Guermantes

Mrs Dalloway | |Etudes transversales et/ou thématiques : | |Proust, Le côté de Guermantes | |Evolution de la représentation du personnage féminin. | |

du docteur », « l’ancienne concierge » et « la cocotte », qui traduisent à elles trois le ridicule de cette société hétéroclite. Les Verdurin eux-mêmes ne possèdent pas le moindre titre de noblesse, et font pâle figure à côté de la « duchesse de Guermantes » et de la « princesse de Sagan ». Proust va même plus loin dans la critique, en effet il insinue que même les valeurs de la bourgeoisie sont douteuses, en mettant en parallèle la vertu, la richesse et la fraude : « Mme Verdurin [...] elle-même

a) Catherine Ringer b) Adèle c) Hubert Felix Thiéfaine d) Brigitte 31/ Le Théâtre de la Criée est à a) Bruxelles b) Marseille c) Toulouse d) Lyon 32/ Pas de Proust a) Albertine retrouvée b) Au bonheur des dames c) Le temps retrouvé d) Le côté de Guermantes 33/ Les Pays Bas ont une a) Monarchie constitutionnelle b) Principauté c) République fédérale d) République parlementaire 34/ Monsanto est une entreprise spécialisée dans a) La presse b) La commercialisation de biotechnologies végétales c) L’habillement

Thérèse Raquin : Zola· Biographie de l’auteur Zola est un écrivain naturaliste et essayiste français. Il vit dans la pauvreté́ après la mort de son père dès l’âge de sept ans. Après avoir abandonné́ ses études scientifiques, il devient chef de publicité́ à la librairie Hachette où il rencontrera les plus grands auteurs de l’époque. Il publie son premier ouvrage, Contes à Ninon à vingt-quatre ans, puis il se lance dans une carrière de journaliste. Son premier

Odette, et déclarait être « un amour », et à la tante du pianiste, laquelle devait avoir tiré le cordon3 ; personnes ignorantes du monde et à la naïveté de qui il avait été si facile de faire accroire que la princesse de Sagan et la duchesse de Guermantes étaient obligées de payer des malheureux pour avoir du monde à leurs dîners, que si on leur avait offert de les faire inviter chez ces deux grandes dames, l’ancienne concierge et la cocotte eussent dédaigneusement refusé. Les Verdurin n’invitaient

Odette, et déclarait être « un amour », et à la tante du pianiste, laquelle devait avoir tiré le cordon3 ; personnes ignorantes du monde et à la naïveté de qui il avait été si facile de faire accroire que la princesse de Sagan et la duchesse de Guermantes étaient obligées de payer des malheureux pour avoir du monde à leurs dîners, que si on leur avait offert de les faire inviter chez ces deux grandes dames, l’ancienne concierge et la cocotte eussent dédaigneusement refusé. Les Verdurin n’invitaient

côté de chez Swann : paru en 1913 chez Grasset et divisé en trois parties : Combray, Un amour de Swann, Noms de pays : le nom. 2-A l’ombre des jeunes filles en fleurs: reçoit le prix Goncourt en 1919 la même date de sa parution. 3-Le côté de Guermantes : publié entre 1921 et 1922 chez Gallimard. 4-Sodome et Gomorrhe : un roman de l’homosexualité publié entre 1922 et 1923. 5- La prisonnière : parue en 1923, un an après le décès de Proust. 6-Albertine disparue : paru en 1925. 7-Le temps retrouvé :

la conséquence d'émotions ressenties par le lecteur ? En premier lieu, nous allons donc parler de la beauté physique ou morale d'un personnage ; en effet, c'est la beauté la plus commune, et pourtant elle n'en est pas plus banale. Le Duc de Guermantes, du Temps retrouvé (1927) de Marcel PROUST, est un personnage décrit comme magnifique malgré sa vieillesse. Cette beauté, même physique, étonne le narrateur qui "ne l'eusse sans doute pas reconnu" si on ne lui avait pas "clairement désigné" : "sa

l’illusion de réalité. Toutes ces descriptions visent à donner au personnage une sorte « d’humanité » qui permet au lecteur de s’identifier, ou au moins d’accrocher au roman. Ainsi, dans Le Temps retrouvé (1927) de Proust, le personnage du vieux duc de Guermantes est décrit de façon tellement détaillée qu’il nous semble l’avoir déjà vu tant notre image de lui devient concrète. Proust ne se contente d’ailleurs pas d’une simple description des traits du personnage : son visage et son corps se construisent

le naturalisme de Zola voisine avec l’exotisme de Pierre Loti et des romans plus personnels comme ceux d’André Gide ou de Marcel Proust. « Le côté de Méséglise avec ses lilas, ses aubépines, ses bleuets, ses coquelicots, ses pommiers, le côté de Guermantes avec sa rivière à têtards, ses nymphéas et ses boutons d’or, ont constitué à tout jamais pour moi la figure des pays où j’aimerais vivre, où j’exige avant tout qu’on puisse aller à la pêche, se promener en canot, voir des ruines de fortifications