Grossièreté

synecdoque montre le talent de comédien, d’hypocrite dans le sens étymologique. B. Des êtres illusoires : leur moralité douteuse : La Bruyère en profite pour dénoncer leur décadence morale : - L’isotopie du vice « plaisir, faible, passion, amant, grossièreté » prouve leur immoralité. - C’est avec un grand naturel que les courtisans encouragent à l’adultère : le terme volupté (10) est lui mm polysémique, il renvoi à la gourmandise comme au plaisir charnel C. Des ambitieux & arrivistes : La Bruyère

contraste entre l'attitude des visiteurs qui est respectueuse « Maître nous venons vous prier » et le derviche qui est à la limite de l'argot « de quoi te mêles-tu ? Est-ce là ton affaire ? » Il tutoie, il y a de la familiarité à la limite de la grossièreté. On a également une satire du jargon philosophique chez P. « Je me flattais, de raisonner un peu avec vous des effets et des causes, du meilleur des mondes possibles, de l'origine du mal, de la nature de l'âme et de l'harmonie préétablie. » II

du décadentisme qui se caractérise par son esprit de révolte et de dérision face à la société. Il entretient en effet un nouveau rapport au réel car il y n’a pas de transformation du laid en beau mais une volonté de montrer le réel dans toute sa grossièreté, son ridicule. Il est de la génération qui suit Baudelaire , ainsi il voit en lui un maître mais le ridicule. Il a notamment écrit le recueil Les Amours jaunes publié en 1873, d’ailleurs ce titre fais référence au rire jaune c’est-à-dire le sarcasme

et la rupture des codes traditionnels de la poésie. Il prend le parti d’employer des mots simples du quotidien afin de ne faire qu’un entre la vie et la poésie. Cet aventurier épris de liberté, nous dévoile sa quête du bonheur avec simplicité, grossièreté et sensualité. Ouverture possible : Apollinaire fera aussi poésie du quotidien en évoquant le monde quotidien du travail dans Zone ; des bribes de conversation qui se mêle à la description dans Les femmes

sans effort le langage des fleurs et des choses muettes ». (Elévation). Le lecteur « Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère » est associé dans cette quête d’idéal. Le monde qui entoure le poète - Le public : Il se caractérise par sa grossièreté, sa bêtise, son incompréhension, sa cruauté ( les hommes d’équipage, qui dans L’Albatros utilisent leur brûle-gueule pour effrayer l’oiseau). Le public est en général plongé dans l’univers du spleen. - La Femme : symbolise l’amour sensuel et fortement

Bolivar Critiques C’est un livre simple à lire et à comprendre. L’histoire est agréable et passionnante, riche en aventure. J'ai beaucoup aimé l'histoire du vieil homme, les passages dans la forêt et l'humour de ce livre (Il y a quelques grossièretés et de jurons), Mais l’histoire reste sympathique.

indéfinis, comme en témoignent les vers 11 et 12. En fait, ce sont les attributs, notamment le « brûle-gueule », mentionné au vers 11, ou le comportement, précisé au vers 12 : « L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! » qui manifeste la grossièreté du personnage. Baudelaire reprend une opposition traditionnelle entre les animaux et les hommes pour procéder à une inversion. On remarque que c’est l’animal qui est valorisé par l’emploi de périphrases élogieuses : « ces rois de l’azur » (v 6)

théâtre devait pour beaucoup jouer un rôle dans la propagande nationaliste. Or si Synge montre bien des Irlandais authentiques, il est difficile de les qualifier d’Irlandais exemplaires. Les critiques de l’époque se sont donc offusqués de leur grossièreté et de leur violence qui non seulement n’idéalisent pas les paysans irlandais mais selon eux déforment la réalité. Selon eux, le mot « shift » déclencha le vacarme car de nombreux spectateurs savaient que ce mot n’aurait jamais été employé par des

Egocentrisme plutôt lié aux classes sociales élevées : - Des indices informent que Gnathon appartient à une classe sociale élevée : il mange des viandes, en abondance à une époque qui voit se succéder de terribles famines ; on l'invite en dépit de sa grossièreté et de son égoïsme (peut-être pour lui plaire et obtenir de lui quelques faveurs) ; il se déplace en carrosse et possède des valets etc.... - Cette position sociale renforce le dégoût du lecteur : rien en effet ne saurait excuser l'égoïsme et la

sentiments pour son futur époux. Mais loin de se délivrer de son passé, de ses origines, la jeune femme souffre. Elle éclate en sanglots. Une musique leur parvient : Florent joue un air de sa composition. Gosta et M. Tarde prennent conscience de leur grossièreté et de leur indigence. Ils sortent, déconfits. Les ouvrières reviennent afin de retoucher la robe de la mariée. Une conversation des plus banales s’engage. Mais au mot « bonheur », Thérèse sort de sa torpeur : elle renvoie les ouvrières, retire