Haïku

ARTHUR RIMBAUD (1854­1891) RAINER MARIA RILKE (1875­1926) G. APOLLINAIRE (1880­1918) JULES SUPERVIELLE (1884­1960) ANTONIN ARTAUD (1896­1948) LOUIS ARAGON (1897­1982) JIM MORRISON (1943­1971) PLUS DE POÉSIE POÈTES DU 19ÈME SIÈCLE POÈTES DU 20ÈME SIÈCLE LES MAÎTRES DU HAIKUS HAÏKUS DU JAPON http://www.eternels­eclairs.fr/biographie­charles­baudelaire.php Charles Baudelaire : Poète français, né à Paris le 9 avril 1821, et mort dans la même ville le 31 août 1867. Fils d'un peintre amateur attaché à l'administration du  Sénat

de octosílabos en consonante. Terceto: Tres versos de arte mayor que generalmente van encadenados (ABA BCB CDC…), aunque hay casos en que no. Tercetillo o tercerilla: Ídem anterior pero de arte menor. Soleá: Ídem anterior pero con rima en asonante. Haiku: Estrofa de origen japonés formada por tres versos de 5 -7 -5; los impares pueden rimar en asonante. Cuarteto: Cuatro versos de arte mayor con rima consonante ABBA. Redondilla: Ídem anterior de arte menor (abba). Serventesio: Cuatro versos de arte

paysage, portrait, nature morte, dessins figuratifs ou non figuratifs… majorité des poèmes explorent une forme condensée parfois minimale « l’attente » « Je n’ai jamais tenu sa tête dans mes mains » épure, explore le vers unique + influence du « haïku » japonais « Narcisse » « Masque de poix / n’être que soi/ Guide égaré » + explore le poème en prose « les amis » 3. Liberté de lecture Liberté de lecture : contrainte de lecture liée à l’association dessin poème (influences réciproques de l’un sur

were published. In addition, his novella Rite of Passage was published in 1994 for the first time. In the last years of his life, Richard Wright became enamored with the Japanese poetry form haiku and he wrote over 4,000. In 1998 a book was published ("Haiku: This Other World" ISBN 0-385-72024-6) with 817 haiku which he preferred. A collection of Wright's travel writings, edited by Virginia Whatley Smith, was published by the Mississippi University Press in 2001. At his death, Wright left an unfinished

leurs syllabes comme l’alexandrin français, alors que la poésie scandée joue sur la longueur des pieds (et sur leur nombre) comme dans l’hexamètre dactylique grec et latin, ou sur la place des accents comme dans le pentamètre iambique anglais. Le haïku (ou haïkou) japonais, qui a acquis une diffusion internationale, fait traditionnellement appel à trois vers de cinq, sept et cinq syllabes. Les poètes modernes se libèrent peu à peu de ces règles : par exemple les poètes français introduisent dans

leurs syllabes comme l’alexandrin français, alors que la poésie scandée joue sur la longueur des pieds (et sur leur nombre) comme dans l’hexamètre dactylique grec et latin, ou sur la place des accents comme dans le pentamètre iambique anglais. Le haïku (ou haïkou) japonais, qui a acquis une diffusion internationale, fait traditionnellement appel à trois vers de cinq, sept et cinq syllabes. Les poètes modernes se libèrent peu à peu de ces règles : par exemple les poètes français introduisent dans

de la langue française, dont est extrait le poème que vous rencontrerez plus tard. Il faut savoir que nous avons mis un point d’honneur concernant la diversité des formes poétiques présentes dans cette anthologie : là réside tout l’intérêt du haïku de Paul Claudel, le sonnet de Du Bellay, la prose de Baudelaire... et la chanson de AqME. Cependant, trop d’originalité tuant l’originalité, Samain, Toulet et Auvray viennent contrebalancer cela par leurs formes plus classiques, mais pas moins attrayantes

qualité d'une écriture dont la beauté ne doit certainement rien au hasard, sans le moindre effet de manche, sans un mot inutile. Nicolas Bouvier capture ici avec une économie de moyen et une légéreté de touche que ne désavoueraient pas les maîtres du haïku bien plus qu'une île et ses paysages: l'essence d'une expérience humaine. Extrait: "On ne voyage pas pour se garnir d'exotisme et d'anecdotes comme un sapin de Noël, mais pour que la route vous plume, vous rince, vous essore,

certains des quelques mots qui constituent ces équilibres poétiques agissent comme des fauteurs de troubles dans le programme algorithmique basé sur un principe de mots-clefs associés à des formes. Lorsque ces dernières rencontrent le mot dans un haiku, les dissensions apparaissent avec autant de discordances sonores. Puis le paysage reprend dans son lent travelling latéral, en perpétuelle mutation. L’onirisme ravageur est en marche sans entretenir aucune mièvrerie, conscient de l’incertitude de

Blacks, tout commencera par un poème. Un poème gestuel qu’on attend dans un frisson, qui donne à cette confrontation sa dimension rituelle. C’est le haka qui fait penser au «waka», cette forme poétique japonaise qui a donné naissance aux fameux haïkus. Celui des All Blacks fut écrit par le chef maori Te Rauparaha en hommage à un autre chef, Te Wharerangi (connu pour sa pilosité abondante), qui l’aida à échapper à une tribu ennemie lancée à ses trousses et le sauva d’une mort certaine. Voici