Harmonie imitative

Rentre, chuchote-t-on, rentre, il est tard." ( page 57) Le rejet : désigne la partie de la proposition "rejetée" dans le vers suivant ( en rose) Le contre-rejet : désigne le début de la proposition dans le vers précédent ( en vert) Les harmonies imitatives L'allitération : répétition à intervalle régulier de la même consonne : exemple, allitération en [r] "J'aimais sortir à l'aube. le temps dormait Dans les braises, le front contre la cendre." ( page 45) L'assonance : répétition

(clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit → éclat du soleil) → vision naïve et amusante de la ville.Vers 22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent"Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet.2.2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (vers 1), et à l'Antiquité grecque et Romaine.Apollinaire se détourne de l'inspiration classique

aussi leur mère, soit la France et son peuple qui en souffre « succombe à la douleur, mi-vivante, mi-morte » (v.22) (elle agonise) ; « leur poison les trouble, Si bien que leur courroux par les coups se redouble » (v.17-18) (assonance en [u] et harmonie imitative) ; « Ni les soupirs ardents, les pitoyables cris, Ni les pleurs réchauffés ne calment leurs esprits » (v.15-16) (anaphore de « Ni » et énumération ; « ardents » et « réchauffés » évoquent la brûlure, fréquente lors des atrocités commises). L'allitération

sens : clapotements furieux, péninsules démarrées, tohu bohu triomphant. folie : irrationalité des images qi accompagnent la violence des déchaînements « r » : dure : violence de la scène. voyelles ouvertes « ou » « u » « on »: tohu-bohu : harmonie imitative de la houle maritime. à côté de ca, déchainement de l’enthousiasme : course dns la mers, vers la mer, rythme ascendant du vers 10, ivresse : « plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots » images aérienne, de liberté, d’envol, d’accord

assonances ont parfaitement leur place, « Aboli Bibelot d’inanité sonore », où la répétition des voyelles ‘’i’’ et ‘’o’’ transmet l’impression de répétition, de hachage pour cette phrase. Au-delà même de la simple assonance, nous trouvons l’harmonie imitative. Cela consiste à reproduire grâce à des répétitions de sonorité l’image même du vers. ‘’Voilà le tac-tac-tac Des mitraillettes qui reviennent à l’attaque’’ chante Gainsbourg dans « Bonnie & Clyde », nous ressentons alors ces mitraillettes qui passent

rythme de l’écriture, la clarté de la pensée, etc. On peut également noter que de nombreuses métaphores sont empruntées à la nature, ce qui est caractéristique de l’esprit classique. En effet, le XVIIème siècle érigeait la nature en modèle, pour son harmonie, son équilibre, sa beauté. Ex. : - « Il est certains esprits dont les sombres pensées / Sont, d’un nuage épais toujours embarrassées / […] Selon que notre idée est plus ou moins obscure, / L’expression la suit, ou moins nette ou plus pure. », v

allitérations en « r »; vers 29 « Le monde s’étire s’allonge et se retire… », les assonances en « ou », les vers: « Et dans les trous Les roues vertigineuses les bouches les voix ». Ces procédés évoquent le bruit, la vitesse du train à la manière d’une harmonie imitative. La quasi absence de ponctuation et la parataxe, absence de mots de liaison comme la juxtaposition de deux vers composés d’un seul mot: « Chocs Rebondissements » et l’onomatopée « broun-roun-roun » contribuent à cet effet. Le train est un

malheureuse, illusion du bonheur, deux mondes distincts * Antithèse l.20-21 > paradoxe, inversement proportionnel (plus ils sont intimes et moins ils sont proches) * Scène du piano, allitérations en « p », « r » et « s » l.35-38 > harmonie imitative, Emma agacée et énervée et Charles émerveillé. 3- Un homme matérialiste : * « possédait » « estimer » l.40 « orgueil » l.41 + nature morte « deux petits croquis » « cadres très larges » > femme comme trophée qu’il possède et

trouver d’issue.- L’esprit épuise ses dernières forces. L’aile timide de la chauve-souris pourrait être rapprochée de l’aile de l’albatros(voir le poème ‘albatros’) : tout oiseau, hors de son élément est perdu et maladroit.- Au v7 et v8 il y a une harmonie imitative + allitération fait entendre au lecteur les coups de la chauve-souris contre les murs, renforçant le sentiment de forclusion. L’idéal se heurte donc au spleen qui emporte tout.Strophe 3 :- Le poème semble revenir à un décor extérieur, néanmoins

douceur + sifflante [ce] et [ze] = menace Douceur étouffante est contrastée avec la 2ème strophe : v8 Intrusion de la vie : vb d'action « viennent », « de l'école » rappelle emploi du temps avec devoirs Suggère défoulement après la classe, harmonie imitative sonorités fracassantes avec bcp de [k] et des dentales aussi [d] [nasales : Consonnes : m/n et voyelles : an, un, in, on] intrusion des enfants donne une dernière chance à la vie als que tout se mourrait dans 1er strophe v9 pour avoir alexandrin :