Harmonie Du Soir Figures De Style

Genève ----------------------- [pic] [pic] [pic] [pic] La cathédrale St Pierre et son site archéologique  Sa construction, commencée vers 1160, se termina en 1232. A l'origine romane, ses voûtes furent par la suite prolongées dans le style gothique. Un fronton aux colonnes gréco-romaines et une coupole imités du Panthéon de Rome furent ajoutés aux XVIIIe siècle, à l'époque du renouveau de l'architecture antique. Depuis la Réforme, ce bâtiment majestueux est réservé au culte protestant

(1924-1994). Tahiya Carioca : (1915-1999) elle dansait sur des rythmes plutôt lents et son style sensuel et plus populaire que celui de Samia Gamal, s’est vu propulsé  par une riche carrière cinématographique, où elle a remarquablement su marier l’art de la danse à l’art dramatique. elle a tourné dans plus d’une centaine de films, a été nominée au festival de cannes en 1956. Naïma Akef (1929-1966) : un style basé sur la performance physique et la maîtrise totale du corps. Fifi Abdou : Danseuse

Français baccalauréat Méthode pour le bac : Etudier les différents procédés littéraires d’un texte • Enonciation (temps, lieu, personne,…) • Champs lexicaux • Figures de style • Registres littéraires • Genres littéraires • Ponctuation • Focalisation • Construction Les genres littéraires : • Le roman • La poésie • Le théâtre • L’autobiographie Les registres littéraires : • Le registre épique : le texte provoque chez le lecteur

plume et la mère constituent les véritables interlocutrices du narrateur. Le récit autobiographique, réflexif, est moins destiné à un quelconque lecteur qu’à la mère disparue et au narrateur lui-même, qui écrit pour se consoler (« se consoler, ce soir, avec des mots »). [pic] I. Le « je » autobiographique et ses interlocuteurs • 1) Solitude du narrateur Le texte commence par une sorte de vérité générale qui semble remettre en cause la légitimité de l’autobiographie : « Chaque homme est seul

don divin: le poète était inspiré par les Muses, filles de Mnémosyne et de Zeus, et celles-ci lui permettait de manier le langage de telle façon qu'il animait les mots d'une beauté qui leur conférait un pouvoir hors du commun. Pour les grecs, la figure du poète était incarnée par Orphée, personnage légendaire qui séduisait les Dieux, les hommes et même les animaux par la beauté de son chant, accompagné de sa lyre. La thèse de Platon était que le poète était habité par une présence divine, pensant

de nouveau dans sa Messe solennelle pour une pleine lune d'été. Entrelaçant une fois encore des relations difficiles, voire impossibles, le dramaturge met en lien, dans sa dernière pièce, des couples de « tu-seuls » en mal de vivre et d'aimer en un soir de pleine lune : une veuve, une mère et son fils, un père et sa fille, deux couples homosexuels hommes et femmes, ainsi qu'un jeune couple hétéro. La construction du texte et l'entrecroisement des répliques s'accordent, ici, au motif d'une messe catholique

extraordinaire leur permettant de vivre en parfaite harmonie avec la nature. Il en sera de même pour les textes de cette anthologie. Si les oiseaux sont capables de s’orienter, même en des lieux qu’ils ne connaissent pas, les textes semblent parfois traiter d’un sujet apparemment très simple, comme par exemple des animaux, alors qu’en réalité, ils recouvrent des sujets beaucoup plus complexes comme la vie, la mort ou l’amour, en recourant abondamment aux figures de styles. Le thème des oiseaux a été choisi

//Incantent le ciel quand il tonne », ou « aube » associé aux Soleils couchants par Verlaine), par les connotations comme l’Inspiration derrière la figure féminine dans les Pas de Paul Valéry (« Personne pure, ombre divine,/ Qu’ils sont doux, tes pas retenus ! ») ou par des réseaux lexicaux tissés dans le poème comme la religiosité dans Harmonie du soir de Baudelaire. Le poète dispose d’autres ressources encore comme la place dans le vers ou dans le poème (« trou de verdure » dans le premier vers du

« je retrouve » (v. 13), « je respire », « je vois resplendir » (v. 16-17), « je m’enivre » (v. 18), « il me semble » (v. 20). Il s’agit de réminiscences. D’ailleurs, le verbe « retrouve » (v. 13) renforce cette idée. De plus, la paronomase (figure de style qui rapproche deux mots de sens différents mais de sonorités voisines): « langueur des longues heures » (v. 13) reproduit de façon sonore la sensation d’étirement du temps. Le poète peut retrouver à partir du souvenir et de la poésie des sensations

pétique, de la dire porteuse d’un message poétique que le poète interprête. C’est une femme à « poëte », pas seult pour les autres hommes. 4e strophe - Redondance :« folle » / « affolé » : polyptote, figure d’insistance, et ici, marque la passivité, par la tournure passive, du poète observateur, face à une figure de femme pleine de vie. - Robe : folle ; femme : folle ; poète : affolé. Jeu sur les mots, polysémie du mot « fou » : interoprétation légère (« fou de toi »,et plus obscure : déséquilibre, perte