Guerre Ni Vainqueur Ni Vaincus

Article de Jean Paul Sartre, "Les Somnambules", Avril 1962 Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale en 1945, se pose la question de la décolonisation. Les deux Grands, que sont les Etats Unis d’Amérique et l’Union des Républiques Soviétiques Socialistes (URSS), sont anti-impérialistes, ils ne reconnaissent pas l’expansion d’Empires coloniaux quels qu’ils soient. C’est dans ce contexte que l’Algérie française demande son indépendance en 1954 mais en manque d’écoute et de reconnaissance,

1) L’Indochine espace martyr (guerres du Vietnam et génocide cambodgien) Rappel cours de première : un espace colonisé par la France puis, à partir de 1941, occupé par le Japon a) la guerre d’Indochine (parfois appelée 1ère guerre du Vietnam) 1946-1954 . Très bien racontée dans votre livre p 119 , un élément important du cours sur la décolonisation qui sera fait plus tard  complétez, à l’aide du livre la chronologie ci-dessous . 2 sept 45 . HCM et le Vietminh , déclaration d’indépendance

Les morts de la Seconde Guerre mondiale Commentaire d'un document unique Pays Pertes militaires Pertes civiles Pertes totales En % par rapport à la population totale d'avant-guerre URSS 13 600 000 7 500 000 21 100 000 10,0 % Pologne 120 000 5 300 000 5 420 000 * 15,0 % Yougoslavie 300 000 1 200 000 1 500 000 10,0 % Allemagne 4 000 000 3 000 000 7 000 000 12,0 % Japon 2 700 000 300 000 3 000 000 4,0 % Italie 300 000 100 000 400 000 1,0 % France 250 000 350 000 600 000 1,5 % Royaume-Uni

sous l'influence d'une reine considérée comme barbare par le peuple malgré le prestige culturel de l'Égypte. Contre toute légalité, Cicéron fait voter au sénat les pouvoirs de propréteur pour Octave alors qu'il n'a pas exercé les charges de questeur ni de préteur et qu'il est très en dessous de l'âge minimal requis. Ayant levé une armée, Octave bat d'abord Antoine à Modène. Octave est alors acclamé imperator, par ses troupes. Mais en dépit de l'avis de Cicéron, prêt à assumer le consulat avec Octave

ne connaissaient ni la crainte, ni les supplices ; des lois menaçantes –5– n'étaient point gravées sur des tables d'airain ; on ne voyait pas des coupables tremblants redouter les regards de leurs juges, et la sûreté commune être l'ouvrage des magistrats. Les pins abattus sur les montagnes n'étaient pas encore descendus sur l’océan pour visiter des plages inconnues. Les mortels ne connaissaient d'autres rivages que ceux qui les avaient vus naître. Les cités n'étaient défendues ni par des fossés

l’homme qu’elle aime. Sa servante, Elvire, a néanmoins une vision positive de la situation car elle ne voit que ne voit que les bonnes choses que Chimène peut tirer quel que soit le résultat de la lutte. Si Rodrigue est vainqueur, Chimène pourra épouser son bien aimé, s’il est vaincu, son père est vengé. Au vers 1650, nous avons à faire à une antithèse (heureux succès -> larmes). À partir du vers 1651, débute la conclusion qui est par la suite prolongée par les quatre vers formant partie du discours

ses origines à la colossale aventure d'Alexandre, qui fut cependant si riche en conséquences pour l'histoire générale de la civilisation. L'Empire romain fut bien plus près d'être une patrie. En retour de l'immense bienfait de la cessation des guerres, la domination romaine, d'abord si dure, fut bien vite aimée. Ce fut une grande association, synonyme d'ordre, de paix et de civilisation. Dans les derniers temps de l'Empire, il y eut, chez les âmes élevées, chez les évêques éclairés, chez les lettrés

familles les plus en vue. Les sénateurs conservent pendant plusieurs siècles des attributions capitales : ils confirment les lois votées dans le cadre des Comices, adoptent des décisions parfois appliquées sans délai, décident d’une déclaration de guerre ou de la ratification d’un traité. Le peuple participe à la gestion des affaires publique mais Rome n’est pas pour autant une démocratie dans le sens où nous l’entendons. Les plus riches contrôlent les magistratures de l’Etat. Ce sont les patriciens

dans une épître en vers anonyme l’« Auteur du vrai Cid espagnol » écrit à son traducteur français, accuse Corneille de plagiat en mars 1637 Les personnages Don Rodrigue (Rodrigue) : fils de Don Diègue et amant5 de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Le personnage s'inspire de Rodrigo Díaz de Vivar. Chimène : fille de Don Gomès et maîtresse6 de don Sanche et de Don Rodrigue dont elle est aussi l’amante. Don Gomès

lasse : « Et c’était bien cela, l’armée chrétienne […], rouscaille, genre affranchi […] : tradition ! tradition ! Alors que l’armée qui nous poussait devant elle était celle d’un pays qui avait fait une révolution, et qui ne souciait ni des conventions, ni des codes, ni des usages. » (HM : 957) Zusammenfassend lässt sich schon zu diesem Zeitpunkt der Analyse feststellen (auch ohne bisher auf die zensierten Textpassagen Montherlanhts aus dem Jahre 1941 eingegangen zu sein), dass die Schilderungen Montherlants