Guerre de Cent Heures

.........................................294 V ARABIAN-TUNNEL............................................................. 310 VI L'ARCHIPEL GREC ............................................................322 VII LA MÉDITERRANÉE EN QUARANTE-HUIT HEURES 337 VIII LA BAIE DE VIGO ...........................................................349 IX UN CONTINENT DISPARU...............................................362 X LES HOUILLÈRES SOUS-MARINES .................................374 XI LA MER DE SARGASSES

Poétique [pic] Préface : Nous avons choisi le thème de l’engagement pour cette anthologie poétique, tout d’abord pour montrer les différents types d’engagement, comme l’engagement politique, social, etc, Sur 5 poèmes 4 traitent de la Guerre et de l’engagement social des poètes qu’ils transmettent par le biais de leurs poèmes. Nous allons présenter ceux-ci : -«Le désastre de Lisbonne ».Dans ce poème, Voltaire s’engage socialement et dénonce la catastrophe qui touche alors Lisbonne en

l’internationalisation de l’économie et les risques de guerre. Dans l’ouvrage de Norman Angell de 1910, The Great Illusion, vendu à des millions d’exemplaires, l’idée est défendue que dans un monde d’activités économiques étroitement intégrées, à peine moins qu’aujourd’hui, la guerre aurait un effet économique dévastateur, même pour le vainqueur. Pour autant, cette « première mondialisation » n’empêcha pas le déclenchement de la Première Guerre mondiale : l’internationalisation de l’économie, dans

rapportant de cette exploration de curieuses observations d’ethnographie. Pendant ces divers voyages, Samuel Fergusson fut le correspondant le plus actif et le plus intéressant du Daily Telegraph, ce journal à un penny, dont le tirage monte jusqu’à cent quarante mille exemplaires par jour, et suffit à peine à plusieurs millions de lecteurs. Aussi le connaissait-on bien, ce docteur, quoiqu’il ne fût membre d’aucune institution savante, ni des Sociétés royales géographiques de Londres, de Paris, de

au niveau de la mer, je passais mon temps à admiré le défilement des nuages autour de l’avion. Au cours du vol, les hôtesses ce déplaçaient régulièrement, amenant parfois leurs gammes de produits Air-Caraïbe ou de la nourriture, puis après quelques heures, l’une d’entre elle accompagna une jeune femme à s’asseoir au siège vide qui me tenait compagnie. Un parfum très doux parcouru mon odora et mes sens comme une essence de vanille qui flottais dans l’air. Cette jeune femme avait un parfum qui me rendu

côtes de l’Australie. Le capitaine Baker se crut, tout d’abord, en présence d’un écueil inconnu ; il se disposait même à en déterminer la situation exacte, quand deux colonnes d’eau, projetées par l’inexplicable objet, s’élancèrent en sifflant à cent cinquante pieds dans l’air. Donc, à moins que cet écueil ne fût soumis aux expansions intermittentes d’un geyser, le Governor Higginson avait affaire bel et bien à quelque mammifère aquatique, inconnu jusque-là, qui rejetait par ses évents des

narrateur : sa chambre, son lit. 1.2. Les indications de temps Ces indications jalonnent le texte de manière précise * l’année dernière (l. 1) * une heure après le coucher du soleil (l. 7) * tout à coup (l. 30) * 11 heures (l. 37) * quelques instants après (l. 45) En plus de ces indications, le récit s’inscrit dans le temps par la succession des actions exprimées au passé simple. ------------------------------------------------- Comme pour les données

a été dérangé par la guerre et par la tentative d'écrire d'autre œuvres .Mais entre temps, elle a été publiée sous forme d'épisodes. Au début son auteur envisageait de la constituer pour mettre à jour une insurrection paysanne contre la civilisation industrielle .Il lui a donné le titre de "fêtes de la mort".c'est longtemps après qu'il s'est décidé à la titrer Deux cavaliers de l'orage. Jean Giono dit de son œuvre : "Ce n'est plus la violence de la révolte, de la guerre et de l'invasion prévue

mari, son père et son enfant nouveau-né. Après six semaines de délire, elle sombre dans la mélancolie, bougeant à peine et hurlant dès qu'on veut la lever. Pendant quinze ans, une vieille bonne lui donne à manger, à boire et fait sa toilette. La guerre arrive. Un jour de décembre particulièrement froid, les Prussiens entrent dans le village et chaque foyer doit loger plusieurs soldats. Au bout de quelques jours, l'officier qui loge chez la folle exige qu'elle sorte de sa chambre, ce qui est impossible

pressait la foule. Quand la marche nous eut bien reposés Nous eûmes le courage de nous asseoir Puis au réveil nos yeux se fermèrent Et l’aube versa sur nous les réservoirs de la nuit. La pluie nous sécha. Langage Cuit (1923) Demain Âgé de cent-mille ans J’aurais encore la force de t’attendre Ô demain Pressenti par l’espoir. Le temps, vieillard souffrant De multiples entorses, Peut gémir : Neuf est le matin, neuf est le soir. Mais depuis trop de mois, Nous vivons à la veille,