Grossièreté

d'intéressant, juste un babillage inutile: ‘’vocifération’’, ‘’incessamment’’ verser ‘’les pires grossièretés’’. C. Un appareil comparable a une pourriture, inutile ⇒ Procédé de composition qui donne le même mouvement à chaque paragraphe : éloge apparent (mais ironique) immédiatement suivi d'une dénonciation explicite et vigoureuse, en des termes péjoratifs (« brutales vociférations », « grossièretés ») qui vont jusqu'à l'insulte (« fumier ») : on dénonce ainsi deux choses à la fois : la qualité

de Gargantua . Au XVIème siècle les bienséances, le respect des convenances sociales, ne se sont pas encore imposées. Les fêtes médiévales, tel le carnaval, ne reculent pas devant les excès et les grossièretés, le « fou du roi » peut transgresser tous les interdits, et des genres littéraires comme les farces ou les soties réjouissent le public, invité ainsi à rire sans contrainte. C’est cette volonté

perfection, ni variété : la versification est monotone avec ses vers octosyllabiques disposés par deux (ou encore disposés de la manière la plus simple), les rimes sont plates et souvent incorrectes et le style tend vers la négligence voire la grossièreté. Ce qui caractérise le récit c'est la concision, la rapidité, la sécheresse, et l'absence de tout pittoresque. Pour donner aux fabliaux une certaine dignité littéraire on ne trouve que la rapidité dans l'action et la vivacité des dialogues. Satire

trop clair. On perçoit toutefois, même voilé, un reproche dans sa réplique. - Sans prêter attention à ce qu’on lui dit, Arlequin, qui ne cherche qu’à bien jouer son rôle – du mieux qu’il peut, càd de la pire des manières – enchaîne grossièretés sur grossièretés en utilisant les mots de « beau-père » et de « femme » accompagnés des déterminants possessifs « mon et « ma » qui viennent renforcer l’impolitesse des propos. On voit par ailleurs qu’Arlequin est maladroit dans sa façon de s’exprimer

fauteuil » il se relâche, non compatible avec les règles de bienséance. Il faut être assis avec les dos droits. L.B. appelle le lecteur « vous le voyez » à visualiser cette grossièreté de Giton. Enumération de verbe d’action qui complète « vous le voyez ». Cette façon de procéder permet d’amplifier la scène. L’insolence et la grossièreté de Giton est donc renforcé. « Croiser les jambes » impolis. « Froncer le sourcil » signale le mécontentement, l’ennui : guère poli car l’on doit cacher l’ennui à a son

Dans se passage le narrateur met en évidence la grossièreté des paysans qu’il dénonce il les transformes en type humain, les réduisant à des traits presque caricaturaux quelque page avant ce passage il fait un portait très grossier des parents de Georges Duroy et la description du déjeuner l.1à24 ne fais qu’affirmé se portrait. Le père Duroy blague vulgairement en racontant des histoires grivoise et malpropre déjà connu de Duroy l.7 sa grossièreté est également évoqué par le vocabulaire de la boisson

créatrice des mots A- Alexandre et Lorenzo : allégories de la grossièreté et de la débauche Les thèmes poétiques entrainent un grand travail d’écriture : Musset utilise une multitude d’images poétiques et fait preuve d’une grande puissance créatrice grâce aux mots. Ainsi, de nombreux personnages, lieux et idées sont évoqués de manière imagée. Alexandre et Lorenzo tout d’abord sont présentés comme des allégories de la grossièreté et de la débauche qu’ils semblent incarner parfaitement. A la scène

transgressions morale, les œuvres de Malle et de Queneau transgressent l’esthétique du roman et du film. Pour commencer, l'adaptation du roman de Queneau est respecté par Malle, du moins les paroles. En effet dans les deux nous voyons l'accumulation de grossièretés qui font apparition dès le début avec l'entrée de Zazie à la gare. En effet, elle dit dans le premier chapitre « ah les salauds » en parlant de la grèves du métro. Puis continue avec « Sacreubleu, merde alors ». Zazie ne respecte pas du tout les

présente vis-à-vis des différents personnages. On relève plusieurs comiques de mot. D'une part, on retrouve de nombreuses injures comme "Parbleu", "coquins" ou des interjections comme "Oh", "Eh", "Fi" qui ajoutent une certaine grossièreté à la scène. Cette grossièreté est typique des comédies de Molière et contribue au registre comique dans le sens où elle fait rire le lecteur. On souligne aussi une grande présence de phrases exclamatives et d’hyperboles qui montrent que les paroles dites par Dom

des paroles d’experts. (document 3) - Connivence ou tensions, voire conflits, peuvent caractériser les échanges selon leurs types (cf. Facebook et recherche de l’identité de goût ou indifférence « J’aime » – Twitter : propos qui peuvent frôler la grossièreté) Voir l’expression : « pour le meilleur et pour le pire » (document 3). 2 La conversation : une pratique changeante au fil du temps et au gré des change ments techniques - Autant de genres de conversations que de moments, lieux et canaux de la conversation