Haine et Passion

Poésies II). De caractère plutôt renfermé, il se montre brillant élève, surtout en mathématiques et en sciences. Il arrive en France dans les années 50 du XIXème siècle où il poursuivra ses études et découvrira la littérature pour laquelle il se passionne. Installé près de la Bourse, Isidore s'enferme dans sa chambre et passe ses nuits à écrire. En août 1868, il fait paraître à compte d'auteur et sous anonymat, le premier 'Chant de Maldoror', qui passe totalement inaperçu. Dans l'année, il achève

source du drame qui va se jouer. Comme l’écrivait justement Gide dans son Journal, cette pièce réside dans le conflit qui tourmente l’épouse de Thésée, "théâtre et victime d’une tragédie interne." • Phèdre est un personnage tragique • Un personnage passionné • Une femme divisée • Conclusion Phèdre est un personnage tragique Une ascendance divine Phèdre a de nobles origines, elle est "fille de Minos et de Pasiphaé". Par sa mère elle remonte au soleil ; par son père, elle est rattachée aux mondes

personne que l’on trompe sans qu’elle en ait le moindre soupçon. On comprend donc que M. de la Rochefoucauld affirme que les sentiments trompent l’esprit. Autrement dit, le cœur corrompt notre esprit et hypnotise notre raison. Quand on aime avec passion, on change de manière de penser. Le cœur peut nous pousser à faire des gestes ou des choses auxquels on ne réfléchit même pas, des choses qui nous plaisent ou non, mais qu’on ne remarque que plus tard. On peut dire que la raison est manipulée. Cela

parue en 1677, une pièce nous montrant que la passion peut être destructrice. L'extrait qui nous est proposé est tiré de la scène trois de l'acte premier de Phèdre. C'est un monologue du personnage principal portant le nom de la pièce. Les tragédies classiques sont des textes, quelque fois comme Phèdre, écrits en alexandrins, visant à faisant passer implicitement une morale au spectateur. Le dénouement y est souvent dramatique et lié à une passion inconditionnelle éprouvée par l'un des personnages

les fait renouer avec l’ordre de la foi et l’ordre de la société féodale. Les amants soumis à une « geish », le philtre, lien sacré et contraignant qui les engage l’un à l’autre, dans la relecture chrétienne deviennent des pécheurs soumis à une passion coupable, seul le philtre, son effet limité dans le temps, garde la trace de l’origine traditionnelle et païenne du motif. Un autre élément trace du récit apparaît significativement comme indice du substrat caché du palimpseste. Le nain Frocin révèle

partie narrative qui va jusqu'au titre de l'œuvre que julien lit. Elle raconte comment le père attire l'attention de son fils. Et une deuxième partie descriptive. Le portrait lui-même est préparé dans la première partie, ou on apprend que c'est un passionné de lecture, qu’il est rêveur et qu'il subit la violence de son père et qu'il n'est pas intéressé par le travail à la scierie. Julien quitte sa position en hauteur, ce déplacement va permettre au narrateur de faire son portrait physique. Une phrase

mère le définit comme « un fils ingrat et rebelle ». Il est très proche de son frère et excédé du comportement de se mère. Cléoptare: reine de Syrie, a fait assassiner son mari Démétrius. Elle apparaît comme une mère cruelles et aveuglée pas la haine, jalouse, impitoyable et manipulatrice. Elle est avide de pouvoir, c'est une femme dépourvue d'instinct maternel . Sa violence est source de cruauté envers ses fils qui ne sont pour elle que des instruments. Elle va perpétrer le meurtre de son propre

outre, chacun désire vivre, autant que faire se peut, en sécurité et à l’abri de la crainte ; ce qui pourtant ne peut guère avoir lieu tant que chacun aura loisir de tout faire à son gré et qu’on ne concédera pas à la raison davantage de droit qu’à la haine et à la colère. Car nul ne peut vivre sans angoisse au milieu des inimitiés, des haines, de la colère et des ruses, et sans s‘efforcer de les éviter autant qu’il peut. Si nous considérons également que, sans un secours mutuel, les hommes vivraient

l'Ecole Normale Supérieure en littérature (où il est reçu). Il obtient par la même occasion un prix d'excellence en khâgne, et un prix de version grecque au concours général de 1902. Après son service militaire, Giraudoux rejoint l'ENS où il se passionne pour la culture allemande. Par la suite, il étudie à l'université de Munich et devient précepteur pendant l'été 1905, pour le compte du prince de Saxe et de Paul Morand . Giraudoux voyage en Serbie, en Autriche-Hongrie et en Italie. Puis il refait

n'est pas le moi fusionnel, ce que j'ai en commun c'est un nous, condition de la communauté humaine. Tolérance comme condition de la cohabitation . Faut-il craindre le regard de l'autre ? Il peut y avoir plusieurs sortes de jugement, jalousie, amour haine … On est tous l'autre de quelqu'un, l'autre d'un groupe est le bouc émissaire. Le regard de l'autre est handicapant, c'est un jugement de valeur. Le regard des autres peut nous aliéner. Vision des Stoïciens : Ils prétendent être indifférent au regard