Habermas Opinion Publique

plus persuasif possible. Pour Perelman, philosophe du droit américain, le procès est une joute d’opinion, il s’agit de convaincre l’adversaire et le juge. Le procès demande donc un art de la persusasion. 3ème temps : il faut dépasser ses opinions pour trouver une solution qui soit la plus juste possible. Il faut conclure la discussion. Dans le cadre d’un procès, ce rôle incombe au juge qui est chargé de trancher le litige et de dire le droit (Juris Dictio) On entend habituellement que le

moyennes en Bretagne. Etat des lieux, stratégies et enjeux. Lynda Agram de Saint-Jores Sandra André Laure Brulais Vincent Diard Janvier 2005 – 3ème semestre Remerciements à Karine Norris, chargée de la communication et des relations publiques pour l’association Quai des Bulles (Saint-Malo) à Frédérique Gicquel, directrice de la communication de la ville de Saint-Brieuc à Frédéric Paule, directeur de l’Office de tourisme de la baie de Saint-Brieuc, CABRI (Communauté d’Agglomération deSaint-Brieuc)

l'assassinat de Giacomo Matteotti le 10 juin 1924 qui va déboucher sur la déclaration de la dictature et la promulgation des lois fascistissimes en 1926. À l'origine, sans réelle idéologie, le fascisme est influencé par les lectures de Mussolini et des opinions politiques de son père[14]. Ainsi intègre-t-il une version remaniée de concepts tels que l'obéissance entière à l'État d'Hegel, le darwinisme social de Joseph Arthur de Gobineau, la vénération du héros de Friedrich Nietzsche et la violence de Georges

lui, les rapports entre systèmes juridiques, qu'il s'agisse des rapports entre le droit étatique et le droit international(5), ou les rapports entre le droit étatique, d'une part, et les ordres juridiques corporatifs(6) ou ceux des collectivités publiques décentralisées(7), d'autre part. B. Difficultés originaires Il y a plus de dix ans, nous avons eu l'occasion de faire le point sur les difficultés que suscitait déjà la conception pyramidale de la structure du système juridique(8). 4. 5. 6

d‟objectifs et de valeurs pour notre société... ils ne doivent pas mépriser les valeurs socialement acceptées et placer leurs propres valeurs au dessus de celles de la société. Des synonymes de la responsabilité sociale sont : « la responsabilité publique, les obligations sociales, la morale d‟entreprise ». Le terme doctrine de la responsabilité sociale renvoie à l‟idée …selon laquelle la prise en compte volontaire d‟une responsabilité sociale de l‟homme d‟affaires est…un moyen opérationnel pour résoudre

ailleurs, car ceux qui l‟utilisent ne le font ni pour les mêmes raisons, ni en vertu des mêmes principes. Les premiers à utiliser ce terme dans un cadre universitaire sont Berle et Means1 (1930) dans une première approche pragmatique des politiques publiques et du fonctionnement des entreprises. Ces deux auteurs mettent en lumière, avec l‟apparition de la firme managériale, la fin de la légitimité des actionnaires à être les seuls créanciers résiduels, et le début d‟une démarche partenariale au sein

implique en conséquence le rejet de la pensée unique, le rejet de la censure, de l’endoctrinement sur une vérité officielle qui serait seule valable. Le libéralisme appelle au contraire au respect du pluralisme des idées, c'est-à-dire l’idée que les opinions peuvent être contraires, divergentes. C’est ça qui nourrit la liberté et qui donne le choix aux citoyens. Le libéralisme débouche sur le libéralisme politique. Au moment où on désigne les gouvernants, les citoyens doivent disposer de plusieurs possibilités

théorie de l’égalité des chances formulée par Rawls me semblait, quant à elle, un point de départ intéressant ; étant mobilisée par les chercheurs cités ci-dessus et en plus, de façon croissante, par le pouvoir public (surtout après la reconnaissance publique des discriminations et la montée de la thématique de la diversité), elle me semblait cependant insuffisante pour penser la question « raciale » de manière adaptée. Selon cette théorie les discriminations sont illégitimes car elles portent atteinte

droits et libertés sans parler de Jean Ribéro qui est le premier a avoir dispensé un cour de droits et libertés avant de mettre en forme ce cour dans un manuel de libertés publiques (1973). En 1962, ce cours devient obligatoire dans les facultés de droit ; en 1993 l’intitulé du cours change ce n’est plus « libertés publiques ». Une raison historique : à cette époque les horreurs de la guerre sont encore présentes dans les esprits on veut donc sensibiliser les jeunes juristes à la protection des

visages. Le premier se manifeste bien sûr dans les décisions concrètes qui tranchent un conflit d'intérêts sinon ouvert, du moins visible. Le second renvoie à la capacité détenue par des individus ou des groupes d'établir des barrières à l'émergence publique du conflit ou de certains types de solutions. Dans cette hypothèse, le pouvoir s'inscrit paradoxalement dans un processus de non-décision, en l'absence de conflit ouvert. Les auteurs écrivent ainsi: « Le pouvoir (de A sur B) s'exerce également lorsque