Hans-Rudolf Merz

Hans-Rudolf Merz En publique c’est un homme franc, direct et attachant même. Mais au fond c’est un homme qui n’a pas vraiment l’habitude d’être proche du peuple et qu’on le définie souvent de « gamin malicieux rendu maladroit par le sérieux ». Et sans cesse se pose cette question : est-il un vrai candide ou un faux naïf cachant bien son jeu ? Ou encore, sur le plan politique, comment a-t-il pu être élu sans jamais vraiment être sur le devant de la scène ? Une fois, au conseil des Etats en 1997

Serge Sargsian, confère au chanteur français la citoyenneté arménienne6. En février 2009, il accepte le poste d'ambassadeur d'Arménie en Suisse qui lui a été proposé par le président arménien. Le 30 juin 2009, il présente ses lettres de créance à Hans-Rudolf Merz, le président de la Confédération helvétique7. Charles Aznavour est également le représentant permanent de l'Arménie auprès de l'ONU à Genève[réf. nécessaire]. Le 26 juin 2009, il présente ses lettres de créance à Sergueï Ordjonikidze, le directeur

L’évolution des finances fédérales depuis l’entrée en vigueur de ces dispositions en 2003 prouve que le Conseil fédéral et le Parlement prennent ce mandat très au sérieux. La dette fédérale a diminué de quelque 20 milliards de francs depuis 2005. Hans-Rudolf Merz, conseiller fédéral Principaux éléments Les points essentiels du frein à l’endettement figurent à l’article 126 de la Constitution: Principe La Confédération équilibre à terme ses dépenses et ses recettes. Règle des dépenses Le plafond des

possibilité d’une « TVA idéale » dans le monde réel. Voir à ce sujet le Message du Conseil fédéral concernant le financement additionnel de l’assuranceinvalidité, Département fédéral de l’intérieur, 22 juin 2005. 2 Communication du conseiller fédéral Hans-Rudolf Merz à l’occasion de la mise en consultation d’un avant-projet de simplification de la TVA, 15 février 2007. 3 « Simplification de la loi régissant la taxe sur la valeur ajoutée : avant-projet du Conseil fédéral destiné à la consultation, rapport

développement ne doit pas se faire au détriment d'autres pays ou institutions globales comme les Nations-Unies », selon Hans-Rudolf Merz. •  Le président a ajouté : «Le G-20 manque de légitimité et ne dispose pas de procédures transparentes pour décider de sanctions. Les membres du G-20 eux-mêmes ne sont pas soumis au même type d'examen ». •  A propos de la crise actuelle, Hans-Rudolf Merz n'a pas contesté les besoins de réforme, mais a mis en garde contre la tentation de remettre en cause l'économie

| | |Gouvernement suisse : Conseil Fédéral composé de sept membres élus par le Parlement | | |Président : Hans-Rudolf Merz | | |Vice-président : Doris Leuthard | |

douane, les stations d’essence et garages. Si on n’a pas cette vignette, on peut êtres puni d’une amande de 100 CHF donc 75.80 euros. Les langues [pic] Données politiques Type de régime : Etat fédéral. Président de la confédération : Hans Rudolf Merz pour 2009. Dates des dernières élections du conseil fédéral : 10 décembre 2008, 16 septembre 2009 (Remplacement de M. Couchepin par M. Burkhalter) Durée du mandat de conseillé fédéral : 4 ans. Données économiques |Indicateurs

clients de la banque, accusés d’avoir massivement recouru à des sociétés-écrans pour contourner le fisc. Le 1er juillet, devant la Commission de l’économie et des redevances du Conseil des Etats, le viceprésident de la Confédération, le radical Hans-Rudolf Merz, rassure sur UBS. Les élus l’interrogent un tantinet sur l’affaire Birkenfeld et en particulier, sur cette demande d’entraide venue des Etats-Unis. Stoïque, le chef des finances fédérales assène que «l’affaire entre la justice américaine et UBS

fédérale (deux chambres). Président du Conseil fédéral à la fois chef de l’État et chef du gouvernement. Chef d’État : Président Samuel Schmid (SVP) Les principaux ministres : Affaires étrangères : Micheline Calmy-Rey (SP) Finances : Hans-Rudolf Merz (FDP) Économie : Joseph Deiss (CVP) Principaux partis politiques  Parti socialiste (SP), Union démocratique du centre (SVP), Parti démocrate-chrétien (CVP), Parti Radical Démocratique (FDP), Parti écologiste (Grüne), Parti libéral (LPS)

parcourir la liste des présents. Les principaux États européens jugés non coopératifs par l'OCDE - l'Autriche, le Luxembourg et la Suisse -, qui avaient boudé le premier rendez-vous, seront présents. C'est l'occasion pour le président helvétique, Hans-Rudolf Merz, qui fait lui-même le déplacement, de rappeler que la Confédération tient ses engagements. La pression sur les paradis fiscaux est montée d'un cran avec la crise financière. Soucieux de «moraliser le capitalisme financier» mais aussi de mettre