Guérilla irakienne

bases navales, leurs bases terrestres, ainsi qui leurs troupes qui sont présents dans toutes les zones du monde font des Etats-Unis la seule puissance militaire mondiale. La guerre du Golfe déclenchée en 1991 pour protéger le Koweït de l’invasion irakienne a été gagnée par les Etats-Unis, ce qui confirme leur nouveau rôle de gendarmes du monde. Les Etats-Unis sont alors dirigés par le républicain G. Bush qui prétend pouvoir « maintenir la paix et la stabilité et promouvoir la démocratie » dans le

Est-Ouest plus classique et avec celle de Corée, un des plus meurtriers de la guerre froide (50 000 Américains et plus d’un million de Vietnamiens meurent). L’armée américaine intervient pour sauver la dictature militaire sud-vietnamienne menacée par la guérilla du Viêt-Cong soutenu par le Nord-Vietnam communiste dirigé par Hô Chi Minh, lui-même aidé par l’URSS et la Chine populaire. La réaction américaine est vigoureuse : bombardements sur le Nord, intervention massive dans le Sud à partir de mars 1965 ;

freiner le développement du Foyer national juif. Mais l'avènement du régime nazi en Allemagne, en 1933, relance l'immigration juive vers la Palestine ainsi que la tension dans la région. La lutte palestinienne prend alors la forme d'une véritable guérilla qui n'est réduite qu'en 1937. Le Mouvement national palestinien est alors exsangue : il a subi de lourdes pertes humaines (plusieurs milliers de morts) et ses chefs sont détenus en prison. Toutefois, la nécessité de se concilier les États arabes

d'équilibre entre les forces conservatrices et progressistes. En novembre 1981, il obtient d'Aden (avec qui les relations se sont notablement améliorées) la réduction de son aide aux maquisards du Front national démocratique (FND), qui se livrent à la guérilla dans le Sud. Une paix des braves est finalement signée au début de 1983, le FND dépose les armes. Le 22 mai 1990, la République arabe du Yémen (Yémen du Nord) et la République démocratique populaire du Yémen (Yémen du Sud) ont fusionné pour former

cette guerre. Au niveau militaire, les actions de la guérilla sont ponctuelles et restent marginales tandis que l'aide au développement est gaspillée dans l'indifférence générale. Car c'est l'Irak qui occupe toutes les têtes et c'est d'Irak que va émerger l'image de la nouvelle guerre annoncée: la guerre pour la démocratie, la guerre asymétrique, la « guerre Américaine ». Tous ces termes, toutes ces représentations sont issues du creuset irakien qui conditionne notre appréhension du conflit Afghan

la scène internationale. La Chine est le 1° pays asiatique à compter aujourd'hui sur le plan international. Membre permanent du Conseil de Sécurité de l'ONU, elle s'est faite remarquer par son opposition à la politique américaine dans le conflit irakien en 2003 et sur la question du nucléaire iranien. Récemment et à la suite du 1° essai nucléaire nord-coréen, la Chine s'est imposée comme médiateur dans l'avancée des pourparlers. Au-delà des seules discussions diplomatiques, la Chine et de nombreux

pouvoir. Il mène alors la répression contre les révoltes des minorités chiite et kurde, sans réaction de la coalition. C’est pourtant l’espoir crée par l’intervention de l’ONU qui était à l’origine de ces soulèvements. L’ONU obtient l’engagement irakien de supprimer toute arme de destruction massive. 3) L’hyperpuissance américaine La guerre du Golfe peut être considérée comme le premier acte du « nouvel ordre mondial » défini par le Président américain George H. Bush. Elle montre la rapidité

politique étrangère des Etats-Unis 62 Université de Georgetown - Washington 62 Israël - Etats-Unis: une communion de culture 63 Le choc des civilisations 64 Les ventes d'armes américaines et Israël 65 Avantages d'un assouplissement de l'embargo irakien 68 De l'invasion du KOWEIT 69 Soutiens américains aux Islamistes 70 Soutiens saoudiens aux Islamistes 71 Le réveil islamique et les Etats-Unis 73 La stratégie pro-islamique américaine en Asie 74 Bilan de la guerre du Golfe 77 AVANT

Barzani. L’arrivée de Saddam Hussein au pouvoir va cependant sceller le sort des Kurdes dans ce qui sera l’une des plus terribles tragédies de leur histoire. Prenant pour prétexte la guerre Iran-Irak (1980-1988) et le soi-disant soutien des Kurdes irakiens à Téhéran, Saddam lance l’opération Anfal et donne la direction des 7 C. En Syrie Le Kurdistan de Syrie est la plus petite partie du Kurdistan. Cependant, la répression y est aussi intense que dans les autres territoires. Sur les 2 millions

1960. Mohamed Bensaid Aït Idder était membre dirigeant de l'ALM3 (Armée de libération marocaine) dans le Maroc espagnol (zone Nord), puis, après l'indépendance, se déplaça au Sud du Maroc vers les confins sahariens. L'ALM menait des opérations de guérilla contre les forces espagnoles et françaises, De 1955 à 1958, date de l'Opération Ecouvillon ayant détruit la structure de l'ALM dans les régions de M'hamid El Ghizlane et les environs des confins sahariens4,5. Mais si Bensaid Aït Idder représente