Grossièreté

dans des considérations sur la différence entre sergents et brigadiers, et d’autre part, dans des détails sordides, relatifs à la mort (« votre sang », « vous murer dans un trou »). Anouilh enferme Antigone encore plus dans sa solitude, face à la grossièreté du garde. Incorrigible à l’image d’une humanité vaine.· Ce personnage est cupide, sans valeurs morales. Il accepte de prêter main forte à Antigone, après sa prédisposition à lui offrir une bague en contrepartie. Chose qu’il a refusé dans un premier

l’expression « par ma chandelle verte » répétée aux lignes 7, 10, 21 et 49,il ajoute l’imprécation « ventrebleu » à la ligne 49, le mot « cul » à la ligne 30 et l’expression très familière « passer à la casserole » à la ligne 27. Cela montre bien la grossièreté sans limite de Père Ubu. On voit également que ce personnage est d’une grande susceptibilité, un vantard invétéré, d’une bêtise affligeante et d’une violence primitive. La réplique « Que ne vous assom’je, Mère Ubu ! » à la ligne 4 qu’il dit après

|Un silence assourdissant. | | |2 |Assonance (répétition des mêmes |Je ne parlerai pas de son insolence, |B | | |voyelles) |encore moins de sa grossièreté. | | |3 |Prétérition (on déclare passer sous|C’est un homme… qui…ah…un homme…un |C | | |silence une chose sur laquelle on |homme enfin. |

seulement j’avais appris depuis longtemps par mon expérience antérieure que la nature développe, au beau milieu de la fange, de la grossièreté, de la sauvagerie et du délabrement, les dispositions et les attitudes les plus sublimes, mais je voyais également chez mes enfants, cette force vivante de la nature surgir de toutes parts au beau milieu de leur grossièreté. (…) Tout ce qui le rend aimable, il le veut. Tout ce qui lui fait honneur il le veut. Tout ce qui éveille en lui de grandes attentes

9, même douceur et soumission en réponse aux réprimandes de la mère "Je vous demande pardon, ma mère lignes 16-17. Le choix du discours direct précise les caractères et donne une consistance à des personnages pourtant stéréotypés. Injustice et grossièretés de la mère au retour de la fille aînée. Vulgarité de l'expression qui apporte une touche de réalisme inattendue " C'est sa soeur qui en est cause, elle me le paiera" ligne 36. Les brimades que la mère inflige à sa fille cadette vont être l'occasion

professeur Ponocrates afin de s’instruire sur les arts et savoirs. Cela se passe juste avant qu’il ne vole les cloches de Notre-Dame de Paris. Dans ses œuvres, Rabelais y inscrit sa philosophie, souvent bien cachée derrière du bas corporel et de la grossièreté. Pourtant cet extrait de texte en est effectivement doté. En creusant un peu plus, on peut s’apercevoir que l’auteur parle de religion. Plus précisément de l’évangélisme, qu’il valorise et du catholicisme qu’il décrédibilise. Nous nous demanderons

était priée à la communion de sa nièce et c'est à ma grande joie que madame nous a à son tour convié à cet événement. La cérémonie ayant lieu à Virville, nous avons voyagé en train dans lequel des paysans ainsi qu'un homme ayant fait preuve de grossièreté à notre égard ont croisés notre chemin. Mr Rivet nous attendait sur le quai, nous avons emprunté sa voiture qui nous a mené jusque chez lui. J'étais alors éreintée ! Après avoir sommeillé au côté de la nièce de Madame, nous nous sommes réveillées

part d’un invité et ne se fait pas : Donc Troïle n’a ni un statut d’invité ni un statut d’hôte (qui ne critiquerait pas sa nourriture) loin de l’HH car n’a pas un jugement ajusté à sa position sociale = faute de goût + grossièreté de tt part = démesure· « jette à terre » : grossièreté + violence emprise sociale +corporelle du parasite sur les êtres des invités et hôte · Prop 3 (« : ») : ·

caricature de mœurs ou de caractères. Il y a une exagération constante dans les propos et les comportements : c'est de cet excès perpétuel que se rapproche la farce. On peut penser à la farce la plus célèbre qu'est la Farce de Maître Pathelin (où la grossièreté du langage est considérée comme une veine comique inépuisable). Le comique, les fondements de la comédie, passent aussi par l'établissement de situations rocambolesques, de péripéties –pour la plupart- invraisemblables.

paresse, et, sous l'impulsion de l'ambition, de l'instinct de domination ou de cupidité, à se frayer une place parmi ses compagnons qu'il supporte de mauvais gré, mais dont il ne peut se passer. L'homme a alors parcouru les premiers pas, qui de la grossièreté le mènent à la culture dont le fondement véritable est la valeur sociale de l'homme. [...] Sans ces qualités d'insociabilité, peu sympathiques certes par elles-mêmes, source de la résistance que chacun doit nécessairement rencontrer à ses prétentions