GS1

l’utilisation des fréquences nécessaires. Ce retard entraîne une difficulté de déploiement de la technologie en France. Cependant, on a appris que l’armée venait de libérer au début de l’année la fréquence 865-868 MHz utile pour la technologie développée par GS1 avec sa puce Gen 2. Une bonne nouvelle pour l’introduction de la RFID en France. Mais ce problème risque de se reproduire dans le futur ou d’autres fréquences seront utilisées. Les industriels pourraient retarder leurs projets à cause de cette contrainte

les systèmes de convoyage, les saisies en code à barre, etc.; • le co-packing[36]; • le slotting[37]; • le Voice Picking[38]. 11 Les codes à barres comme outil informatique d'identification technique des produits Selon le GS1, organisation mondiale de concertation entre acteurs indépendants au sein des chaînes logistiques et dont la mission principale est d'apporter aux entreprises des outils standardisés comme les Barcodes ou encore les Electronic Product Codes (EPC), le

(G3)…………………………..……………………..…50 Figure IV-4 : Grafcet de mémorisation des défauts (G4)……………………………..…..….……...............50 Figure IV-5 : Grafcet d’affichage des défauts (G5)……………………………………..……………………51 Figure IV-6 : Grafcet de sécurité de la pompe BP (GS1)………………………….…..…………………….52 Figure IV-7 : Grafcet de sécurité de la pompe HP (GS2)……………………………………………………53 Figure IV-8 : Grafcet de sécurité du Clutch (GS3)……………………………………..….…………………53 Figure IV-9 : Grafcet manuel de la pompe BP (G6)…………………………………..……………………54

étiquetage Les supports remis au Transporteur sont : - Des unités logistiques homogènes (conteneur) identifiées par une étiquette directionnelle. Les conteneurs renferment les tapis invidualisés. Chaque unité est identifiée par une étiquette aux normes GS1 128, avec un numéro unique SSCC (si, dans le cas du colis, le Donneur d’ordres a les capacités techniques de le faire). 3 - DESCRIPTION DES FLUX D’INFORMATION En application notamment des dispositions de l’art.132-9 du code de Commerce et

par radiofréquence (RFID).  L’étiquette RFID sera le support du système EPC (Electronic Product Code, soit Code produit électronique), représentant « le réseau de la traçabilité des objets».  En France, c’est EPC Global France, émanation de GS1-France (ex Gencod-Ean France), qui en assure le développement et la promotion.  5. Pourquoi la RFID 5. Pourquoi la RFID Les technologies RFID ne sont pas des solutions en soit, mais des « technologies support » qui ouvrent la voie à une multitude

d’optimiser ainsi la chaîne de distribution du produit. Parmi les ressources locales, nous citons le groupe de recherche interuniversitaire situé à l’université Laval. Le CIRRELT se consacre à la logistique et à la gestion potentielle du RFID. ____ 20 GS1 : www.gs1ca.org (les normes de traçabilité) 30 Guide de l’emballage alimentaire 3) Emballages novateurs Les modes de vie, la démographie et la société sont en constante évolution. Nos consommateurs cherchent de plus en plus de fonctions différentes

de processus de fabrication de produit si c’est un concurrent. Se posent donc des soucis de sécurité et de confidentialité. e- L’absence de standard Ce manque de standard est, après le coût, l’une des principales contraintes de la RFID. La GS1 (Global System 1), organisation de normalisation (presente au Senegal pour le déploiement des codes barres), pour le moment est l’un des premiers a créé Gen2 qui est le standard le plus utilisé pour la RFID. Ce standard est créé pour répondre aux

(EN). Ces normes sont de plus en plus strictes et ne concernent plus simplement l’hygiène des aliments mais aussi la traçabilité des produits et les systèmes de management utilisés. De plus la France pour des raisons économiques a adopté la norme GS1 qui propose une standardisation des étiquettes électroniques dans la grande distribution et conformément à la réglementation européenne, le groupe Carrefour met à disposition de ses clients des systèmes de collecte pour les Déchets d’Équipements Électriques

ProduFlex est un ERP (Entreprise Ressource Planning) utilisé par GRIESSER [ 4 ]. FaxBox : sujet abordé en deuxième partie [ 5 ]. Michel Greif (spécialiste du management visuel) [ 6 ]. Source : Arthur D. Little pour Deskom/Post@xess [ 7 ]. Source : Gs1, « facture dématérialisée », www.gs1.fr

confidences, Marivaux http://perso.wanadoo.fr/cite.chamson.levigan/doc_animations/treize_vents/spectac... Des éléments pour l'analyse de la pièce dans son ensemble.  Les fausses confidences, Marivaux http://www.chass.utoronto.ca/french/as-sa/ASSA-No3/GS1.html Un article de Gary Smith : « Mise en abyme, théâtralité, distanciation et dénégation dans Les Fausses confidences ou comment rendre un amour improbable vraisemblable », Département d'Études françaises, University of Toronto.  Les fausses confidences