Gucci

Food et celui des Autres Marques, chacun d'entre eux étant piloté par un directeur et fonctionnant de manière dédiée et intégrée. La BU Luxe C’est la business unit qui gère la commercialisation des produits de marques luxueuses : DIOR, FENDI et GUCCI, ces marques ont fait l’objet de toute une Business Unit du fait qu’elles nécessitent une gestion spécifique aussi bien qu’en amont qu’en aval. La BU Department Store C’est la business unit qui gère actuellement les galeries qui récemment implantées

sans complexes entre réalisateurs, producteurs et annonceurs. Voici quelques exemples notables de placement de produit : - Fedex -> Seul au monde - Rolex, Aston Martin -> James Bond - Mac Do -> 5eme éléments - Marque de luxe diverses (Prada, Gucci, Chanel, Jimmy Choo, …) -> Sex and the city - Coca-Cola & Pizza Hut –> E.T - Certains films portent même le nom d’une marque -> Le diable s’habille en prada - Peugeot -> Taxi Source : - www.jeanmineur.com - www.sep-publicité.com - www

l’acquisition de firmes principalement étrangères. Ces opérations se sont réalisées dans un contexte de concurrence accrue suite à l’entrée dans le secteur du groupe Pinault Printemps la Redoute (PPR) qui a empêché LVMH de prendre le contrôle de Gucci en mars 1999 ainsi que le groupe Sanofi Beauté. Effectivement, cet objectif d’internationalisation par acquisitions ne peut être atteint que par des budgets très importants : réseaux de distribution, R&D et communication, inaccessible au PME du

|8 à 9 milliards d’euros | | |Louis Vuitton |8,5 milliards d’euros | | |Gucci |7 milliards d’euros | | |Dior |4,2 milliards d’euros |

l'entrée: - effet d'expérience - entreprises à histoire -… Fournisseurs: Faible pouvoir de négociation car gros client et nombreux fournisseurs Rivalités entre firmes: intensité concurrentielle forte, notamment grands groupes (LVMH, Richemont, Gucci Group) Clients: Fort pouvoir de négociation sur le marché du luxe car image importante Produits de substitution: Apparition d'autres formes de luxe qui ne se limitent plus à l'objet EVALUATION DES POTENTIALITES P EN L E Nouveau gérant:

clientèle chinoise à ses débuts. Mais une fois cette "mission" accomplie, les ventes exposent. Chanel, apparait comme la seconde marque préférée des chinois, après Louis Vuitton. 1 : Louis Vuitton 6 : Cartier 2 : Chanel 7: Prada 3 : Gucci 8 : Omega 4 : Dior 9 : Longine 5 : Hermès 10 : Estée Lauder Récemment en 2009, Chanel à ouvert deux boutiques en Chine : à Hangzuhu et à Shanghai dans un hôtel de luxe. Cette dernière sera la plus grosse boutique de "l'Empire

Calvin Klein. A l’unanimité, ces deux marques ont été désignées comme marque très haut de gamme avec des prix élevés, bien plus luxueuse et plus chères que les marques de luxe traditionnelles. Les marques traditionnelles étant par exemple : Armani, Gucci, Hugo Boss. Quant à ZARA, Célio et H&M, elles font parties des marques de moyenne gamme. Deuxième étape : Le prix moyen des marques Au sein même des magasins officiels des marques (dans le plus grand centre commercial à Lyon), ont été collectés

sortis les guns J'ignore mais quand on pose (pose) les haineux ont le seum Man on vient de loin et ose (ose) ouvrir t'a grande gueule Ouais j'te présente ma Banlieue sale music Capital du crime... Yeah, yeah Veni vidi vici Je suis venu en Gucci, en Louis Tu devais sortir en juin finalement tu sort en Automne T'as écouté mon disque et ta repoussé ton album ! Yeah on les oublieras tous comme Danny Glover Pour nous c'est range rover Pour eux c'est game over ! Yeah concert a guichet fermé

Sport), une plus grande sensualité apparaît à travers des orientaux aux allures de grands classiques (L’Instant pour Homme, Armani Code, Brit for Men, Baldessarini…). Des accords floraux masculins font leur apparition (Dior Homme, Les Fleurs du Mâle, Gucci pour Homme II) et ouvrent peut-être la voie à une parfumerie moins cloisonnée dans des genres olfactifs.   Cette ouverture des codes olfactifs est également illustrée par l’émergencedes marques de parfumerie de « niche », qui n’ont jamais eu autant

négative, alors que leurs décisions laissent supposer implicitement le contraire. Prenons ainsi l’exemple de Gucci dont le contrôle a été acheté en 2002 par le groupe PPR. S’il y avait des synergies financières, il faudrait en déduire que le taux de rentabilité exigé de l’activité luxe est différent selon que l’entreprise soit indépendante ou qu’elle fasse partie d’un groupe. La valeur de Gucci serait donc plus importante au sein du groupe Pinault que lorsqu’elle était indépendante. La question n’est