Grotesque Verlaine

La famille de Verlaine appartient à la grande noblesse : son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l’armée. Sa mère a vécu à Fampoux et a gardé longtemps sur la cheminée familiale les bocaux avec les fœtus de ses fausses-couches. Installé avec sa mère au 26 rue Lécluse à la suite du décès de son père, il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens (où figure en particulier Chanson d'automne

de Pierre de Ronsard qui est un poème extrait du recueil intitulé Amours de Cassandra datant de 1852. Il reflète un coup de foudre lors d'une rencontre amoureuse mais l'homme se compare à un chevreuil. Ensuite nous étudions un poème de Paul Verlaine se nommant « La bonne chanson » publié en 1870. « La courbe de tes yeux » est un poème en quintils tiré du recueil intitulé Capitale de la douleur écrit en 1926 par Paul Eluard. Dans son poème, l’auteur fait l'éloge de la femme par un

service des autres hommes  A- Un traavail long et minutieux sur une oeuvre si courte  - figure de style pour concrétiser les idées : Citation : Verlaine "Les longs violons/ De l'automne/ Bercent mon coeur/ d'une langueur monotone."  - Rendre des sensations par la forme du poème (métrique des vers, strophe etc...) ce qui donne du rythme.  Citation : Verlaine "De la musique avant toute chose"  B- Au service de la société  1) Poésie engagée  Louis Aragon "strophes pour se souvenir"  2) Poésie

d’amour ? Plan : I / Un poème d’amour. 1. Un amour. 2. Les souffrances du poète II/ Une femme mystérieuse. 1. Un portrait flou. 2. Une existence immatérielle. Conclusion : « Mon rêve familier » est un poeme qui datte Paul Verlaine est un poete francais du XIXeme siecle Dans cette première partie, nous montrerons en quoi ce poème diffuse un message d’amour, nous analyserons dans un premier temps l’amour imaginaire évoqué dans le poème et ensuite nous interpréterons les

tiède,  Où noyer sans frissons l'âme qui nous obsède  Et trouver ce Néant que tu ne connais pas. Je goûterai le fard pleuré par tes paupières,  Pour voir s'il sait donner au cœur que tu frappas  L'insensibilité de l'azur et des pierres. Paul Verlaine (1844 – 1896) Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits !  Pour un cœur qui s'ennuie, Ô le chant de

Parnasse (1857) Poètes représentatifs : Théophile Gauthier (1811-1872), Leconte de Lisle (1818-1894),Hérédia (1842-1905). Mouvement : Le symbolisme (Années 1880) Poètes représentatifs : Rimbaud (1854-1891), Stéphane Mallarmé (1842-1898), Paul Verlaine (1844-1896). Mouvement : Le surréalisme (1924) Poètes représentatifs : André Breton (1896-1966), Aragon (1897-1982),Robert Desnos (1900-1945).

sonore, ou encore les expérimentations « lettristes » d’Isidore Isou. Les impasses de cette poésie coupée de l’âme et parfois très rhétorique seront régulièrement combattues au nom de la souplesse et de la force de la suggestion, par exemple par Paul Verlaine et les poètes symbolistes ou décadentistes de la fin du XIXe siècle, qui revendiqueront une approche moins corsetée de la poésie. Cette conception d’un art libéré des contraintes l’emportera largement au XXe siècle où la poésie deviendra une expression

pas absolument établi. VERLAINE : Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L’emploi de rythmes impairs, d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. C’est lui qui a lancé la notion de « poètes maudits ». La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie :

avait 50 ans d'avance sur ses homologues contemporains seulement à l'âge de 16 ans. Il était militant du mouvement poétique appelé parnassien et un adepte du symbolisme tout comme Paul Verlaine et Stéphane Mallarmé. Les influences de Victor Hugo, Georges Izambard, Théophile Gauthier, Théodore de Banville, Paul Verlaine et de Léon Dierx ne furent pas moindres sur le jeune poète. Bien que ses poèmes et sa prose aient eu une influence considérable, il ne consacra que trois ans de sa vie à la littérature

Coupants et clairs comme un rasoir. L’autre aussi faisait la sucrée Et rentrait sa griffe acérée, Mais le diable n’y perdait rien… Et dans le boudoir où, sonore, Tintait son rire aérien, Brillaient quatre points de phosphore. Paul VERLAINE, Poèmes saturniens, dans OEuvres poétiques complètes. I. Paris, Gallimard, « La Pléiade », 1962, pp. 74-75. ------------------------------------------------- Femme et Chatte Titre ambigüe avec une action généralisante entre la femme et la