Groupe Nouvelles Frontières

question non résolue : où sont les frontières ? » Tel ont été les mots de Miljenko DERETA lors du colloque « Demain les Balkans » qui s'est déroulé à Nancy du 3 au 8 mai 2000. Ce témoignage évoque en son sens premier la Guerre dont a souffert ces Etats issus de l'Ex-Yougoslavie mais également la difficulté suivante de s'identifier après ces bouleversements et en partie au sein de l'Union Européenne qui renvoie à une notion plus large sur l'identité et les frontières. En effet, laYougoslavie, qui disparut

territoire des peuples yougoslaves se trouvait à la frontière de ces deux grandes zones d’influences. Cette frontière n’est pas clairement définie mais existe réellement encore aujourd’hui : Pays ouest de l’ex-Yougoslavie = catholiques (Slovènes, croates) tandis que à l’est : orthodoxes (Serbes, Macédoniens). Jusqu’au 19ème, affrontements entre deux empires : Austro Hongrois et empire Ottoman. Les 4 siècles de domination turcs ont amené une nouvelle religion : l’islam : traces profondes dans la civilisation

à des systèmes nationaux différents. Pourtant, comme l’Etat, puisqu’au final elle se définit à travers lui, la transnationalité, entendue comme le processus de formation des mouvements et des courants de solidarité d’origine privée à travers les frontières, s’est manifestée, suivant les lieux et le moment, selon des modalités différentes. La scène internationale se caractérise donc par la superposition d’un réseau de flux transnationaux et d’un système international encore structuré selon la logique

et l’Europe dans l’Histoire. I) De l’indépendance de la Hongrie aux régimes totalitaires. A) La Hongrie construites par des nationalistes * En 1918, il y a la chute de l’Autriche Hongrie : les nouvelles frontières sont tracées par la France. * Suite à cela les frontières culturelles ne sont pas respectées : cela amène une instabilité politique par la démission de responsables, et par conséquent une montée des idées révolutionnaires. * En 1919, les révolutionnaires hongrois

l’exportation. Elles emploient généralement des femmes et sont situées sur la frontière Américano-mexicaine.’ Apparues en 1965, suite à la fin du programme braceros, elles se sont installées dans les villes frontières telles que : Tijuana, Ciudad Juarez, Reynosa ou encore Matamoros. Une des formes d’implantation locale les plus originales de ces maquiladoras a été la mise en place d’usines jumelles de part et d’autres de la frontières Etats-Unis/ Mexique, avec, au Nord, les fonctions d’encadrement et au

qui sont installés à la frontière, qui viennent d’arriver dans l’Empire mais qui diffèrent des normes. Cependant, il faut garder à l’esprit que le mot de « barbare » renvoie à une affaire de perception : on désigne comme barbare celui à qui l’on refuse la qualité de « romain ». C’est un terme négatif. Empire romain : Une structure politique qui domine le bassin méditerranéen depuis grosso modo le Ier siècle av. J.-C. Cet État est délimité par un limes (une frontière fortifiée). En son sein vivent

Depuis juillet 1997, Laurent-Désité Kabila était en train de s’émanciper peu à peu et d’échapper à ses mentors rwandais, ougandais et ... américain. Un Tutsi rwandais, jusque-là chef d’état-major de la nouvelle armée congolaise (FAC), le général James Kabarebe, fut limogé le 11 juillet 1998 et, le 27 juillet, était annoncée la fin de la coopération militaire avec le Rwanda. Ce fut le prétexte au déclenchement des hostilités, mais l’intervention militaire contre la RDC des deux ex-alliés de Kabila

conséquences dans les campagnes : agrandissement des exploitations, réduction de leur nombre et spécialisation changent le paysage rural (nouveaux bâtiments, plus de haies, remembrements agricoles, etc.) et l’uniformisent. Les campagnes ont aussi de nouvelles fonctions sociales et économiques : Les citadins s’installent : rénovation de fermes ou construction de lotissements (rurbanisation) Grands espaces : parcs d’activité, parcs de loisirs, grandes voies de communication. Ces mutations rompent souvent

mondialisation. Ainsi, dans son ouvrage il tend analyser les conséquences culturelles de la globalisation. Selon lui la globalisation pour corrélat a eu au contraire une démultiplication des publics en mesure de produire de nouvelles formes culturelles. S’intéressant aux diasporas, aux groupes qui subissent de plein fouet la déterritorialisation dans un monde flux marqué par des migrations de toutes sortes ,Appadurai met le fait que celles-ci ne sont jamais synonymes d’une perte d’identité ,d’une absorption

peuplé mais qui dispose de nombreuses ressources. Le poids démographique, économique et politique des régions littorales et urbanisées, où se situent les capitales et les grandes villes, contraste avec les faibles densités du Sahara, peuplé par des groupes minoritaires. Longtemps consi­déré comme une marge peu développée, laissée aux oasiens et aux nomades, le Sahara a suscité récemment l’intérêt des États, notamment depuis la découverte des ressources de son sous-sol qui sont en grande partie destinées