Hache de guerre

Epée à deux mains : Une épée à deux mains. Blutter : Une épée à deux mains, le genre de cure-dents qui me plaît ! Fléau d’armes : Un fléau d’armes. Fronde : Une fronde. Hache : Une hache à deux mains. Blutter : Une hache à deux mains, une de mes armes préférées ! Hallebarde : Une hallebarde. Marteau de guerre : Un marteau de guerre. Masse d’armes : Une masse d’armes. Massue : Une massue. Massue du roi des gobelins : Une massue gobeline remarquablement faite : légère, équilibrée et douloureuse ! Pique

doit être la hache qui brise la mer gelée en nous » Comment expliquez-vous cette conception de la lecture et de l’œuvre littéraire ? Introduction : La lecture est une activité de compréhension d’informations écrites. Et d’après Kafka, lire, doit en plus donner « un coup de poing sur le crâne » du lecteur. Doit-on lire seulement dans le but de subir une violente fracture, et par conséquent ne doit-on lire que des livres percutants ? Le livre est-il une arme de persuasion, une « hache » de remise

1870, Rimbaud est confronté aux horreurs de la guerre franco-prussienne. Dans « Le Mal », il dénonce la guerre sur un ton virulent, la présentant comme une boucherie de masse absurde. : « Tandis qu’une folie épouvantable broie/ Et fait de cent milliers d’hommes un tas fumant ». D’autre part, il est révolté par l’indifférence de Dieu face aux malheurs des hommes : « Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées ». Boris Vian milite contre la guerre, surtout celle dont les décideurs tirent profit

____première idée de force, de violence dans la description. - De la guerre : « combat », « conflit »...v.16 à 20 : « réchauffés », « rallume », « redouble » → le préfixe annonce le renouveauv.20 : idée de morbidev.22 + v.23 + v.31-32 → images choc v.31 à 34 : « ensanglanté », « sanglante », « sang » → la dérivation sur le mot « sang » (même racine) donne une impression d'abondance. ► Le rythme : les nombreuses virgules donnent un rythme haché (v.5).v.3-4 : rejetv.5-6 : contre-rejet (« le partage » est

Les grands symboles | Description | Historique | Le faisceau du licteur | La partie centrale du motif représente des faisceaux constitués par l'assemblage de branches longues et fines liées autour d'une hache par des lanières. Les faisceaux sont recouverts d'un bouclier sur lequel sont gravées les initiales RF (République française). Des branches de chêne et d'olivier entourent le motif. Le chêne symbolise la justice, l'olivier la paix. Le faisceau de licteur est un emblème très

(1552-1630) est un écrivain baroque français mais aussi un homme de guerre. Il nait dans une famille protestante, son père sera tué lors d’une confrontation entre catholique et protestants. Il en restera profondément touché et rentra chez les extrémistes protestants, il participera à la Saint Barthélémy en 1572 et s’en fuira en Suisse en 1620. Agrippa d’Aubigné est l’auteur des Tragiques (1616), un ouvrage décrivant les guerres de religion en France à travers des personnages bibliques : Esaü et

épique apparaît. Le champs lexical de la guerre « un millier ;vengeance ; bâtons ; deux mille ; une masse compacte ; un seul bloc ; uniformité ; hache ; couperet » est présent par le nombre, l'unité, la solidarité faisant référence à une armée et ses soldats ainsi que la présence des armes ; le registre épique est également existant. Le héros épique se distingue grâce à un discours violent avec des gradations, un superlatif, le lexique de la guerre ; mais aussi avec un discours fantastique

naissance d’Athéna, ayant donné un coup de hache sur le crâne de Zeus, à la demande de ce dernier qui souffrait de terribles mots de tête. Héphaïstos est également le créateur de Pandore, première femme envoyée par Zeus sur la terre pour punir les hommes. 2.2/ Les amours du dieu boiteux Sur l’Olympe, Héphaïstos devient l’époux d’Aphrodite, déesse de l’Amour. Cependant, celle-ci le trompe souvent. Elle est notamment l’amante d’Arès, le terrible dieu de la Guerre. Mais Héphaïstos est un jour averti par

avait la figure et le corps peints avec le suc d'une plante qui fournissait aux chefs et aux guerriers ce que les Indiens d'aujourd'hui appellent encore leur peinture de guerre. Il était donc de la tête aux pieds d'un beau bleu d'azur et la famille de l'armurier le contemplait avec admiration et respect. Il avait commandé une hache de silex, la plus lourde et la plus tranchante qui eût été jamais fabriquée depuis l'âge du renne, et cette arme formidable lui fut livrée, moyennant le prix de deux peaux

-Au début, le cortège est décrit de façon objective comme s’il s’agissait d’un documentaire : « Les femmes avaient paru […], les hommes […] ».- Mais, au fur et à mesure, le tableau reflète le regard de l’auteur, puis celui, très subjectif, de ses « vrais » spectateurs : les bourgeois cachés derrière la porte d’une grange, implicitement désignés par le pronom impersonnel « on » (« on ne distinguait que… », « on voyait seulement… ») ; les termes péjoratifs qui qualifient les mineurs révèlent leur