Haruspice

(Spina, Adria), l'auteur cède à quelques à-peu-près qui montrent simplement que les conclusions des scientifiques ne sont pas encore toujours et partout stabilisées. On regrettera bien sûr qu'il n'y ait presque aucune illustration, à part les deux haruspices de la couverture, datées un peu bas à mon sens ; mais c'est un problème de coût : même des illustrations au trait, comme celles qui servent de culs-de-lampe aux Étrusques de Werner Keller chez Marabout, coûtent cher. Le livre que Briquel a fait

cause du sang des victimes précédentes: elle ose prendre la place des prêtres. De plus, elle est présente au moment où on ouvre la poitrine de la bête et, bouche bée, regarde les entrailles (“inhians (…) consulit exta”) comme si elle était un haruspice. On retrouve ensuite le vers 63 qui est très fermé, lent, on veut surligner le fait que Didon n'était jamais satisfaite des réponses des dieux: “instauratque diem donis pecudumque reclusis”. On a un jeu de sons à effet “miroir” qui permet de mettre

daté du 6e siècle. Sur les toits des quatre ailes on retrouvait des statues : des sphinx mais aussi des 'cowboys de Murlo' qui possèdent une barbe postiche à l'égyptienne, un chapeau à large bord (qu'on retrouve dans des images qui représentent les haruspices étrusques mais d'une forme légèrement différente), on ne sait pas qui ils sont. On pense à des ancêtres, ils tiennent dans leurs mains des objets. Le décor des frises est fait avec un rapprochement de représentations divines, proche de ceux qui

législateur qui tenta de distinguer le dénonciateur « dévoué » dont il sollicitait les services du délateur « odieux » dont la démarche était sanctionnée de la peine capitale. En 319, Constantin menaça du bûcher les auteurs de divination (las haruspices) qui seraient entrés dans une demeure privée et renforça l’efficacité de la loi. En 420, Honorius et Théodose cherchaient à s’opposées au rapt de vierges consacrées en proposant à chacun de se faire dénonciateur du crime. En 382, dirigée contre

de tel ou tel choix politique. Ils ont recours aux augures qu’ils consultent et interprètent leurs signes en observant par exemple : le vol des oiseaux, l’appétit des poulets sacrés, la forme des éclairs, etc Les haruspices qui sont des devins qui lisent dans les entrailles des animaux sacrifiés, font aussi autorité. Les prêtres romains : Les romains ont plusieurs catégories de prêtres :

daté du 6e siècle. Sur les toits des quatre ailes on retrouvait des statues : des sphinx mais aussi des 'cowboys de Murlo' qui possèdent une barbe postiche à l'égyptienne, un chapeau à large bord (qu'on retrouve dans des images qui représentent les haruspices étrusques mais d'une forme légèrement différente), on ne sait pas qui ils sont. On pense à des ancêtres, ils tiennent dans leurs mains des objets. Le décor des frises est fait avec un rapprochement de représentations divines, proche de ceux qui

____4____ ses mages obèses, ____5____ ses nouveaux ____6____ une poignée d'épileptiques, d'illuminés et d'imposteurs qui palabreront, lanceront des appels ____7____, chanteront, consulteront des entrailles d'aigrettes ou d' ____8____ pythonisses haruspices gutturaux impalas funeste Le ____10____ général roi fou, au comble de la félicité, jouera une ____11____ comédie splendide digne des Mille et Une Nuits à tous les étrangers que les exigences de la _____l2___ politique palais Il conviera

dieux étaient censés se nourrir de la fumée la viande. On consultait les entrailles de l’animal (c’est le foie qui était surtout examiné) pour connaître l’avenir ou l’avis des dieux sur tel ou tel sujet. Les prêtres spécialisés s’appelaient les haruspices. Le sacrifice représentait un moment spectaculaire de la vie religieuse. Pour connaître l’avenir, on pouvait aussi consulter les oracles. Le vol des oiseaux pouvait être aussi examiné (les augures) par les auspices (auspicia). Les pratiques religieuses

d’années, la possibilité de prouver qu’il a changé? Nous pouvons situer l’exil d’Ovide vers l’an 5 après Jésus-Christ. Cette époque fût une époque de changement. Auguste fit interdire toute divination. Ce qui implique les augures ainsi que les haruspices. Le châtiment d’Ovide reste un mystère. Plusieurs hommes à travers les siècles tentèrent d’en comprendre la cause. On peut comprendre de cet extrait que les derniers temps d’Ovide ne furent pas nécessairement heureux. Le froid et l’hiver n’étaient

au jour, dit on, une tête humaine dont les traits étaient intacts. Cette découverte annonçait, à n’en pas douter, que ce lieu serait la citadelle de l’empire et à la tête du monde ». Ce sont les haruspices qui annoncèrent aussitôt après la découverte que le lieu serait à la tête du monde. Les haruspices sont des devins étrusques qui se chargeaient d’interpréter les présages, ligne 15-16 : « ainsi prophétisèrent les devins, tant ceux de la ville que ceux qu’on fit venir d’Etrurie pour étudier la question »