Hamilton Le Fédéralisme

pas en cause l'unité politique de l'Etat. 2) Federalisme et l'Etat Federal. Le federalisme est une idée extremement ancienne qui precede meme l'etat unitaire. On considere que dans l'antiquité greque les entités politiques ont deja mis en oeuvre l'idée federal. L'idée federal va reprendre vigueur au 18eme s. et va donner naissance à la constitution federal. Premiere const° federal moderne cest la const° des USA adopté en 1787. le federalisme s'est developpé pck on estime qu'environ un quart

le port d'arme peut se présenter devant le juge. Droit C°el n'est pas respecté. En France, il sagit de droit subjectif. Le législateur intervient pr concrétiser le droit. Au EU l'on se méfie du législateur. Un des rédacteurs de la C° des EU: Hamilton: « une C° est et doit être considérer par les Juges comme une loi fondamentale... Et lorsque la volonté législative se trouve en opposition avec celle du peuple déclaré dans la C°, les juges doivent régler leurs décisions sur les lois fondamentales

permettant les pouvoirs de ce limiter entre eux.(B) A : Une indépendance des pouvoirs caractéristique du modèle politique américain   Dans l'article 78 des « Federalist Papers », l'un des auteurs de la Constitution des États-Unis, Alexandre Hamilton, défend le rôle du pouvoir judiciaire dans la structure constitutionnelle. Il y soutient qu'« il n'y a point de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice (...) La liberté n'a rien à craindre

& Licence 1 Sc. Po. - Amphi B Documents de travaux dirigés - 1er semestre Fiche n° 10. Distribution Semaine du 21 novembre Séance semaine du 28 novembre ÉTAT UNITAIRE ET ÉTAT FÉDÉRAL Document 1 : A. Hamilton, Le Fédéraliste, 1787-1788, in A. Hamilton, J. Jay, J. Madison, Le Fédéraliste [The Federalist Papers, 1787-1788], traduction G. Jèze, LGDJ, 1957 Document 2 : Louis Le Fur (1870-1943), État fédéral et confédération d’États [1896], LGDJ - Éditions Panthéon-Assas, 2000

Etats-Unis d’Amérique du 17 septembre 1787 (extraits) 1 B- Avantages et limites de l’Etat fédéral Document 7. G. WASHINGTON, Résolution de la Convention du 17 septembre 1787, in HAMILTON (A.), JAY (J.), MADISON (J.), Le Fédéraliste, trad. JEZE (G), Paris, Economica, 1988, pp. 765-766. Document 8. F. CREPEAU, « Le fédéralisme, outil de gestion de la complexité canadienne », (extraits) R.Q.D.I., Hors série 2007, pp. 269 et s. Document 9. F. DELPEREE, « Belgique, la double crise », (extraits) RDP 01/11/2008

fédération en 1787 sont en effet la première « nation » moderne à avoir réussi ce qui faisait figure de quadrature du cercle politique jusqu’au XVIIIe siècle : la conjugaison de la souveraineté du peuple et du gouvernement représentatif grâce au fédéralisme notamment. Tocqueville explique ainsi cette exception américaine dans la Démocratie en Amérique : « L’Etat social des Américains est éminemment démocratique. Il a eu ce caractère dès la naissance des colonies ; il l’a plus encore de nos jours »[2]

Si ce modèle a été institué par les pères fondateurs de la Constitution des Etats-Unis et s’il perdure, c’est bien qu’il résulte de son application un certain nombre de bénéfices et d’avantages. Ainsi le premier trésorier des Etats-Unis, Alexander Hamilton, qualifier ce mode d’élection de « sinon parfait, au moins excellent ». En effet, le principe des grands électeurs devait être garant de la qualité de discernement des individus ainsi désignés, ce qui garantissait par effet de causalité la qualité

ces pouvoirs. TOCQUEVILLE pense que les collectivités locales sont un moyen important pour lutter contre l'abus de pouvoir (en réponse à l'Ancien Régime français). Depuis très longtemps les pouvoirs locaux ont sus faire barrage au pouvoir central. HAMILTON, aux Etats-Unis a su mieux que tout autre défendre cette thèse fondamentale. Il nous dit : " Le pouvoir étant presque toujours le rival du pouvoir, le gouvernement général sera toujours prêt à repousser les usurpations des gouvernements des Etats

par Louis Balthazar La constitution par Edmond Orban Le fédéralisme par Louis Massicotte et François Vaillancourt Le Congrès par Harold M. Waller et Jean-François Godbout La présidence par Guy-Antoine Lafleur et Félix Grenier La Cour suprême par Jean-François Gaudreault-Desbiens A lors que le monde se relève à peine d’une crise économique d’une ampleur sans précédent depuis la Grande Dépression et alors que le leadership de la plus grande superpuissance militaire et

Clinton, sortant en même temps président du Sénat) a dû présider lui-même la séance du Sénat au cours de laquelle il a proclamé les résultats de l’élection de novembre 2000.Les pères fondateurs de la nouvelle nation, (Thomas Jefferson, Alexander Hamilton, James Maduson et Georges Washington) visaient à instaurer un collège de notables éclairés, désintéressés et surtout parfaitement indépendants des partis. Les Américains et les élections Pour les Américains, démocratie est synonyme d’élection