Grotesque De Verlaine

particulièrement présente dans les œuvres des poètes symbolistes comme Verlaine ou Mallarmé. Le symbolisme témoigne du désir de remettre en cause le réel autant que de se laisser fasciner par lui. Le mouvement symboliste, dans son sens très large, commence avec la publication de Les Fleurs du mal de Baudelaire (le grand précurseur de ce genre) en 1857 et s’étend jusqu’à la fin du siècle. Le texte fondateur du mouvement est L’Art poétique de Verlaine publié en 1882. C’est Jean Moréas qui, en 1886, propose le

tout ce corps remue et tend sa large croupe Belle hideusement d'un ulcère à l'anus. Arthur Rimbaud Arthur Rimbaud est un poète parnassien né en 1854 qui dès ses quinze ans compose ses propres poèmes. Il est très rapidement appelé par Verlaine pour se rendre à Paris, ce qu'il fait en 1870. Les impatiences de l'adolescent prennent bientôt la forme d'une haine vivace pour le conformisme social. La plupart des poèmes qu'il compose du mois de septembre 1870 au mois de mai 1871 portent la trace

premier recensement du patrimoine culturel après la Révolution, La Vénus d’Ille (1837). -Edgar Allan Poe (1809 - 1849), écrivain américain, Le Masque de la Mort Rouge (1842). -Arthur Rimbaud (1854-1891), poète français, Le Bateau ivre (1871). -Paul Verlaine (1844-1896), poète français, Romances sans paroles (1874). -Jules Verne (1828 - 1905), écrivain français, Vingt Mille Lieues sous les mers (1869-1870). -Émile Zola (1840-1902), écrivain et journaliste français, créateur du naturalisme en littérature

littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de

|genres en mêlant le sublime |spectateur, tout en le |raison critique | | |et philosophiques. |( défendre la langue française |et le grotesque. |distrayant. |( combattre l’intolérance et les | | |(encourager les sciences et le |contre l’usage du latin |( revendiquer la liberté et

arrivé. - " Ça, personne, " Même vous, diletta, ne me croit assez sot a Pour demeurer ici dedans le temps d'un saut " De puce. " Elle pâlit très fort et frémit presque, Et dit : " Va, je sais tout. " - " Alors c'est trop grotesque Et vous jouez là sans atouts avec le feu. Qui dit non ? " - Mais JE SUIS SPÉCIAL à ce jeu. " - " Mais si je veux, exclame-t-elle, être damnée ? " - " C'est différent, arrange ainsi ta destinée, Moi, je sors. " - " Avec moi

Maurice Barrès publie un article au titre évoca- teur pour l’esprit de l’époque : La Sensation en littérature1. Le sous-titre, entre parenthèses, paraît encore plus éclairant : il présente une suite de noms d’au- teurs et de personnages : Baudelaire, Verlaine, Mallarmé, Rollinat et des Es- seintes – Arthur Rimbaud ne connaîtra le succès qu’après 1886 – qui forment ce qu’on appelle la mêlée symboliste. Comme Maurice Barrès l’explique dans la suite de son propos, le fondement de la nouvelle littérature

planté par l’Angoisse est sans appel : elle annonce l’abdication et le naufrage du poète dans le désespoir. Bac de français 2012, séries S et ES Corrigé du commentaire - Paul Verlaine, « L’Enterrement ». Je ne sais rien de gai comme un enterrement ! Le fossoyeur qui chante et sa pioche qui brille, La cloche, au loin, dans l’air, lançant son svelte trille1, Le prêtre en blanc surplis2, qui prie allègrement,

littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de

d'Hernani. Cet échange d'injures fut un evenement littéraire très marquant qui a inspiré de nombreuses caricatures. Le drame romantiques rejette: la distinction des genres au nom de la réalité qui fait coïncider le beau avec le laid et le grotesque avec le sublime. - les règles de l'unité de lieu et de temps: le drame romantique se déroulant a diverses époques et dans divers lieux pose des problèmes de représentation la règle de la vraisemblance: Beaucoup de procédés du mélodrame (quiproquo