Habit de lumières

du linceul, à l'éclat métallique de la lame du glaive et au bleu dur de la tunique. Cléopâtre est au second plan du tableau. Elle occupe la place centrale. Elle est représentée, la tête inclinée, tenant dans sa main droite la vipère mortelle. Ses habits, qui correspondent à son rang, sont de pourpre et d'or. Ils mettent en valeur la beauté du son buste. Ses yeux sont mi-clos. Cléopâtre semble glisser dans la mort avec une retenue propre aux êtres d'exceptions. Auprès d'elle deux suivantes. Faut-il

Avant que le feu ne fût une trouvaille, l’être humain vivait de façon qu’on peut qualifier (**les leur***) d’animal, seule la lumière du jour les éclairait ce qui peut expliquer leur type de vie nomade c’est ou qu’on aperçoit l’auteur Roy Lewis, portera l’importance du feu dans ce roman. Ce roman d’aventure préhistorique intitulé Pourquoi j’ai mangé mon père. Nous allons parler des quatre différentes conséquences que le feu peut causer : deux d’ordre positif et deux autres d’ordre négatif. D’abord

décalage important par rapport à l’état horrible ou il se trouve. Voltaire présente l’esclave ainsi : d’abord étendu, ensuite la moitié de son habit, puis il lui manque la jambe gauche et la main droite. Voltaire invite le lecteur à rétablir l’ordre logique, c’est parce que qu’il lui manque une jambe qu’il est étendu et qu’il n’a que la moitié de son habit. Cette description a donc une dimension ironique, on peut avoir l’impression qu’il se repose mais on comprend par la suite qu’il est mutilé et

Vie Française. Il y a également les focalisations qui permettent au lecteur de s’identifier à Duroy, comme nous pouvons le voir dans l’extrait des pages 41-42 : La porte s'ouvrit presque aussitôt, et il se trouva en présence d'un valet en habit noir, grave, rasé, si parfait de tenue que Duroy se troubla de nouveau sans comprendre d'où lui venait cette vague émotion : d'une inconsciente comparaison, peut-être, entre la coupe de leurs vêtements. Ce laquais, qui avait des souliers vernis, demanda

Traité sur la Tolérance Oeuvre écrite par Voltaire en 1763. Introduction *Mouvement littéraire : l'esprit et les idéaux des Lumières. *Voltaire = archétype de l'intellectuel des Lumières *Source : Prière à Dieu, chapitre 23 *Sujet : Le traité sur la tolérance est un plaidoyer pour la tolérance. Cet extrait se présente sous la forme d'une prière et initialement conçu pour venir en aide à Jean Calas, victime d'une erreur judiciaire. Par la suite, cet ouvrage devient plus universel, aidant ainsi

s’agit pas non plus, d’introspection, où la nuit est lumière et éclaire la carrière où nous pouvons tailler notre pierre. Il s’agit de l’ennui qui installe en nous le sentiment de peur, nous dépossédant de toute rationalité, de toute objectivité. C’est le noir du pavé mosaïque. C’est la nuit du point de rupture, qui vient nous saisir au détour d’un chemin. Rupture, faite de perte en tout genre, qui nous impose une autre voie, par un rai de lumière qui n’est autre que l’envie. Envie, envie, en-vie

lieu de rencontre entre ces deux mondes. 1er plan - couple de bourgeois élégamment habillés à la mode des années 1880. - Femme tient singe en laisse, symbole de luxure. - A gauche, ouvrier, on la reconnaît par la simplicité de son habit, allongé dans l’herbe et fume une pipe. Il semble pensif. - A côté de lui sont assis un bourgeois et une femme en train de broder. Matériel à côté d’elle. - 2 chiens représentant deux classes différentes : petit chien ; bourgeoisie, chien noir

L’Amour, une lumière intérieure 1 Du passé faut-il faire table rase ? Nous avons hérité du passé des concepts et des notions souvent floues : l’esprit, l’âme, la conscience, le temps, l’espace, l’amour. Tous ces repères aujourd’hui ne fonctionnent plus de manière satisfaisant, il faut en trouver d’autres mieux à même de rendre compte de ce que nous savons – ou croyons savoir -, et capables aussi de mettre en lumière par exemple des expériences de NDE appelés EMI en français. Des personnes

le Noir (1830) Le Rouge et le Noir, roman de l’ambition et de l’énergie, retracent le parcours de Julien Sorel, héros en rupture avec son milieu modeste. Le titre annonce son ascension, et sa chute : la formation au séminaire (habit noir), la carrière militaire (habit rouge) et la mort violente sur l’échafaud. Le lecteur le découvre ici pour la première fois. En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor¹ ; personne ne répondit. Il ne vit que ses fils aînés, espèces

pratiquement perdu dans un monde "confus" et "indistinct". Il raconte sa "naissance", due à l’électricité (" la forte lumière"). Juste après cet évènement, il quitta l’appartement de Victor. Ce départ provoque un changement d’émotions chez lui : avant, le "noir", "l’opacité" la mort l’encerclaient. Même s’il se sentit libéré, il eut rapidement un problème majeur : il ne pouvait supporter la lumière, et dut chercher un endroit ombragé. Pour lui, il était un bougre, tout comme le nomme Victor. Nous pouvons noter