Hans Scholl

Jusqu'à présent, la règle de droit à été définie vis-à-vis à son fond (contenu), mais il est aussi possible de retenir une définition formelle (de forme) qui ne s’attache qu’à la forme.  De manière générale, le courant normatif (de norme) représenté par Hans Kelsen, retient qu’une règle est valable lorsque son auteur a été habilité à l’édicter (la formuler).  C'est-à-dire qu’un organe peut créer une règle de droit valide lorsqu’une entité hiérarchiquement supérieure lui donne l’autorisation.  Ex : les

d’étudier la conception d’État légal selon Raymond Carré de Malberg (B). A) Le pilier de l’État de droit : La hiérarchie des normes - Les règles de droit de rang inférieur doivent respecter les règles de droit de rang supérieur. En effet, pour Hans Kelsen, la Constitution est au sommet de la pyramide des normes et toute loi est inférieure à celle-ci et doit lui obéir. - Mais à cette hiérarchie des normes, il existe aussi une hiérarchie politique. En effet chaque degré de la pyramide des normes

de Marianne, 1742. - Céline, extrait de Voyage au bout de la nuit, 1932. - Malraux, incipit de La condition humaine, 1933. - Kundera, incipit de L’immortalité, 1990. - Pinget, extrait de Clope au dossier, 1961. Etude d’image : Hans Baldung Grien, 1484-1545, Le chevalier, la jeune fille et la mort. Lecture personnelle : Camus, L’Etranger, 1942.

Sujet de dissertation : La légitimité du contrôle de constitutionnalité des lois. Introduction : La réforme des retraites a fait beaucoup de bruit ces derniers mois. Le gouvernement voulant avancer l’âge de départ à la retraite a émis une loi très lourdement contestée, les adversaires de cette réforme ont été jusqu'à demandé un contrôle de constitutionnalité qui a eu plus pour effet de retarder la ratification de cette loi que de la censurer. Il s’avère que la loi est conforme à la Constitution

suggérer l'inquiétude et l'angoisse et à créer une atmosphère qui rend la fiction suffisamment plausible pour qu'elle puisse prendre valeur de témoignage. Le Temps - Wilfred Schiltknech Ecrit et publié dans l'immédiat après-guerre, ce dernier roman de Hans Fallada (qui est mort en 1947, peu de temps après la sortie de Seul dans Berlin) fait frémir quant à sa force et à sa lucidité. Aucun héros ni coup d'éclat dans cette histoire d'autant plus oppressante que l'on sait qu'il n'y aura pas de rebondissement

d'être une norme rigide de façon à ce qu'elle ne puisse être amendées, telle une loi. A travers ces quelques phrases, un principe soutenu par un grand juriste Autrichien est remarquable celui de la "hiérarchie des normes". Voici comment, selon Monsieur Hans Kelsen, s'organiserait l'état de droit : Au sommet apparaîtrait la Constitution, puis les engagements internationaux, la loi et pour finir les règlements. Il explique, aussi, que le fondement de l’état de droit repose sur une hiérarchie des normes

je ne suis pas sur que ce soit le bon plan, désoler pour les fautes d'ortographes. Le contrôle de constitutionalité est un contrôle destiné à assurer la conformité des lois à la constitution rigide, c’est-à-dire, qui confère aux règles qui bénéficient d’une forme juridique qui les situent à la première place de la hiérarchie des règles de droit. Celle-ci se distingue de la constitution souple qui elle peut être aisément révisé. Ce contrôle est donc réservé aux pouvoirs publics ou encore ouvert

système constitué par le droit positif donné du pays que nous voulons considérer. Or, les partisans de ce courant de pensée considèrent que nous ne pouvons définir le Juste ou le Bien en soi, qu'il s'agit seulement d'idées vides ou métaphysiques. Ainsi Hans Kelsen (1881-1973) dans sa Théorie pur du droit (1934), parce qu'il veut fonder une « science du droit », réclame-t-il un statut autonome pour le droit à l'égard de la morale et de toute idée d'un droit idéal ou naturel. Un système juridique quelconque

administratifs individuels BLOC DE CONSTITUTIONNALITÉ • • • • BLOC DE CONVENTIONNALITE • • • • • • • • • • • • • BLOC DE LEGALITE REGLEMENTS AUTRES ACTES ADMINISTRATIFS Cette pyramide des normes est parfois appelée pyramide de Kelsen : Hans Kelsen était un juriste austroaméricain du début du XXème siècle (Prague 1881- Californie 1973) qui a systématisé un principe de classement des normes. Selon lui, "l’ordre juridique n’est pas un système de normes juridiques placées toutes au même rang

considère la vie comme une totalité dynamique et attribue aux phénomènes vivants des lois particulières, issues d’un principe vital. En s’inscrivant dans les vastes courants de pensée vitaliste et évolutionniste, la philosophie du vivant de Hans Jonas considère qu’il existe un finalisme en œuvre dans l’évolution du vivant. En effet, en analysant les modèles de connaissances sur le vivant qui ont émergé au XVIIe siècle, Jonas va rejeter les conceptions matérialistes et mécanistes du monde