Grossièreté

vulgarité. Le mot fait entrer un niveau de langue familier ce qui donne une dimension vulgaire et trivial = matelot grossier. + un travail sur les sonorités qui sont heurtantes. Les sonorités sont éclusives et gutturales => assorties à la grossièreté. b) Les oiseaux : strophes 2 et 3, il n’y en a plus qu’un. Les oiseaux sont évoqués plus précisément que les marins. Ils sont désigné des périphrases : - « vastes oiseaux des mers » = envergure considérable assortie à l’immensité de l’espace

"Invitation au Voyage" (amplification des vers en prose) Conclusion (tu peux parler en ouverture des limites de la poésie... Par exemple, faire concurrence aux anciens en essayant de renouveller le texte poétique,mais ne pas tomber dans la caricature, la grossièreté (on a lu en cours des extraits de poèmes contemporains : Charles Pennequin, Plus ça va, moins ça vient ... Une honte ^^ Si tu as l'occasion d'en lire... Si c'est ça la poésie, maintenant...) => peut-être énoncer l'idée que oui, il est important

Rabelais sont d'une étrange séduction poétique. Le comique : Rabelais est un des maitres du rire. On trouve chez lui tous les degrés du comique : les farces les plus lourdes, héritées du Moyen Age, la gauloiserie posée jusqu'à la grossièreté, les jeux de mots, calembours et traits d'esprit, la caricature grotesque, la comédie d'intrigue, la parodie, et jusqu'à la comédie de caractère la plus fine. Il y a toutes les formes, tous les tons; il y en a pour le gros public, pour les étudiants

huit cent quatre-vingt-quatre ans avant notre ère ; et cette époque parait en effet plus conciliable avec les détails des arts brillants et somptueux d'un luxe très raffiné, qu'il nous retrace quelquefois, et qui semblent peu compatibles avec la grossièreté d'un siècle plus rapproché du temps de la guerre de Troie. | |

le doute chez le spectateur quant à la réalité profonde de la représentation théâtrale. L’écriture théâtrale est également très proche de la réalité, dans la mesure où elle se joue dans un langage simple et non savant, où se mêle trivialité et grossièretés parfois. L’exemple de la pièce « les Bonnes » où le mot« gosse » est utilisé l’illustre parfaitement. De plus, la mise en scène se veut la plus naturelle possible : en effet, une large place à l’improvisation est laissée où il a été parfois proposé

pas partout avec son verre, son biscuit ou son biberon. * Je ne cours pas dans la maison, des heures de sorties sont prévues pour se défouler ! * je ne crache pas, je ne tape pas, je ne tire pas les cheveux, je ne mords pas, je ne dit pas de grossièretés. * je ne coupe pas la parole. * Je ne réponds pas aux adultes. * Je respecte le matériel, les livres, les feutres, cela a un coût qui se répercutera sur les frais d'entretien. * Je dois rester calme pendant le repas. * Je mets mes chaussons

a Peu de couleurs avec une superposition visible (beige/noir/rouge) Le beige dans le fond donne l'impression qu'Antoni Tapies a peint sur un mur ( un mur de grotte par exemple) Antoni utlise un geste spontané, sans retouche. On remarque la grossiereté des traits, le tableau semble manquer d'harmonie On a l'impression que Tapies a peint avec rage. Cette rage est surement due à la violence qu'il a connu pendant la guerre D'espagne. On distingue un contraste entre les couleurs Cette oeuvre

(Alpes-Maritimes). Fils de Honorio Colucci (originaire d'un petit village italien de la région de Frosinone, Casalvieri) et de Simone Bouyer, il adopte le pseudonyme « Coluche » à l'âge de 26 ans, au tout début de sa carrière. Revendiquant sa grossièreté mais, selon lui-même, « sans jamais tomber dans la vulgarité », l'humoriste donne très tôt un style nouveau et sarcastique par sa liberté d'expression, au music-hall, en s’attaquant notamment aux tabous, puis aux valeurs morales et politiques de

politiques des années 70 encore imprégnés par un millénarisme révolutionnaire ». Le fait que l’école est une école reproductrice, division sociale, mépris de la culture populaire => entraîne comportement de résistances : chahut, ennui ostentatoire, grossièreté, violence… N’est cependant pas perçu comme une violence, mais au contraire comme un acte de socialisation. II. Années 70-début 90 1) Notion d’insécurité 75 : rupture. Massification : « fait d’être exclu de l’école revient dans

bruit ». Ces expressions montrent parfaitement qu’il est à l’opposé de l’idéal de l’honnête homme qui à l’époque est vu comme quelqu’un d’attentionné, de courtois, de poli sans égoïsme ou avarice. . L’auteur nous présente donc, par le moyen de la grossièreté de cet individu qui est mêlée à son portrait physique, un personnage de monstre qui est bien défini. La Bruyère fait de ce portrait tout un art. Commençons par observer son implication. Il fait preuve d’une fausse impartialité qui est en réalité