Gurs

4000 euros). Après une longue route semée de dangers et un passage par Marseille[4], ils retrouvent leurs grands frères à Menton. Quatre mois plus tard, leurs parents sont arrêtés à Pau, internés au stade de la ville (qui était rattaché au camp de Gurs[5]) puis libérés grâce à l'intervention d'Henri. Les quatre frères rejoignent ensuite leurs parents arrivés à Nice. Ils rentrent à l'école en septembre 1942 à Nice où ils passent toute une année scolaire (ils suivent l'avancée des alliés qui débarquent

catégorie. Les lois anti-juives : 01/07/1940 : Les allemands décident l'expulsion des juifs d'Alsace vers la zone libre : 17 783 personnes seront transfères. Certain s'établissent dans des villes comme Limoges ou dans des camps comme celui de Gurs. 22/07/1940 : Une loi a était décrète a vichy sur la révision des naturalisation, La révision portera sur toute les acquisitions de nationalités française intervenues depuis la promulgation de la loi 10 aout 1927 sur la nationalités 900 000 juifs

les Brigades Internationales. Retient un mot de ce journaliste : « tout régime inique (injuste) doit être renversé par les prolétaires » En avril 1940, police fr intensifie ses recherches de juifs en France et son père est envoyé dans un camp fr à Gurs (camp intermédiaire avant Auschwitz). G et sa mère sont épargnés. A 15 ans, G comprend la future collaboration fr.A 17 ans, G quitte sa mère et s’engage dans la Résistance, c'est à dire quand les all arrivent sur Paris (14 juin 1940) Chap 9 : « Mise

depuis octobre 1940. À partir du 4 octobre 1940, les préfets peuvent interner les étrangers de « race juive » dans des camps spéciaux ou les assigner à résidence. En février 1941, 40 000 Juifs étrangers croupissent dans une série de camps : Les Milles, Gurs, Rivesaltes, etc... A partir de 1942, lorsque des pressions commencent à s'exercer pour pouvoir mettre en oeuvre la « solution finale », le gouvernement français sut toujours se montrer conciliant pour livrer aux Allemands des Juifs étrangers. . Au

jeunes Juifs vers la Palestine. Divorcée en 1937, elle se remarie le 16 janvier 1940 avec Heinrich Blücher un réfugié allemand, ancien spartakiste. En mai 1940, en raison de l'avancée éclair de la Wehrmacht en France, elle est internée au camp de Gurs (Basses-Pyrénées[2]) avec d'autres apatrides. Elle parvient à s'enfuir à Montauban, puis à gagner Marseille où elle obtient, grâce au Centre américain d'Urgence de Varian Fry, un visa pour le Portugal qu'elle rejoint en train. Elle vit alors quelque

philosophie, théologie et philologie classique où elle est l'élève d'Heidegger, Husserl et Jaspers. Participante de l’accueil des refugiés fuyant le nazisme lors de son arrivée en France en 1933, Hannah Arendt sera alors internée 7 ans après au camp de Gurs avec d’autres apatrides. Elle s’échappera du camp et parviendra à obtenir un visa pour le Portugal, ce qui lui permettra de fuir les lois anti-juives et de rejoindre les Etats Unis en mai 1941. Installée à New York et devant gagner sa vie, elle envisage

ainsi démis de leurs fonctions 2 669 fonctionnaires. Le réseau des camps spéciaux, ou « camps de la honte », lui, s’étendit et se peupla rapidement : en février 1941, il y avait à peu près 50 000 internés dont 40 000 juifs dans des camps tel celui de Gurs dans les Basses Pyrénées, ou le camp Le Vernet en Ariège. Les victimes étaient sous alimentation chronique, dans un état sanitaire déplorable, soumis à une véritable promiscuité. Ces mesures sont présentées par le gouvernement comme faisant

Les décrets de Novembre 1938 seront quant à eux beaucoup plus répressifs. Des camps seront créés afin d’y placer les étrangers « indésirables » n’ayant pas pu être renvoyés dans leurs pays. Les plus célèbres sont ceux d’Argelès, de Saint-Cyprien, de Gurs ou encore de Le Vernet. Leurs conditions de vie y seront celles de détenus (surpeuplement, manque d’hygiène et de nourriture, épidémies…). Ces conditions terribles sont décrites par l’écrivain Arthur Koestler, dans son ouvrage paru en 1941 « Scrum

toute personne "issue de trois grands-parents de race juive ou de deux grands-parents de la même race si le conjoint est lui-même juif". 4 octobre : Les préfets en France sont autorisés à interner les juifs étrangers dans des camps spéciaux (Les Miles, Gurs, Argelès) ou à les assigner à résidence. Recensement des juifs en zone occupée et début de la spoliation de leurs biens. 16 novembre : Création du ghetto de Varsovie. 1941 1er février : Début du transfert des juifs polonais vers le ghetto de Varsovie

police et par la gendarmerie françaises, lesquelles travaillaient en collaboration étroite avec la Gestapo et les unités de la Feldgendarmerie allemandes. Il les a ensuite concentrés dans des camps tels ceux de Drancy, Pithiviers, Beaune-la Rolande, Gurs, Rivesaltes, Argelès, Saïda, etc. Enfin, il a livré, ou facilité l'arrestation par les Allemands de 75 000 juifs de France (24 000 français et 51 000 étrangers et dénaturalisés) qui, hommes, femmes et enfants de tous âges, ont ensuite été déportés