaille quotidienne qui les entoure. Marie découvre qu'elle est enceinte. Elle s'en ouvre à ses parents. Ces derniers refusent qu'elle épouse Jean, étudiant misérable qui ne pourra jamais l'entretenir. Son père la pousse à avorter. Marie refuse. Elle appelle